Le Héros et le Soldat

en charge l'édification de cimetière militaire. La dépouille du soldat devient peu à peu l'objet d'un culte, les états édifient des cimetières militaires où le sacrifice pour la nation est glorifié. « Le cimetière militaire, réservé aux héros de la nation, devient dans bien des cas le symbole crucial du mythe de la guerre » (p 57). L'idéal de sacrifice devient acceptable dés lors que la nation se souviendra éternellement des héros qui se sont battus pour son salut. La guerre pénètre dans toutes

les Sorbonnards, est une religion fondée sur la superstition, la passivité du croyant et les rituels. En qualité d’ancien Moine défroqué, Rabelais entreprend de dresser le portrait d’un héros chrétien. Il s’agit de Frère Jean des Entommeurs, qui apparaît au chapitre 27 pour défendre l’Abbaye de Seuillé des soldats de Piccrochole. Problématique : Nous verrons dans quelle mesure cette scène de combat burlesque est un combat symbolique contre les fausses croyances. Plan : I/ 1 à 6 : Une scène burlesque

mélange en fait les moyens de transport, les bruits, les attitudes, de manière à souligner le caractère chaotique de la guerre. La guerre semble être une affaire de fous ou de fanatiques pour Bardamu : elle est assimilée à une croisade (l. 13), et les soldats sont qualifiés par l'oxymore « fous héroïques » (l. 8). Enfin la guerre est désignée par la périphrase « imbécillité infernale » (l. 5) qui met en avant son aspect stupide et maléfique. III. L'antihéroïsme de Bardamu • • • Bardamu revendique sa

contexte qu'il convient de situer le roman Les Misérables écrit par Victor Hugo durant la Restauration de 1815 à 1830. L'extrait suivant ; La Barricade se situe le 5 juin 1832, un jeune garçon nommé Gavroche récupère des minutions dans les gibernes des soldats tué après une manifestation républicaine qui a dégénéré. L'examen du texte portera tout d'abord sur l'insouciance et le charme du personnage de Gavroche, et révèlera ensuite le tragique de ce personnage. Développement : Dans cet extrait, l'auteur

: Il meurt au début de l’histoire à la suite d’une amputation infectée. 19 ans. Himmelstoss Caporal : Général, qui a été le tuteur de ces soldats. Surnommé : " la terreur du Klosterberg ". C’était un ancien postier appeler au service. Leer : Camarade de Paul. Se prend un éclat d’obus dans la hanche et meurt. Kantorek : Ancien professeur des soldats. Behm : A hésité à entrer dans la guerre. Il meurt très tôt d’un coup de feu dans les yeux. Kemmerich Franz : Camarade de Paul. Haie

dévalorisant. Le mot héros est associé à des actes de violance en relation avec la guerre. Par exemple, à la page 183 ligne 34-36 « Là des filles éventrées après avoir assouvi les besoin naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs » et à aux lignes 40-41 à la page 183 et 1 page 184, « Candide s’enfuit au plus vite dans un autre village : il appartenait a des bulgares, et les héros abares l’avait traité de même», ce qui montre bien qu’il y’a pas de héros à la guerre car il y a rien

canons » dans la liste des instruments de musique et par le fait que l’harmonie des instruments soit liée à l’enfer. 2) Le spectacle du combat Vient ensuite la description du combat où l’on constate que les acteurs de la guerre ne sont pas les soldats, mais les armes, puisque les sujets des verbes d’action sont : « les canons », « la mousqueterie », et les « baïonnettes ». Ensuite, on peut dire que Voltaire énonce, comme une addition les conséquences des combats en minorant la cruauté : présence

bataille Le choc avait été très rude. Les tribuns Et les centurions, ralliant les cohortes, Humaient encor, dans l'air où vibraient leurs voix fortes, La chaleur du carnage et ses âcres parfums. D'un oeil morne, comptant leurs compagnons défunts, Les soldats regardaient, comme des feuilles mortes, Tourbillonner au loin les archers des Phraortes, Et la sueur coulait de leurs visages bruns. C'est alors qu'apparut, tout hérisse de flèches, Rouge du flux vermeil de ses blessures fraîches, Sous la pourpre

toutes ses émotions, loin de toute considération héroïque. On peut donc se demander à travers l’analyse de cet extrait, Quelle dénonciation de la guerre opère Céline à travers l’expérience de soldat que fait valoir son héros ?Dans un premier temps nous nous concentrerons sur le personnage de Bardamu, cet anti-héros notoire mais qui se révèle finalement être le témoin principal de cette scène absurde. Il est cependant évident que nous ne pouvons passer à coté de la dimension dénonciative de la guerre

de mes soldats et déclare que votre chanson sera censuré, je trouve inacceptable, moi Monsieur Faber que cette chanson si mal entreprise pour l'espoir de la patrie et le mérite de sauvé nos familles et notre pays et je trouve que les soldats sont heureux de défendre la patrie car il veulent montrer à leur pays, leur femme et aux enfants de quoi ils sont capable. Ils veulent montrer leurs volontés et leurs courage, ils sont bien habillé, harmonieux et existe pour sauver leur pays. Un soldat est fier