Le Desir Est Il Proprement Humain

l'opinion commune, le désir renvoie avant tout au domaine du corps. Le désir est défini comme pulsion, c'est à dire la recherche du plaisir. Par exemple, on peut désirer une bonne glace; on peut désirer de manière charnelle une autre personne. Le désir renvoie aussi à la passion : quand vous désirez quelque chose ou quelqu'un, vous ne pensez plus qu'à ça et sa vous obsèdent. Par conséquent le désir, c'est une source de souffrance, au sens où il vous enlève votre liberté. Le désir corporel apparaît comme

désignerait donc la faculté humaine de vouloir quelque chose, de se fixer un but, un objectif librement. | → Critique de cette définition : Tout les vouloirs de l'homme sont-ils alors le fruit de sa volonté ? Quelle distinction peut-on faire avec la notion de désir ? II) Deuxième étape : analyse critique (procédé comparatif) Au vu de cette définition, il convient de clarifier la notion de désir pour la distinguer du concept de volonté. Le désir est un état de spontanéité qui

correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous sesdésirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts, habitudes, passions) qui pèsent sur sa liberté et qu’il lui est difficile voire impossible de surmonter totalement de sa propre initiative

non, à la différence du désir qui exprime la fixation contingente (non nécessaire) de la conscience sur un objet. Ainsi respirer (de l'air chargé en oxygène) est un besoin, alors que respirer un air pur, un air parfumé ou de la fumée de tabac sont des désirs. Quand le besoin est frustré, il correspond à une sensation de manque, d'inconfort ou de privation, qui est accompagné par l'envie de la faire disparaitre par un comportement menant à un mieux-être à travers un désir. Quand le besoin est satisfait

REDUIT-FROLLEAU Tles1 Allister Désirer est-ce nécessairement souffrir ? On définit le terme « désir » le fait de tendre vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. La souffrance, c’est une épreuve douloureuse au cours de laquelle on ressent une douleur physique ou morale. Alors la question peut se ramener à ces termes : désirer est-ce nécessairement souffrir ? Le sens commun retient du désir sa capacité à nous faire sentir notre existence

La religiosité constitue-t-elle un besoin ou un désir ? Pour bien assimiler si la religiosité constitue un besoin ou un désir. On va d’abord définir la religion. Selon Marx, « La religion est l'opium du peuple ». Plus simplement la religion constitue l’ensemble de pratiques constituant le rapport de l'homme avec la divinité. A la suite de cette brève définition nous pouvons nous poser les questions suivantes : La religion est-elle nécessaire à l'homme ? L'homme pourrait-il s'en passer

personne, ainsi la liste que je m’apprête à vous présenter ne contient-elle aucunement mon avis sur la question : par conséquent se doit-elle d’être lue avec la conscience qu’elle ne saurait être teintée ni d’arrogance, ni de dédain, uniquement d’un désir de retranscrire aussi fidèlement que possible un point de vue extérieur et étranger. Je suis selon certains un sarcastique notable, moqueur de surcroît, quoique drôle, doté d’un grain de folie, mais aussi sociable, sympathique, amical, attentionné

semblables. - L’organisation humaine (contrairement à l’organisation des sociétés animales qui régie par l’instinct & la nature) est toujours problématique. Elle met en jeu une lutte de pouvoir, ce qui indique aux yeux d’Aristote que personne n’ait pour gouverner & que le choix des modalités de l’organisation des sociétés et de la désignation de ses gouvernants doit faire l’objet d’un débat public qui requiert la mise en œuvre de cette caractéristique proprement humaine qu’est le « logos » dans

 Homme: Membre de l'espèce humaine possédant un langage, la raison et vivant en société. Besoin: Ce dont l'absence cause un manque et dont la satisfaction est nécessaire par opposition au désir Désir: Le désir est d'abord la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Platon nous invite, quant à lui, à nous en méfier, car il est insatiable, et de ce fait, source d'insatisfaction toujours recommencée. Nécessaire: ce qui ne peut pas être autrement.

la faiblesse de l’homme qui le rend sociable », c’est-à-dire humain, comme l’affirme ici Rousseau, est-ce donc que les hommes ne sont heureux que parce qu’ils sont malheureux initialement, qu’en vertu de leurs « misères communes » par conséquent ? Même si elle est paradoxale, cette idée n’implique-t-elle pas une conception très négative du bonheur humain ? D'après Rousseau, c’est la faiblesse de l’homme qui le rend sociable, donc humain. Dans une première partie, qui va du début du texte jusqu’à