Le Combat ordinaire

leurs montagnes, plus avant en la terre ferme, auxquelles ils vont tous nus, n'ayant autres armes que des arcs ou des épées de bois, appointées par un bout, à la mode des langues2 de nos épieux. C'est chose émerveillable3 que de la fermeté de leurs combats, qui ne finissent jamais que par meurtre et effusion de sang : car de routes4 et d'effroi, ils ne savent [ce] que c'est. Chacun rapporte pour son trophée la tête de l'ennemi qu'il a tué, et l'attache à l'entrée de son logis. Après avoir longtemps

leurs montagnes, plus avant en la terre ferme, auxquelles ils vont tout nus, n'ayant autres armes que des arcs ou des épées de bois, apointées par un bout, à la mode des langues de nos épieux. C'est chose émerveillable que de la fermeté de leurs combats, qui ne finissent jamais que par meurtre et effusion de sang ; car, de déroutes et d'effroi, ils ne savent que c'est. Chacun rapporte pour son trophée la tête de l'ennemi qu'il a tué, et l'attache à l'entrée de son logis. Aprés avoir longtemps bien

de Hugo ; on peut donc parler de roman fleuve car il est l'aboutissement, le point d'orgue, le chef-d'œuvre d'un auteur qui signe ici le recueil de ses pensées. L'action se déroule en France, au début de XIXe siècle, encadrée par les deux grands combats que sont la Bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit , pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, du retour du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents

récurrence) B) Les caractéristiques du P au niveau de la connaissance, de la religion, de la vie sociale, de la morale II- Les P comparés aux autres hommes A) Les P et les autres hommes comparés face à l’ignorance, la réflexion, la passion B) Le P ordinaire et les grands (opposition) III- Un texte représentatif de l’esprit des Lumières A) Réflexion et raisons B) La recherche de la vérité C) L’ouverture aux autres D) Une morale laïque INTRODUCTION: L’Encyclopédie est rédigée de 1751 à 1772, et

beau ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu’au bout de leur destin et il n’est même jamais de si bouleversants héros que ceux qui vont jusqu’à l’extrémité de leur passion. » Pour Albert Camus le héros est un personnage ordinaire qui n’a rien de surhumain, mais qui est différent de nous car lui va jusqu’au bout de ses envies. Dans un premier temps nous expliquerons la thèse d’Albert Camus, puis dans une seconde partie nous étudierons les autres types de héros qui complètent

qu’il a brillament réussi, c’est de peindre le portrait d’hommes et de femmes ordinaires qui ont compris qu’il faut toujours se battre pour ses droits, quel qu’en soit le sacrifice. Non pas se battre contre l’autre, mais se battre pour soi. Car, dit la légende, “Pendant des soleils et des soleils, Le combat dura. Goumba, sans haine, transperça ses ennemis. Il était tout de sang couvert. Mais heureux celui qui combat sans haine.”

scolaires du premier degré et ce nombre va certainement continuer à progresser. Cette évolution repose beaucoup sur le combat des familles et des associations et aussi sur l’engagement des enseignants. L’intégration scolaire se fait dans des établissements de l’éducation nationale. Suivant son niveau de handicap, l’enfant peut ou non intégrer individuellement une classe ordinaire ou être dirigé vers un dispositif d’éducation spécial collectif. Dans certaines maternelles et écoles primaires, ce sont

2) Par son père César descend de Iule, fils d'Énée et de Vénus et donc, de ce fait, de Romulus, fils de Mars et de Rhéa Silvia. Par sa mère, il descend des rois de Rome. Descendant des dieux et des rois, César ne peut donc pas connaître un destin ordinaire. 3) César est de sang divin par son père Iulius et royal par sa mère Aurelia Cotta, et cela lui a valu d'appartenir à une famille de Patres, grands par le nom et petits par la fortune. Mais c'est surtout par son action personnelle qu'il a créé autour

partiel et subjective : Adjectifs Péjoratifs : « ordinaire » ; « laide » ; « violent » ; « les vices » … III – La fonction symbolique de la représentation d’Oran Il n’y a pas de description pittoresque de la ville. L’auteur a effacé toutes les particularités de la ville. Il ya la volonté d’instaurer cette histoire à la Second Guerre Mondiale A) L’aspect banal et commun de la ville Le narrateur décrit Oran comme une ville « laide » et « ordinaire » sans caractéristiques. Il y a ensuite

marche en direction de Mayenne à la tête d’une colonne de réquisitionnaires. Mais ces derniers sont pris dans une embuscade chouanne sur la montagne de la Pèlerine qui se situe entre Fougères et Mayenne. Les deux camps engagent la bataille. Au cours du combat, le regard de Hulot se pose sur un personnage se distinguant de ses compagnons d’armes, celui que l’on nomme le Gars Au travers de cette confrontation, Balzac va opposer deux allégories antagonistes que sont la Noblesse d’une part avec le marquis