Le Combat ordinaire

de la ville de Rome, le plus grand jamais construit dans l'Empire romain. Il est l'une des plus grandes oeuvres de l'architecture et de l'ingénierie romaines. Pouvant accueillir entre 50 000 et 75 000 spectateurs, le Colisée a été utilisé pour les combats de gladiateurs et autres spectacles publics. Il est resté en service pendant près de 500 ans, les derniers jeux se prolongeant jusqu'au VIe siècle. Outre les jeux traditionnels de gladiateurs, de nombreux autres spectacles y ont été organisés, tels

vous étiez enfants.... Rome qui a vu naître les Dieux de l’Olympe, la où les plus grands monuments de l’histoire ont été érigés pour pouvoir les vénérer... Entendez vous les clameurs et les applaudissements de la foule venue assister aux combats de gladiateus, combats d’animaux, dans le centre de la ville... Le Colisée Le Colisée, sanglante arene dédié aux jeux. En ce lieu gladiateurs combattaient jusqu’à la mort sous les vivas de la foule... Plus grand amphithéatre de l’Antiquité, le Colisée

soldats invalides. Il veut montrer la souffrance et la violence des combats. Ils sont tous marqués par la guerre (montrer sur le tableau) : le soldat de droiten’a plus de jambe, une mâchoire en fer. Le soldat du milieu a été scalpé et a un œil en verre, il n’a plus de peau sur le cou. Le soldat de gauche a une prothèse à l’oreille et une jambe en moins. L’horreur de la scène est renforcée par le contraste entre le jeu de carte ordinaire et les mutilsations des soldats. Otto Dix les déshumanise et les

vedette de l'antiquité. Tirés par un, deux, trois ou quatre chevaux, les chars de compétition étaient conduits dans un cirque par des auriges qui avaient un statut et des revenus à la hauteur de leur popularité, qui était considérable. Les combats de gladiateurs : combats de combattants professionnels, esclaves ou non (esclaves affranchis pour leurs exploits ou engagés volontaires, en quête d'une vie meilleure grâce à des victoires bien rémunérées) qui se battaient entre eux ou contre des fauves dans une

aire qui ouvre une période d’instabilité et de violence. Cette brutalité est due au détournement des progrès liés à la révolution industrielle. « Elle marque le début de la fin. » d’un monde dominé par l’Europe : l’Europe domine par ses colonies (combats), par son économie (livre Sterling), par sa politique et par son industrie. Cette guerre est le résultat d’un élément : le nationalisme. Il existe différentes formes de nationalisme : * Nationalisme de libération : Chaque peuple doit avoir un

bandes armées dans un contexte de déplacements de populations liés à la récurrence des combats, ou encore du Rwanda, dont environ 40 % de la population a été tuée ou déplacée depuis 1994. Du Burundi voisin, ce sont environ 300 000 personnes qui auraient été, au cours de la dernière décennie, victimes d’un conflit interne qui en forçait encore naguère environ 100 000 à fuir chaque mois leur domicile du fait des combats entre troupes gouvernementales et rebelles hutu. Et pour clôturer, bien que la liste

extrait on assiste à la rencontre entre Emile et son fils qui vient de naitre. Lors d’une courte permission accordée pour la naissance de son enfant Rémi, il rentre chez lui pour retrouver sa femme. On apprend au début du texte qu’Emile est mort au combat en 1917 et laisse derrière lui un fils orphelin et une jeune veuve. Nous pouvons alors nous demander de quelle manière dans cet extrait de Les champs d’honneur Jean Rouaud parvient-il à décrire un moment d’émotion et de répit lors de la naissance

daims et cochez la bonne réponse. Depuis une cinquantaine d’années, des bécasses différentes de la bécasse ordinaire sont apparues. Bécasse ordinaire Entourez ci-dessous l’exemple de variation présenté avec la bécasse ordinaire dans une vitrine de la grande salle. Les mâles ont de grands bois pour défendre leurs biches face aux prédateurs. Les mâles utilisent leurs bois lors de combats entre mâles. Le plus fort pourra se reproduire avec les femelles. Les bois permettent aux mâles et aux femelles

les résultats de ses attaques. Les octosyllabes légers et rapides employés lors de sa description soulignent sa petite taille et sa vivacité. (v. 6 à v. 14) Il est présenté comme un petit soldat vaillant et intrépide : avec le champs lexical du combat : « lui déclara la guerre », « fut le Trompette et le Héros », « il sonna la charge », « il sonne la victoire ». Il est non dénué d’intelligence puisqu’il réfléchit à ses attaques comme nous pouvons le voir aux v. 12 et 13. Réflexion en deux

Dans le monologue de Rhinocéros, Bérenger qui incarne au départ l’humanité ordinaire devient progressivement un personnage tragique: il prend le rôle du héros solitaire qui lutte contre le destin est tente de s’opposer à la fatalité qui désagrège l’humanité. Les didascalies permettent la compréhension de la scène : sans elles, on ignorerait qu'il s'agit de portraits auxquels Bérenger se compare. Plus généralement, elles sont indispensable à ce genre de théâtre dit de l'absurde (ici absurdité de la