Lapidaire

suggèrent en effet l’image d’un lieu à la fois stérile, minéral et consumé. La versification soutient elle aussi ce système d’oppositions à l’amplitude harmonieuse des quatres derniers vers de la première strophe répond par exemple la brutalité lapidaire du vers 1 ou du vers 7 dominés par la dureté de l’allitération en (t) particulièrement sensible en début de vers. Ce sont ces effets de contraste qui permettent de préparer l’apparition du personnage de l’enfant, unique et pathétique vestige du

rares. Il choisit dans une collection japonaise un dessin représentant un essaim de fleurs partant en fusées d’une mince tige, l’emporta chez un joaillier, esquissa une bordure qui enfermait ce bouquet dans un cadre ovale, et il fit savoir, au lapidaire stupéfié que les feuilles, que les pétales de chacune de ces fleurs, seraient exécutés en pierreries et montés dans l’écaille même de la bête. » » DES ESSEINTES Personnage de À rebours (1884), roman avec lequel Huysmans se sépare du mouvement

critique, Cattelan ouvre sa propre galerie new-yorkaise (la « wrong gallery »), galerie où rien ne se vend et qui est de toute façon fermée en permanence par simple contestation. Lorsqu'il ne veut pas se déplacer lui-même pour répondre, même de façon lapidaire, aux interviews, il n'hésite pas à envoyer son assistant et compère Massimiliano Gioni à sa place — une journaliste du New York Times s'est fait piéger. Cattelan crée des œuvres qui font toujours scandale et donnent lieu à toutes sortes d'interprétations

syntaxe des phrases permet de souligner l’opposition entre les deux personnages : Gosbeck et Derville : par exemple aux lignes 2 et 4, Gosbeck juxtapose trois propositions commençant par « vous » puis une seule par « moi », qui est comme une chute lapidaire (concise et vigoureuse). Gosbeck compare l’exaltation de la jeunesse de Derville, qui voit des « figures de femme dans [ses] tisons » (= ses filets) (l.3), à son propre pragmatisme : « Je n’aperçois que des charbons ». L’antithèse entre « tisons »

personnage étrange de Caligula. II. la cruauté de caligula a.la froideur.La didascalie crée la fracture « changent brusquement de ton » et il est à remarquer qu'il se trouve en plein milieu de la réplique de Caligula. Ensuite tombe la réplique lapidaire, totalement décollé « tout celas manque de sang » b.la lucidité . C'est avec « tristesse » qu'il avoue « j'ai joué » et la remarque de Scipion « comme tan de mal et de haine » groupe binaire « doivent te torturé » vont provoquer Caligula : il dévoilé

façon de raconter permet au narrateur de ménager le suspens et de conduire son récit jusqu’à la chute finale , qui surprend le lecteur. · Remarquons le caractère lapidaire du récit du combat final , qui tient en deux phrases très brèves. => L’enjeu de la nouvelle n’est pas de raconter une victoire française, mais un épisode de la guerre de 1870

semble se réjouir des souffrances que l'amour infligera à Araminte : hé le mariage est la seule échappatoire qui lui permettrait de concilier raison et amour. II. Dévoilement de l’intrigue à venir.ProcédéInterprétationRéponse lapidaire de Dorante à la question « vous l’aimez ? »Elle fait de lui un personnage sympathique dès le début de la pièce, la passion amoureuse doit lutter pour arriver à ses fins ; il se laisser entraîner par sa passion et ne lutte pas contre elle, il est

de l'homme / Sujet religieux. On est dans la partie qui défends le plus l'homme 34 liasses, désordonnées, sans titre. => Diversité des thèmes Corpus au programme Certaine liasses sont plus courtes que d'autres Certaines sont lapidaires Elles sont elliptique : ne dévoilent pas la pensée de l'auteur . D'autre sont très argumentées. «  Tout est un, tout est divers » (fr120) I ] L'unité de l'œuvre But de Pascal Convaincre l'incroyant d'adhérer à la religion chrétienne

omniprésent chez lui n'aurait guère de sens : il faut plutôt les voir comme étant au service l'un de l'autre, pris dans le cadre plus large d'une immense entreprise de dérision. Avec le temps, il traite ces thèmes dans un style de plus en plus lapidaire, tendant à rendre sa langue de plus en plus concise et sèche. En 1969, il reçoit le prix Nobel de littérature pour « son œuvre, qui à travers un renouvellement des formes du roman et du théâtre, prend toute son élévation dans la destitution de l'homme

personnage étrange de Caligula. II. la cruauté de caligula a.la froideur.La didascalie crée la fracture « changent brusquement de ton » et il est à remarquer qu'il se trouve en plein milieu de la réplique de Caligula. Ensuite tombe la réplique lapidaire, totalement décollé « tout celas manque de sang » b.la lucidité . C'est avec « tristesse » qu'il avoue « j'ai joué » et la remarque de Scipion « comme tan de mal et de haine » groupe binaire « doivent te torturé » vont provoquer Caligula : il dévoilé