Lapidaire

Il les présente comme le véritable obstacle à leur mariage, et donc à leur bonheur mutuel : « il pourra m’en coûter le bonheur de ma vie » (17). C’est pourquoi, à la fin de la 1ère tirade, il se pose en juge de leur sort à travers une sentence lapidaire: « le ciel n’est pas pour elles » (18). B) Une tirade habile et virulente Perdican manie habilement le langage, est un bon rhéteur : - Il emploie de nombreuses figures de style pour insister sur ce qu’il dit : anaphore (3-4), antithèses (2-4

envisage une fin atroce) * Phrases exclamatives (→ dans la dernière réplique Perdican implore la pitié divine, comme les héros de la tragédie grecs, il doit être puni d’avoir joué avec « la vie et la mort », d’avoir été orgueilleux) * Phrase lapidaire (brutal) de Camille (« elle est morte » → les amants vont se séparer définitivement : « Adieu, Perdican ! » Conclusion : Quand Camille et Perdican comprennent leurs fautes et envisage un avenir commun, Rosette réapparait dans le trio amoureux

nouvelle image militaire qui poursuit la métaphore filée du « combat » puis de l'image de la maladie, une alternative entre noblesse et bassesse de l'action. Vautrin impose son immoralité en congédiant « l'honnêteté » par une négation totale et lapidaire. Le second temps de l'étape développe ces deux voies, au-dessus de toute morale, « le génie » et « la corruption » en soulignant leur supériorité par le champ lexical du « pouvoir »(« plie », « à genoux », « enterrer », « en force », « arme ». Les

élément qui est déroutant pour le lecteur, c’est l’affirmation de Meursault que le mariage n’a pas de poids, de gravité  : « Elle a observé alors que le mariage était une chose grave. J’ai répondu : « Non. ». Cette dénégation lapidaire et donc radicale est très étrange car toutes les sociétés ont inventé le concept de mariage, qui a donc un poids important dans les relations sociales. Mais pas pour Meursault. Marie elle-même en est très déroutée

indique que le narrateur au moment où il raconte sait ce qui se passera après « Et c’était comme 4 coups brefs que je frappais sur ...» l1-2 « j’ai pensé que je n’avais qu’un demi tour à faire » => change son destin • Style : il est beaucoup moins lapidaire qu’au début (brusque, sèche) Phrases plus longues l10- 13 « C’était le même …. Peau » 4lignes Style plus travaillé Langage plus soutenu « j’ai tiré... sans qu’il y parût » => Parût subjonctif imparfait => langage très littéraire => récit retravaillé

typographique (utilisation de caractères spéciaux, mise en page spéciale : gras, italique, souligné, majuscules…) 2°) Ponctuation du texte, surtout expressive ( ! / ? / …) et rythme des phrases (longues ; à période => rythme binaire, ternaire… ; brèves, lapidaires, hachées ,voire saccadées ; alternance entre les deux…) : quelle impression cela donne-t-il ? Qu’est-ce que cela révèle sur les sentiments des personnages, sur l’action, sur le paysage etc. 3°) Récit coupé par un dialogue ? Examiner l’importance

désordre est causé par un roi illégitime cruel et despotique, Ubu. II. Portrait d’un roi tyrannique a) Un roi violent : sanguinaire, inspire la crainte, accompagné d’hommes, menaces b) Une autorité abusive : décisions arbitraires, explications lapidaires, catégorique, avide de pouvoir et d’argent, de + en + agressif c) Un être cruel : aucune preuve d’humanité, indifférence = Un despote. Violence physique et verbale. III. Un personnage grotesque pour dénoncer la tyrannie a) comique de mots

ENFANT MORT-NE «  A Rome l’enfant mort né était répute partie résiduelle de viscères de la femme. Les droits de cette dernière étaient lapidaires. On devine ceux qui étaient accordés à ce détail de son anatomie »  Cette citation, qui nous montre l’intérêt quasi nul que l’on portait au fœtus a l’époque Romaine nous amène à nous interroger sur le statut juridique de l’enfant mort né. Il convient alors de définir les termes. « L’enfant mort né » est dit de l’enfant qui est mort dès son arrivé

auprès de ses auditeurs par deux fois à travers des impératifs de prière (« Pardonnez si j’achève en si peu de mots » ; « N’exigez point de moi »). Cette difficulté à dire l’indicible de la séparation, est surtout perceptible dans la phrase la plus lapidaire, qui intervient au moment fatal : « Je la perdis ». Le mot « mort » n’est jamais prononcé, seul apparaît le verbe « expirer ». Des Grieux recourt en revanche à de nombreux euphémismes « Un malheur » ; « A sa dernière heure » ; « La fin de ses malheurs

aux Indiens un travail sain et utile à l’endroit où ils vivaient. Pour que tous aient accès à la liberté, à la justice et à l’équité, la production de masse devait céder la place à la “production par les masses”, comme Gandhi l’a résumé de façon lapidaire. Dans l’étrange vocabulaire de notre époque, la Nano incarne, pour la nouvelle classe moyenne, la “liberté” et la justice consumériste sur le mode “moi aussi”. Le modèle industriel de la Nano nous est aussi présenté comme la seule manière de ressusciter