La Vie Est Elle Absurde

Premièrement, chez Ionesco, on se trouve souvent dans un monde ‘bizarre et inexplicable’. On peut avoir la sensation que le langage et les rapports entre les personnages sont totalement absurdes avec des liens aléatoires. Monsieur et Madame Smith bavardent de propos futiles, souvent incohérents et absurdes pendant toute la durée de la pièce. Ils passent sans transition d’un sujet à un autre et nous avons l’impression qu’ils véhiculent un sentiment d’incongruité. L’utilisation du comique de mots

suicide, c’est l’exaltation de la vie, la passion de l’homme absurde. Ce dernier n’abdique pas, il se révolte. Une réponse, la révolte : Oui, il faut maintenir l’absurde, ne pas tenter de le résoudre, car l’absurde génère une puissance qui se réalise dans la révolte. L’homme absurde habite une monde dans lequel il doit accepter que « tout l’être s’emploie à ne rien achever », mais ce monde dont il est le maître. Et à Camus, qui fait de Sisyphe le héros absurde, d’écrire : « Il faut imaginer

l'écrivain/critique Martin Esslin pour désigner une direction théâtrale importante du XXe siècle et pour classer les œuvres de certains auteurs dramatiques des années 1950 qui rompaient avec les concepts traditionnels du théâtre occidental. Origine : Le mot absurde vient du mot latin absurdus et signifie ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Contexte : Ce style reflète l’époque où il est né. Après la deuxième guerre mondiale, on remarque que les mentalités

le dépasse. Pourquoi un tel comportement ? Les questions que l’homme se posent sont tellement absurdes qu’elles sont d’une passion sans limite. L’homme a toujours cherché à comprendre pourquoi et comment. Cela est-il plutôt un avantage ou un inconvénient ? C’est sans aucun doute un véritable avantage, car si l’homme ne cherchait pas le sens de toute chose, il y aurait beaucoup moins de sens à sa vie et il ne serait pas devenu aussi intelligent. La force de l’humanité est de ne rien laisser sans

personnage. Les textes A, C et D sont des pièces classique,s s'inspirant du drame romantique, de mythes et de l'antiquité. Ainsi que le texte B qui est une tragédie classique et dramatique. Les textes C et D sont en revanche plus portés sur le théâtre absurde, tout particulièrement ici sur la parodie du tyran, afin de démontrer son absurdité. Dans le texte A Néron est un empereur ainsi que Caligula dans le texte D. Alors que les textes B et C Ubu et Angelo sont les dirigeants d'une ville. Nous pouvons

l’école de la divine contrariété; arme à la vie, âme à la vie jusqu'à la mort, elle est la seule des contrariétés permettant aux larmes d'en rire. Un monde sans rires implique un monde idéal rempli d’êtres idéaux. Or, notre monde est absurde; on a tout intérêt à en rire. L’idéal de l’être est dans le charmant rire de son absurde. Vivre, en soi n’est pas chose facile, mais mourir avant l’heure est de faire des économies de rires. Rire de la vie c’est vivre notre existence pour mieux la

notre nouvelle Solo ou En attendant Godot le thème de l'exil, de la solitude et de la mort, qui sont également des thèmes courant chez les auteurs de l'après guerre. En 1952, il écrit, justement, En attendant Godot , sa première pièce de théâtre absurde et même une des premières en général, puisqu’il est un des pionniers avec Ionesco du courant de l’anti théâtre. Il continue ensuite a traduire pour lui et pour les autres, à écrire des essais, des nouvelles, des poèmes, des pièces de théâtre, des

anticonformiste, le «nouveau théâtre», concept sens dessus dessous, nous laisse perplexe. Quelles sont les véritables intentions de l’auteur? Ceci s’applique sans aucun doute à l’œuvre, La Cantatrice chauve, signé Eugene Ionesco, l’un des maîtres du théâtre absurde. A priori, il nous est impossible de prendre cette pièce au premier degré, car même le titre de celle-ci nous envoie vers une fausse piste! À ce propos, afin d’analyser et critiquer objectivement La Cantatrice chauve, oeuvre qualifié «d’anti-pièce»

l'absurde sont les deux modalités importantes de l'argumentation indirecte. Ce récit fonctionne à peu près de la même manière que le premier texte, les personnages sont absurdes dans leur façon de faire et d'être, ils négligent les aspects essentiels de la vie pour préférer à cette dernière la consommation : «  Là était la vraie vie, la vie qu'ils voulaient connaître, qu'ils voulaient mener : c'était pour ces saumons, pour ces tapis, etc... » Ainsi nous pouvons conclure cette question en insistant sur

ses habitudes de vie excentriques et on y peut aussi retrouver sa manière de montrer l’absurdité, thème principal dans son œuvre mentionnée. La chanson « J’suis snob » nous montre la vie d’une personne qui se décrit à soi-même comme un ‘snob’. On voit des stéréotypes en montrant des caractéristiques des gens qui sont riches. Il représente donc de forme satirique ces personnes qui se vantent de leur richesse. Au début on fait connaissance d’une personne qui dit qu’il a « une vie de galérien »1 et