La Tentatrice

n'est qu'incohérence. Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici, la tentatrice n'est plus Eve mais Cunégonde. Un paradis où tout le monde s'efforce de mentir et croire à autre chose que la réalité. Candide n’est qu’au début de son apprentissage, il est encore bien loin de l'idéal voltairien.

(2003). Interprétation métaphorique du dénouement : pas de statue du Commandeur (ce sont les 3 femmes qui jouent son rôle). Daniel Mesguich fait le choix de la métaphore : le châtiment du Commandeur s’accomplit par l’intermédiaire de femmes tentatrices, statues animées qui conduisent Don Juan à périr par où il a péché, c’est-à-dire à se consumer dans la jouissance physique. Le metteur en scène peut changer des paramètres du texte : l’âge (ex : un Dom Juan assez âgé dans l’adaptation télévisuelle

n'est qu'incohérence.       Ce monde va changer à la suite d'une péripétie dont Cunégonde sera la cause (le baiser). Voltaire caricature en quelques sortes le départ de Candide en le montrant chassé du paradis terrestre comme Adam mais ici, la tentatrice n'est plus Eve mais Cunégonde. Un paradis où tout le monde s'efforce de mentir et croire à autre chose que la réalité.       Candide n’est qu’au début de son apprentissage, il est encore bien loin de l'idéal voltairien.

rochers gras Vocabulaire dépréciatif Une ombre au tableau ? Décor moins conforme à l’intimité amoureuse, plus prosaïque… (confirmé par la réponse de Mme R. à la déclaration de Jean hors extrait) Une nature d’abord propice à l’intimité, puis tentatrice, provocant le désir, le facilitant et enfin une nature destructrice, laissant deviner le caractère dépassionné de la relation à venir. Une nature qui n’est qu’un " vouloir vivre " (Schopenhauer) qui broie les êtres dans la spirale d’un désir

créant, à moins que ce ne soit l’inverse, des types humains : Manon Lescaut de l’abbé Prévost, est pour toujours la frivole, inconstante et fidèle ; la Dame aux camélias, c’est la rédemption impossible ; Carmen, c’est la femme fatale diabolique, tentatrice ; le père Goriot, est un martyr de la paternité et Rastignac sera à jamais l’incarnation de l’arriviste. Augustin Meaulnes est l’amoureux romantique alors que Jay Gatsby, « le magnifique » de Scott Fitzgerald est ce prince irréel habitant un

scène précédente est encore établi par l’intervention du valet en réponse à la rebuffade de Dom Juan (« Vous ne connaissez pas Monsieur, bonhomme »). La « citation » (« il ne croit qu’en deux et deux… »), outre qu’elle déclenche peut-être la verve tentatrice de Dom Juan, a ceci de drôle qu’elle résume la scène 1 et donne à la phrase du maître la portée d’un dogme. Tout se passe comme si Sganarelle « cristallisait » le 42 43 A N A LY S E D E L ’ Œ U V R E ACTE III SCÈNE 2 Dom Juan

propice à la vertu. Les femmesC’est la religion catholique qui régit le rôle des femmes dans la société (mère, épouse et fille).Rôle le plus important de la femme : mère douce et tendreObéissance et fidélitéLa femme est à la fois Ève et Marie : tentatrice et mère Dans l’idéologie de conservation…Passé = continuité (et non pas recul)Futur = décadence (et non pas progrès)Ce cher passé…Importance des ancêtres : dans le mode de vie agricole, chaque génération profite du travail de celle qui la précède

fraises d'où émane une sensualité irrésistible. C'est une femme libre et spontanée qui dénote au milieu des femmes de la famille du prince. Elle ne connaît ni les interdits moraux ni les interdits sociaux : elle rit sans retenue. C'est aussi une tentatrice et loin d'être effrayée par les hommes, elle sait le pouvoir que sa beauté exerce sur eux puisqu'elle " portait sur sa personne la sérénité, l'invincibilité de la femme sûre de sa beauté. Bien qu'ayant été élevée dans un pensionnat à Florence

une déesse: "C'est à la fille du grand Zeus, à la pure Artémis que ta beauté, ton port et ta grandeur te font pareille" Chant VI vers 151. Alliée d'Ulysse qui, malgré son attirance pour lui, le laisse partir. Femme unique, ni femme, ni épouse, ni tentatrice, c'est une vierge qui connaîtra bientôt le mariage ---> elle est dans un passage intermédiaire comme l'est la Phéacie. ---> Femmes protectrices - Ino-Leucothée: Apparaît de manière brève et ponctuelle dans l'oeuvre. Prise de pitié, elle sauve

Idées à retenir· Le poète transforme l’or (la femme aimée) en boue : de séductrice elle se métamorphose en vampire, en outre puis en cadavre décrit de façon très réaliste, rapidement lié à la mort. · Le poème joue sur la prétendue dualité féminine tentatrice et corruptrice, issue d’une tradition ; l’aspect moralisateur a pu être lu à l’époque de Baudelaire.· Femme vampire : illusion de l’amour qui tue et qui aspire la vie, donc l’inspiration du poète. · Revisite la tradition du blason de la Renaissance