La Tentatrice

passage de l’alexandrin à l’octosyllabe accélère le rythme narratif et témoigne d’un retournement du récit. Personnification de l’huître « baillant, réjouie, humait, respirait, épanouie » => couple rat et huître dès lors rééquilibré + huître = tentatrice « blanche, grasse, d’un goût non pareil »=> figure féminine + sensualité mise en valeur par le rythme lent de la narration ponctuée de nombreuses virgules => lecture érotique ? Cependant, discours du rat montre qu’il s’imagine, à tort, supérieur

spectaculaires, mais il tolère volontiers la présence du surnaturel, de la violence ou de l’érotisme. Les rôles féminins sont tenus par des acteurs, ce qui peut inciter les dramaturges à jouer de représentations caricaturales... Lady Macbeth, cette tentatrice qui insinue le mal à l'oreille de son mari hésitant, en ai un bon exemple ! La tragédie, dont le propre est de relater la chute d'un grand personnage, n'était pas le seul genre populaire, il y avait également la comédie des mœurs. Dans ce théâtre

il dit « c’était un esprit avant d’être une femme ». Grâce à cette phrase, il annonce qu’elle était belle en tout point aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. Il met ici, son esprit en avant par rapport au corps, il l’oppose donc à Eve, la Tentatrice de la Bible ou à Marie-Madeleine. C’est une dimension religieuse qui est donnée au poème. En effet, le poète évoque le Divin à plusieurs reprises dans ce texte. Plus particulièrement au vers 23 : « … que Dieu m’assiste ! ». La présence de Dieu affirme

de la femme soutenue par Baudelaire. La figure de la femme est évoquée à de multiples reprises dans le recueil, notamment dans «les Métamorphoses du Vampire» où elle est présentée comme l’incarnation de la beauté mais aussi de Satan. Séductrice et tentatrice, la femme est également diabolique. Ce «mannequin puissant» se transforme en une créature repoussante comparable à un vampire. Cette vision de la femme révèle que Baudelaire assimile la beauté au Mal, il expose donc sa conception d’un «Beau bizarre»

déteste les femmes modernes. La femme toujours dans la soumission est bénéfique malgré tout a l’homme. • Paul Claudel à une vision très peu émancipé de la femme c’est pourquoi pour lui elle est une tentatrice, socialement inférieure sa grande qualité est son soutient mais sa soumission est égale a celle de l’homme, cela implique qu’elle est autonome. Beauvoir veut alors éclaircir dans ce chapitre son amour propre qui tente de cacher son infériorité.

tantôt un démon, première compagne d’Adam, précédant Ève, tantôt l’épouse de Samaël (Satan) et mère d’une myriade d’esprits démoniaques. Elle est souvent représentée sous la forme d’une dévoreuse d’hommes. On lui prête une sulfureuse réputation, tentatrice à la sexualité débridée, dévoreuse de nouveau-nés, castratrice... On voit bien ici le rapprochement avec Lily, traitée de « nymphomane », accusée de participer aux meurtres des hommes sur lesquels Schatz enquête. La première phrase décrit l’état

Jeanne Duval, qu’il a rencontrée en 1842, à son retour de voyage. Ce fut le début d'une liaison orageuse de presque toute une vie, qui inspirera de nombreux poèmes.Elle sera surnommée la « Vénus Noire ». Jeanne Duval incarne la femme sensuelle, tentatrice , troublant l’âme du poète épris d’une passion charnelle, qui prend la forme d’une dépendance forte. Elle est une fleur du mal, car c’est à la fois l’incarnation de la beauté, c’est une muse, mais aussi celle de l’infidélité, son tempérament de

Nous pouvons voir que le narrateur est très attiré par ces jeunes femmes, de plus la métaphore faite sur la brûlure accentue le désir puisque celle-ci traduit la forte impatience de Jonathan. Puis il les décrit comme possédant "des lèvres si tentatrices". Jonathan ressent aussi de la tentation envers les jeunes femmes, qui est synonyme d’attrait pour quelqu'un, ici les jeunes femmes vampires. Cette attirance est interdite au narrateur car il est déjà fiancé. Il est tiraillé entre la séduction et

sensuelle et érotique. Elle était son inspiration dans beaucoup de ses poème comme « Parfum exotique », « La Chevelure » ou encore « Le Serpent qui danse ». Vampirisé, diabolisé, à la fois ange et démon, Jeanne Duval incarne la femme sensuelle, tentatrice, dangereuse, tribade, infidèle, troublant l’âme du poète épris d’une passion charnelle.

» comme l’exprime dans «Le Serpent qui Danse », et s’émeut devant sa beauté sculpturale : « Statue aux yeux de jais, grand ange au front d’airain » dans « Je te donne ces vers afin que si mon nom ». Jeanne Duval incarne donc la femme sensuelle, tentatrice, dangereuse, infidèle, troublant l’âme du poète épris d’une passion charnelle, qui prend la forme d’une dépendance forte. Le second cycle, constitué par les poèmes compris entre « Semper Eadem » et « Le Flacon » correspond à Mme Apollonie