La Tentatrice

l’évocation des attributs sexuels féminins, mais nous notons une focalisation particulière sur les hanches, le bassin et les reins. C’est le triomphe de la femme lascive, tout en courbes, qui évoque peut-être le serpent de la Genèse, la femme sensuelle et tentatrice (Voir poème XXVII ou XXVIII Le serpent qui danse ou À une Madone qui lie la femme tout à la fois à la Vierge et à la vision apocalyptique du péché). Qui est cette femme ? Certains ont voulu y reconnaître une femme que Baudelaire avait aimée et dont

savoir !!).....Allen....(se tourne face a lui , contemplant son visage tordu entre la peur et le désir).....c'est toi....le fruit défendu !!! Et il s'empressa de gouté a ses lèvres plus brulantes que jamais , comme animé d'une pulsion animal , tentatrice .Une douce musique retentie alors aux oreilles de notre esclave du pécher.....La mélodie du Diable ! La passion , la tentation , qu'elle mélange osé pour ces deux ètres aux lèvres céler par le baiser du désir charnelle . Entrouvant la bouche

position plutôt provocatrice : Il fait ainsi appel à la provocation et au voyeurisme qu’il a peut-être voulu dénoncer dans cette œuvre. Ce vice est rappelé avec les couleurs ocres et grises des plans de droite, qui nous montrent une femme très tentatrice et une femme sortant d’un décor extérieur par l’intermédiaire d’un rideau tel le diable qui sort des ténèbres. Cette idée est rappelée par les couleurs sanguinaires et sombres s’opposant à la candeur (inocence) du blanc et du bleu. L’éclatement

physique humain, et s’approchent bien plus de la nature monstrueuse. Leur île n’est pas non plus cultivée, Ulysse n’aperçoit que de la fumée qui s’échappe du sol et eux aussi sont anthropophages. Ulysse à également une brève entrevue avec les sirènes, tentatrices aux chants merveilleux, mais tout autant cannibales que les autres monstres. Au fil de ces rencontres, Ulysse apprend à connaitre les limites du monde et de l’humanité. Avant d’arriver chez les Phéaciens, Ulysse fera la rencontre des Lotophages

Dissertation Alcools : dans quelle mesure le recueil Alcools de Guillaume Apollinaire est-il en rupture avec la tradition poétique ?Alcools, sous-titré « poèmes 1898-1913 » sur la première édition, est un recueil de poèmes écrit par Guillaume Apollinaire. Il est un poète, journaliste, critique d’art, théoricien, conteur et dramaturge. Il publie son recueil chez Mercure France en avril 1913. Alcools regroupe 71 poèmes, écrit entre 1898 et 1912, durant la Belle

01/10/2013 Le sexe féminin comme le sexe faible A partir de 7ans les jeunes clercs étaient isolés des femmes et donc cet isolement nourrit le fantasme. Les femmes sont considérées comme des tentatrices : ex avec Ève qui a pris le fruit défendu et l'a donné à Adam. Fut tentée par la figure du Mal et le serpent à langue bifide( double). Elle est responsable de la Chute d'Adam. Adam est condamné à travailler à la sueur de son front et Ève devra accoucher dans la douleur. Lilith : femme aussi

mal : poèmes 109 à 117 Cette partie contient Tous les vices, tous les pêchers qui expriment le désespoir de celui qui contemple son corps, son cœur . la débauche comme autre moyen d'échapper à son mal-être, allusion à la mort qui est vue comme tentatrice et effrayante , la mort est vue comme une solution efficace. Exemple tiré du poeme : La fontaine de sang . Ce poeme est constitué de 2 quatrains , ainsi que 2 tercets . Ce poeme evoque et decrit une hémorragie , un état de souffrance dont

dans du beau. On trouve chez la femme toujours une zone d'ombre, quelque chose d’inquiétant. Angoisses inconscientes de la faiblesse des hommes face à la femme. On retrouve ce jeu du beau et du laid dans le poème -« Le chat » la femme est ici tentatrice ''un air subtil un dangereux parfum''vers 13 on a aussi de l'angoisse. «  XXV » on retrouve ici un homme révolté contre cette femme '' Femme impure!''au vers 2 au vers 16 on retrouve le pêché '' O reine des pêchés'' Conclusion Donc

Le blanc peut dans cette œuvre être un symbole de la pureté et de la virginité, ce qui s’oppose donc à l’idée générale du tableau. Le voyeurisme est rappelé par les couleurs ocre et grises des plans de droite. Ils nous montrent une femme très tentatrice et une femme sortant du décor extérieur par l’intermédiaire d’un rideau dont les couleurs sanguinaires et sombres rappellent le diable, ce qui s’oppose à la virginité du blanc et du bleu. C’est une perspective qui est assurée par l’utilisation d’un

d'utiliser l'ivresse, un des paradis artificiels chez Baudelaire. Il évoque l'oubli bienfaiteur avant de le condamner. Fleurs du Mal (poèmes 109 à 117) : la débauche comme autre moyen d'échapper à son mal-être, allusion à la mort qui est vue comme tentatrice et effrayante (cf. "Un Voyage à Cythère", "Deux Bonnes Soeurs", "La Martyre" : débauche et excès de volupté présentés comme vînts et illusoires ; la mort est vue comme une solution efficace. Révoltes (poèmes 118 à 120) : apparaît comme une dernière