La Solidarité Des époux Envers Les Tiers

sens : La mariage est la situation juridique qui résulte de l'engagement entre les époux et qui s'établit entre eux avec l'écoulement du temps Le mariage est aussi la cérémonie par l'officier de l'Etat civil La nature juridique du mariage en Droit français Selon certains auteurs le mariage est un contrat, c'est-à-dire un accord intervenu entre les deux époux et qui fait naître des obligations pour les deux époux (sorte de contrat synallagmatique). Cette thèse s'appuie sur le Droit canonique.

croyance et la réalité. Il faut que la croyant ce de l’époux soit légitime, c’est-à-dire qu’il ne pouvait pas être autrement que dans l’erreur (ex : (CA Pau 26 avril 2004 doc 12) Qualité chez le conjoint déterminante du consentement de l’autre époux, sans laquelle il n’aurait pas donné son consentement à l’union. Double critère utilisé en JP : Critère subjectif/psychologique (in concreto) : erreur déterminante du consentement de l’errans par rapport à ses convictions personnelles : s’il l’avait

l’alliance » comme le lien juridique qui établie par l’effet du mariage, crée entre chacun des époux et la parenté de l’autre, des effets de droit proches de la parenté. Il faut distinguer les cas d’union en dehors du mariage. D’abord le « lien familial issue du mariage » se nomme « l’alliance ». Cette alliance existe d’abord entre les époux, mais cette alliance existe également entre chacun des époux et la parenté de l’autre en ligne directe ou collatérale. Il y a ensuite comme « alliés » les parents

capitale sinon celle de la loi civile ? De fait, le mariage est reconnu dans le droit civil comme « un acte public, juridique et solennel par lequel un homme et une femme s’engagent l’un envers l’autre dans la durée, devant et envers la société, pour fonder ensemble un foyer. En se mariant civilement, les époux font ensemble une double démarche : ils acceptent et reconnaissent l’institution du mariage et la loi commune qui la 1 Convention internationale des droits de l’enfant, 1989, Préambule

France, pourra être cité devant les tribunaux français, pour l'exécution des obligations par lui contractées en France avec un Français; il pourra être traduit devant les tribunaux de France, pour les obligations par lui contractées en pays étranger envers des Français. Article 15. Un Français pourra être traduit devant un tribunal de France, pour des obligations par lui contractées en pays étranger, même avec un étranger. Chapitre II Du respect du corps humain Article 16. La loi assure la primauté

C’est en 1999 que le législateur a introduit une double innovation d’une part la loi du 15 novembre 1999 a ouvert aux concubins homosexuels et hétérosexuels la faculté d’organiser leur vie commune en concluant un contrat nommé le Pacte Civil de Solidarité. La même loi est venu donnée pour la première fois une définition légale aux concubins. Cette loi reconnait l’existence d’un couple non marié soumis à des règles. Section 1 : le concubinage. En tant qu’union libre le concubinage se caractérise

des catégories donc discrimination ! Discriminés en matière successorale. La moitié des droits successoraux peuvent être retirés. Jusqu’au 1er février 2000, où la France est condamnée par Europe. 1985 : réforme fait qu’il y a une égalité entre époux alors que jusqu’à l’entrée en vigueur les femmes étaient des sous fifres en matière successorale notamment. 1987 : Autorité parentale… 8 janvier 1993 : 2ème réforme de la filiation importante. Jusqu’alors il était très facile pour un homme d’échapper

le lien de parenté découle d’une adoption. • Le lien d’alliance : c’est le lien qui découle du mariage. Il existe entre les époux mais il existe aussi entre chaque époux et les membres de la famille de son conjoint. On distingue l’alliance en ligne directe qui unit un conjoint aux parents et descendant de son conjoint et l’alliance en ligne collatérale qui unit un époux aux frères et sœur de son conjoint. • L’évolution de la famille 1er constat : L’évolution de la famille s’est faite dans

France, pourra être cité devant les tribunaux français, pour l'exécution des obligations par lui contractées en France avec un Français ; il pourra être traduit devant les tribunaux de France, pour les obligations par lui contractées en pays étranger envers des Français. Article 15 Un Français pourra être traduit devant un tribunal de France, pour des obligations par lui contractées en pays étranger, même avec un étranger. Chapitre II : Du respect du corps humain. Article 16 La loi assure la

une institution juridique. Le droit de la famille, appartient au droit privé> droit civil > dt des personnes. Il s'interesse aux relations personnelles entre les membres de la famille ou relations extrapatrimoniales. (Ex : les devoirs entre époux dans le cadre du mariage, relations parents-enfants...) Il s'interesse aussi aux autres relations, les relations patrimoniales (relations d'argent > ex : les successions, les régimes matrimoniaux..) → dt en constante évolution. Les 2 dernières