La Regle Autonome Et La Regle Heteronome

une loi reçue de l'extérieur). Principes hétéronomiques de la moralité pour Kant : déterminations de la volonté faisant appel à d'autres ressorts que l'idée de loi en général, comme éducation ou sentiments par exemple ( principe = norme d'action, règle). Dans cet état de minorité, l'homme n'obéit point à une loi qu'il s'est lui-même prescrite mais est au contraire sous la tutelle d'autrui. Autrement dit, le principe subjectif d'action de l'individu n'est pas sa propriété mais l'œuvre d'autrui. Or

CHAPITRE 1: L'IDENTIFICATION DU DROIT Section 1: Fondement, objet, contexte de la règle de droit. -> Quel est le rôle du droit? I - Fondement de la règle de droit On peut distinguer deux grands écoles de pensée, d'une part l'Ecole du droit naturel et l'Ecole du positivisme. A- La norme révélée : L'Ecole du droit naturel Il est impossible de dater la naissance du droit, on peut légitimement penser que le droit a toujours exister à partir du moment où des hommes se réunissent et qu'ils ont

joue sans répétition mais il faut le jouer malgré tout. Ceci fait apparaître une double logique. Il faut prouver cette idée qui vient d’être affirmée qui est à la fois banale et profonde. Le sujet ne peut pas s’entraîner, il est donc parfaitement hétéronome. La mienneté est la solution ontologique pour exister, pour ne pas virer au non-sujet mais il s’agit d’une solution de rechange. Elle lui permet cependant de garder une part d’autonomie et donc d’évoluer, d’espérer une reconquête totale de son indépendance

scientifiquement ou les légiférer. Normes : règles injonctives socialement sanctionnées. Il y a portage de ces normes dans un groupe donné. Formelle (écrite)/ informelle. Le droit est un élément formel. Ce sont des textes écrits. Une règle informelle est une règle non écrite (règle d'usage). La norme peut avoir deux caractères : Explicite/implicite -Consciente -Verbalisable -Sans effort -Rapide -irréfléchi -affective (on est dans le domaine de l'intuition, on a des jugements développés, mais

caractère immoral du dit film. En théorie il y aura deux grandes différences entre le droit et la morale : L’origine : Selon Kant, les règles morales sont autonomes, c’est-à-dire qu’une personne se donne elle-même une règle morale ainsi la règle morale a une origine interne sous la contrainte de la conscience. La règle juridique serait hétéronome, c’est-à-dire qu’elle viendrait extérieurement et elle serait donnée par quelqu’un d’autre sous la contrainte des tribunaux. La finalité : Les règles

peuvent être acquis ou gratifiés en permanence. L’activité de groupement est celle exercé à juste titre par les détenteurs du pouvoir ou celle des membres du groupement géré par les ordres de la direction. Le groupement peut être autonome (géré par ses membres) ; hétéronome (les dirigeants peuvent être extérieurs au groupement) ; autocéphale (les dirigeants sont désignés par les règlements propres au groupement) ; hétérocéphale (dirigé par une autorité extérieure). §13. Règlements d’un groupement

subjectifs (le Droit Objectif, c'est l'ensemble de règles de conduites socialement édictées et sanctionnées, qui s'imposent aux membres de la société), on parle ainsi du Droit du commerce, du droit du travail. Le Droit est donc une règle de vie.. Le Droit apparaît comme une règle du jeu de la vie en société. Le Droit objectif et les règles de droit sont donc synonymes. Les règles de droit peuvent malgré tout venir de sources diverses. Les droits subjectifs désignent l'ensemble des prérogatives, avantages

donné. Section 2 : les caractéristiques de la règle de droit La règle de droit diffère des autres règles de conduite qui ne sont pas du droit (règles de morale, religieuses, bienséance...), et qui ne sont pas sanctionnées. Le droit est intimement lié à la notion de règles. Il est fait de commandements, d'ordres, de prescriptions, ou d'interdictions. Les règles peuvent être discutées en justice. La règle de droit se définit comme une règle de conduite dans les rapports sociaux. Elle est générale

par les théories sociologiques dans l’analyse organisationnelle. L’analyse des organisations montre qu’elles ont toujours, plus ou moins, montré une certaine méfiance à l’égard de sujets trop autonomes. La tendance managériale actuelle vise davantage à intégrer des individus hétéronomes que des sujets autonomes. Les premiers adoptent une identité collective dont les fondements se trouvent dans le narcissisme individuel et organisationnel. L’instance pulsionnelle Il s’agit du septième et dernier

d’asile raisonnable ». ... 7 2.2.2 Le ius cogens ................................................................................... 9 2.2.2.1 Le ius cogens reconnu par la communauté internationale......... 9 2.2.2.2 Le ius cogens en tant que notion autonome ............................. 11 2.3 L'exécutabilité ....................................................................................... 13 2.3.1 Impossibilité matérielle ................................................................... 14