La Redistribution Est Elle Toujours Efficace

production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Les soci´t´s financi`res : financement de l’´conomie . . . . . . . . . . . . . ee e e 1.4 Les administrations publiques : redistribution, biens et services publics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Le reste du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

organisée de façon à ce qu’elles soient attachées à des positions et des fonctions ouvertes à tous (principe d’égalité des chances = équité) ; et qu’on puisse s’attendre à ce qu’elles soient à l’avantage de chacun donc des plus démunis, qu’elles soient efficaces (principe d’efficacité) » Pour Rawls, s’ils existe des inégalités, elles doivent favoriser les plus défavorisés. Toute conception de la justice doit répondre à la question « l’égalité de quoi ? » Que répondent les marxistes ? Les libéraux ? John

ce qui est recherche documentaire, « discovery » n’est déjà plus du ressort des humains dans de nombreux cabinets. Lire, comprendre et trouver des corrélations parmi des centaines de milliers de documents est une activité où la machine dépassera toujours l’homme : pas de pause, pas de perte d’attention, pas de fatigue, pas de biais. Le robot n’oubliera jamais la petite ligne en bas de la 500ème page d’un dossier. Par conséquence, les travailleurs qui occupent ces emplois sont exposés au déclassement

Chapitre 3 : INTERVENTION DE L’ETAT DANS L’ECONOMIE L’intervention de l’État est justifiée par les défaillances du marché, puis la stabilisation de la conjoncture économique par une relance budgétaire et enfin la redistribution des revenus. Comme toute organisation l’État peut engendrer des inefficacités dans l’utilisation des ressources, l’intervention peut avoir des limites. 1) les défaillances du marché : On a une défaillance du marché lorsque le système de prix et le mécanisme du marché

« état stationnaire ». Tant que des entreprises réalisent des bénéfices, il y a de la concurrence; si l’entreprise vend au cout de production, elle ne fait pas de profits. David Ricardo et Thomas Malthus disent que dans certains contestes, une redistribution vers les salariés peut être soutenable pour stimuler la demande. Conclusion de l’intervention de l’état: Si il intervient, sa va couter chère en terme de prix il doit donc se limiter aux fonctions régaliennes. Le marché international doit être

réguler les comportements d'investissement et de consommation des entreprises et des ménages. Mais selon la théorie libérale, le marché serait doté de mécanismes de correction automatique des déséquilibres. Cependant cette régulation n’est pas toujours efficace d’autant plus que des situations de marché sont imparfaites. A contrario, les Keynésiens : John Maynard Keynes (1883-1946). Il ne rejette pas l’économie de marché, mais il pense, à l’inverse des classiques et néoclassiques, que l’économie de

concurrence pur et parfaite. C'est pour cela ce n'est pas ci simple de rentré dans un marché. Les entrepreneurs essaie de construire des monopoles. La courbe de l'eau est non constante la marge d'un diamant et constante le diamant nous rend toujours aussi heureux voir plus heureux la 2 eme fois le prix équivaut au prix de l'utilitaire marginale. C'est pour cela que l'eau est pas cher un 2eme verre ne me sera pas autant satisfaisante que le 1er. Ainsi la suite et le développement de l’état

démanteler l’état providence pour le remplacer par la main invisible. 1ère politique en place: réduire le rôle économique de l’état. => privatiser les entreprises. => restructurer des entreprises publiques c’est-à-dire licencier pour les rendres plus efficaces. => ouvrir à la concurrence des marchés protégés (casser les monopoles punlics) ex: transport aérien, le téléphone, l’électricité, le gaz… => déréglementation: flexibilité du marché du travail (multiplié des CDD, créations intérim, emploies précaires)

Etat minimal 1. L’Etat minimal d’Adam Smith Smith s’oppose au mercantilisme (Antoine de Montchrestien ou Jean Bodin), courant qui pense que l’Etat doit intervenir pour favoriser le cumul des richesses. Smith affirme que le mercantilisme est peu efficace et même dangereux. Il est nécessaire de laisser jouer la « main invisible ». L’Etat doit être un Etat minimal, un Etat gendarme comme le nomme Antonio Gramsci. Il doit limiter son intervention à trois fonctions : * Protéger la nation contre

Nord-Soudan, qui impose des droits de passage très élevés => moyen de pression géopolitique. - malgré des limites au niveau national. En effet, si les recettes issues du pétrole peuvent aider à asseoir l’autorité de l’Etat central, il y a toujours le risque que celui-ci soit concurrencé sur les plans économiques et politiques par le pouvoir des compagnies pétrolières Ex: Gazprom dispose d’un corps de gardes équipés d’armement lourd, et dont les effectifs sont comparables à l’armée danoise