La Redistribution Des Revenus Est Elle Efficace

ceux qui gagnent beaucoup pour en donner à ceux qui gagnent peu, c'est-à-dire redistribuer les richesses. Dans l’idéal d’une société où les inégalités n’existeraient pas, idéal défendu par John Maynard Keynes (1883-1946), c’est la redistribution trop inégalitaire des revenus qui serait une limite à la croissance économique. En effet, c’est la propension à consommer qui détermine le niveau de la Demande. Dans Théorie générale de l’emploi, de l’Intérêt et de la monnaie (1936), il nous rappelle que les

De même, JB SAY, avec sa « loi des débouchés », est persuadé de l’équilibre de l’offre et de la demande sur chaque marché, ce qui conduit à un accord mutuellement profitable. Chaque agent, lorsqu’il produit un bien ou un service, obtient un revenu en échange (rémunération des facteurs de production), qu’il consacrera à une consommation et assurera alors un débouché égal à la production. Globalement, les offres et demandes seront identiques, pour peu que le marché ne soit pas contrarié dans

Politique budgétaire* mise en place par et dans chaque Etat (degré et forme d’intervention de L’Etat : Politique Keynésienne). Ces actions politiques au travers du budget sont destinés à relancer/ développer la croissance, et donc améliorer son le revenu national du pays (PIB). Depuis le Traité de Maastricht (1992), les 16 membres de la Zone Euro se sont imposés une ligne de conduite en matière de gestion de leur budget, c’est le Pacte de Stabilité, à savoir : maintien du déficit inférieur à 3 %

on retrouve ce qu'un économistes américain dit : Musgrave (1959) dit qu'il y a trois fonctions de l'Etat : l'allocation/l'affectation des ressources pour faire face aux défaillances du marché ; par exemple produit des biens collectifs redistribution des richesses : souci de justice et de baisse des inégalités stabilisation macro-économique : régulation conjoncturelle On pourrait noter que dès les années 70, il y a de nombreuses remises en cause de l'Etat : On peut penser a la

travail DIAL / Unité de Recherche CIPRÉ Mai 2003 RESUME Cet article s'inscrit dans le débat actuel sur la croissance pro-pauvres. Il aborde la question de l’impact respectif de la croissance macro-économique et de la réduction des inégalités de revenus sur la pauvreté monétaire. Il met en évidence l'importance potentielle du second facteur et plaide en faveur d'une reconsidération de politiques distributives, aujourd'hui trop souvent reléguées au second plan. L’article s’interroge également sur

y(j), y(j)∈Y(j) ∑x*(h)= ∑y*(j)+w Le premier théorème de l’économie du bienêtre „ Enoncé : • Tout équilibre est efficace au sens de Pareto… „ Preuve : Par l’absurde.. • • • „ Meilleur implique plus cher, pour la consommation/ Moins de profit pour la production. Contradiction : valeur emplois = valeur des ressources. Corollaire : • Un équ. walrassien / éc. de pr.priv. est efficace / Pareto. • Preuve : un équilibre walrasssien est un équilibre.. „ Noter : • Pas de convexité dans l’énoncé 1.

réglementaire) 6. Peut-on justifier les politiques de réduction des dépenses publiques ? I Oui quand leurs poids excessif freine la croissance et le retour au plein emploi II les dépense publiques sont indispensables. A Dépense publiques moins efficaces depuis 1980s (politique keynésienne de relance bute sur la contrainte extérieure, influence de la théorie libérale) A Pas de corrélation entre taux de croissance et poids des dépenses publiques (EU croissance forte et déficits publiques élevés)

contribution mobilière (issue de revenus de pté ou act indus), patente (imposition sr bénéf commerciaux), impôts sr portes et fenêtres (signe de richesse)(ancêtre de l’impôt sr revenu). Cet impôt intégrait une forme de progressivité. Recettes suffiront au budget de l’Etat car peu de dép pub, pensée libérale dominante + dogme de l’équilibre budgétaire. Changement à partir de GM1 car pb de financement de la guerre, + impôts indirects (ancêtres de TVA). *L’impôt sur le revenu des personnes physiques. Direct

les collecteurs qui assument un rôle intermédiaire entre l’Etat et le contribuable effectif. Pénalisent les ménages à faible revenu car ne prennent pas en compte la situation de chaque contribuable. C’est un impôt indolore. - Impôts réels - Impôts personnels : Impôts personnels = prend en considération les facultés contributives du contribuable. (ex : impôt sur le revenu). Impôts réels = frappe un bien sans considération de la situation personnelle du contribuable (ex : droit d’enregistrement acquitté

individus (comme par exemple pour le secteur de la santé, CMU) * En compensant les handicaps naturels et sociaux de départ (discrimination positive) 2) Une justice corrective : cherche à améliorer le sort des plus démunis (redistribution de revenus et principe d’impôt progressif). 3) La justice distributive : chacun reçoit en proportion de ce qu’il apporte (exemple : les retraites) 4) Une justice universaliste : assurer la l’égalité des droits (même droit entre les hommes