La Redistribution Des Revenus Est Elle Efficace

n'est pas un bon indicateur de bien être, nous allons voir que même en temps qu'indicateur de richesse il fait déjà l'objet de contestation. Dans cette étude nous chercherons ainsi à démontrer : en quoi le PIB ne se présente pas comme un indicateur efficace de mesure du bien-être? Nous verrons dans une première partie le PIB et ses attribut, et dans une seconde partie ses limites. I. Les attributs du PIB Le PIB (Produit Intérieur Brut) est un indicateur économique important, voir principal

ordre de gouvernement dispose sous son propre contrôle de revenus suffisants pour exercer ses fonctions exclusives ». Toujours dans l’introduction du texte, l’auteur annonce la thèse qu’il va plus tard défendre. Pour lui, le fédéralisme fiscal est un indicateur crucial du fédéralisme. Alain Noël divise son argumentation en trois parties; chacune d’elles répondant à une question posée. Tout d’abord, il s’interroge sur « le partage des revenus à proprement parler (…) et l’équilibre recherché entre la

déterminée. Elle est élaborée par la Banque de France et permet à la fois d’évaluer l’insertion du pays dans son environnement extérieur et de fournir de nombreux éléments statistiques permettant de calculer les agrégats nationaux (produit intérieur brut, revenu national…). Par ailleurs la balance des paiements française est intégrée à celle de la zone euro, qui sert d’indicateur pour mener la politique monétaire européenne. C’est le Fonds monétaire international qui a élaboré les conventions, normes, définitions

[…] La réactivation des solidarités de proximité qui s’expriment notamment dans la sphère familiale peut traduire une sorte d’essoufflement des solidarités publiques, mais [on peut] voir entre elles une forte complémentarité. Pour être pleinement efficaces, les solidarités familiales doivent s’appuyer sur des solidarités publiques et les prolonger. En faisant peser sur la famille des responsabilités et des charges trop lourdes, il y a un risque qu’elles s’épuisent et qu’elles deviennent encore plus

Chapitre 3 : INTERVENTION DE L’ETAT DANS L’ECONOMIE L’intervention de l’État est justifiée par les défaillances du marché, puis la stabilisation de la conjoncture économique par une relance budgétaire et enfin la redistribution des revenus. Comme toute organisation l’État peut engendrer des inefficacités dans l’utilisation des ressources, l’intervention peut avoir des limites. 1) les défaillances du marché : On a une défaillance du marché lorsque le système de prix et le mécanisme du marché

40% du budget européen. Ils permettent d'assurer la nécessaire convergence des économies, l'attractivité des régions et les coopérations transfrontalières. Il y a donc une vraie volonté européenne d'aider les régions les plus pauvres à rattraper le revenu moyen de l'UE. La gestion de la monnaie unique est naturellement une prérogative européenne. La monnaie unique européenne, l'euro, a consolidé les avantages de l'intégration économique (voir l'activité "les effets de la création de l'euro"), mais

Ce qui singularise les pouvoirs publics c'est la capacité à prélever des ressources économiques de force à d'autres agents économiques. Mais il faut faire attention de ne pas prélever trop, que ce soit efficace, que les rentrées d'argent soient rapides et équitables. L'état est il plus efficace que le marché à couvrir les risques sociaux ? Les pouvoirs publics sont les administrations publiques : * Administration centrale * Organismes de sécurité sociale * Collectivités territoriales

sécurité sociale (maladie, chômage); dans son acception élargie, le rôle providentiel de l'État peut être étendu aux services publics qui ne découlent ni d'une nécessité de police ni d'administration civile. Il veut que tout le monde est les mêmes revenus et que tous est un niveau suffisant au moyen qu’on le redistribue, la collectivité met en commun des ressources selon la capacité contributive de chacun, afin non seulement de protéger et prémunir les individus des risques de la vie auxquels ils peuvent

répartition primaire des revenus étant inégalitaire, il est apparu nécessaire de faire jouer à l'Etat un rôle dans la redistribution des richesses entre les agents économiques. Cette nouvelle fonction de l'Etat s'est traduite par l'apparition du concept d'Etat-providence. En effet, selon la perspective de Keynes, un déficit budgétaire peut permettre de relancer l’activité économique grâce au supplément de revenue distribué aux agents économiques. La croissance des revenus qui en résulte va permettre

Réformer notre système fiscal est plus que jamais nécessaire. Passage en revue des impôts et des propositions pour les rendre plus équitables et plus efficaces. Il y eut d'abord la réforme fiscale votée en 2006, sous le gouvernement Villepin, qui ramenait de 48% à 40% le taux marginal de l'impôt sur le revenu et instituait un premier bouclier fiscal. Puis est venu, en 2007, à l'initiative d'un Nicolas Sarkozy fraîchement élu, le "paquet fiscal", qui a fortement réduit les droits de succession, modifié