La Problématique Du Secret Bancaire

est dans une activité différente de l’activité principale Ex : chargeurs réunis = Pathé (cinéma) / Boussac (textile) Choix = diversification dite « conglomérale » ≠ concentrique Les produits financiers s’assimilent à une rentabilité d’activité bancaire Produits financiers peuvent venir de placements de trésorerie Investissement financier à court terme ( emprunt à 6-7% Prime de risque complémentaire pour les organisations 3-4% L’entreprise emprunte à (6-7 + 3-4) = 10-11% 1Bb : les éléments

Section 2 : Les principales d'Économie Islamique Section 3 : Les principales de la Finance Islamique · Chapitre 2 : Le fonctionnement du système financier islamique Section 1: Financement participatif vs financement par dette Section 2: Le système bancaire Section 2: Les marchés financiers · Chapitre 3 : Le développement du système financier islamique Section 1: Histoire et évolution du système financier islamique Section 2: État actuel du système financière islamique Section3 : Problème rencontrés

pour une politique d’ouverture aux grands groupes nationaux dont les sièges sociaux se trouvent en Alsace. Cette double clientèle est à la fois source d’enrichissement (d’un point de vue culturel) mais aussi parfois de difficultés. En effet, les problématiques ne sont pas les mêmes en fonction des clients : Dans les grands groupes nationaux qui ont su faire confiance au cabinet, l’accent est mis sur la réactivité, la célérité et l’efficacité. Des réponses précises en termes de conseil doivent être

Gestion des risques bancaires dans le cadre des Normes Bâle II Quel impact sur l’activité bancaire ? (Vers une meilleure gestion des dossiers de crédit) Réalisé par : Mlle Merieme Amraoui 4ème année, G1 FC1 Encadré par : Mr. Belghali Année universitaire : 2007/2008 Remerciements Pour autant qu’il soit la somme d’une expérience ou d’un essai de réflexion, les aides ou influences extérieures ne sauraient être méconnues, encore moins, reniées. Loin de l’image épinale du face à face solitaire

investissements ont survécu et n’ont été abrogés qu’en 1996. Malgré ces performances macro-économiques, l’économie marocaine reste fragile et vulnérable aux chocs exogènes. Dans ce cadre, nous allons traiter cinq thématiques qui font l’objet de la problématique fiscale à savoir : les paradis fiscaux, les incitations fiscales en matière de création d’entreprise, les incitations fiscales de matière d’introduction en bourse, l’optimisation fiscale, et enfin la lutte anti évasion fiscale au Maroc. 3

grand rôle aussi bien entre les agents économiques que dans le développement du dit pays. Ainsi, en tant qu’institution financière, elle est l’intermédiaire entre les épargnants et les emprunteurs. Au terme de l’article 3 de la loi portant règlement bancaire dans la zone de l’Union Economique Monétaire Ouest Africaine : «  sont considérées comme Banques les entreprises qui font profession habituelle de recevoir des fonds dont elles peuvent disposer par chèques ou virements et qu’elles emploient pour

ligne……………………………………………………………………….17 2.1.1 Avec souscription d’un abonnement…………………………………………………………...17 2.1.2 Avec ou sans souscription d’un abonnement………………………………………………….18 2.2 Le Crédit Agricole en agence……………………………………………………………………...19 2.2.1 Les automates bancaires……………………………………………………………………….....19 2.2.2 Les guichetiers chargés de clientèle…………………………......................................................20 2.2.3 Les conseillers financiers…………………………………………………………………………22 2.3 Réflexions…………………………………………………………………………………

définis comme des instruments de paiement universels, permettent aux agents économiques, qu’ils soient PME/PMI, commerçants, etc., d’importer et d’exporter des biens et services de manière fiable, rapide et sûre. Créé au XIX siècle par la pratique bancaire, le crédit documentaire ou « Credoc » est un moyen et une garantie de paiement qui, à l’origine, n’était pas bien réglementé, les banques préférant, à l’époque, ne pas intervenir dans l’intermédiation ; ce qui n’est plus le cas, aujourd’hui. Et

déontologie…  * le secret professionnel : La loi du 24 juillet 1966 énonce que « les commissaires aux comptes, ainsi que leur collaborateurs et experts sont astreints au secret professionnel pour les faits, actes et renseignements dont ils ont pu avoir connaissance à raison de leur fonction. ». S’ils ne respectent pas cette loi, le code pénal prévoit une sanction d’emprisonnement d’un an et une amende de 15 000€ en cas de « révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en

IV- La gestion du risque par l’audit interne……………… 50 V- Risk Management……………………………………. 52 VI- Autres techniques ……………………………………. 53 Conclusion générale Bibliographie INTRODUCTION GENERALE Les métiers bancaires, qu’il s’agisse des activités de banques commerciales ou des activités de banques de marché, sont générateurs de risques variés, lesquels sont aujourd’hui particulièrement aigus, en raison des transformations qui ont affecté l’économie financière :