La Peste Métaphore

très attentif au corps : « les dents de nouveau serrés » l3, « parut respirer plus vite » l8 (observation sans certitude, interprétation) = La mort d’un innocent • L18 à 51 Métaphore filée de la peste qui devient incontrôlable Douleur matérialisée par les larmes (l31) La peste s’acharne contre un innocent → idée du crucifié (l36) Impuissance des adultes (qui sont extérieur à lui) - Tarrou essaye d’apporter du réconfort « essuya le petit visage » (l37) • L52

un écrivain. Il relate dans ses œuvres des situations lui permettant de faire part de ses réflexions. En 1947, deux ans après la fin de la seconde guerre mondiale, La Peste paraît. Camus y compte à travers la chronique d’un médecin l’évolution de la vie à Oran sujette à une épidémie : La peste. A la fin du mois d’octobre, la peste poursuit inlassablement ses ravages. Le docteur Castel a mis au point un sérum qui va être essayé sur le fils du juge Othon dont le cas est jugé désespéré par Rieux. Entouré

mal de divertissement, manque de réel conviction religieuse. Le fait qu'ils se déplacent est du à la curiosité par un ennui ou désœuvrement plus que d'un intérêt spirituel véritable : « Les premiers jours , beaucoup d'habitants ». Il y a aussi une métaphore maritime « marée » « refluaient » qui représente leur concession du service religieux « flux de paroles sans signification » pour écouter la marée d'invocation et de prières ». Ils agissent par mimétisme et avec frilosité (appréhension) : « peu à

obtenir le Prix Nobel de littérature. 2) Qu’est-ce que « l’homme révolté » selon Camus ? Selon Camus, l’homme révolté est l’homme qui dit non, qui refuse mais ne renonce pas. La révolte naît pour lui naturellement quand l’homme est opprimé (dans La Peste c’est le fléau qui opprime les hommes). Il dit que l’homme ne vit que pour sa révolte qui peut prendre diverses formes : philosophique, poétique, historique, politique… 3) Présenter les personnages principaux : Les personnages principaux du roman

prioritairement la passion, la satire et l'ironie. I : Une écriture incisive pour dénoncer l'intolérance. 1 : Un dictionnaire « subjectif » : une forme délibérément choisie. 2 : Une écriture incisive qui fait place à la passion : le rôle de la métaphore. 3 : Une prise de position fermé basée sur l'ironie et les exemples issus de la religion elle-même. II : Contre l'obscurantisme, les lumières de la philosophie. 1 : La philosophie comme remède à l'intolérance. 2 : Le philosophe comme

Père Paneloux, La Peste, Camus Alors que la peste sévit depuis un mois et que les porte de la ville ont été fermées, une semaine de prières collectives est organisée. Elle est ponctuée par le prêche du père Paneloux, « jésuite érudit » apparu brièvement aux côtés du concierge Michel avant sa mort, dans la première partie du texte. Comment le narrateur rapporte-t-il ici l’interprétation religieuse de la peste ? [Autres questions possibles : quelle interprétation de la peste donne Paneloux 

La chronique d’une épidémie -Bernard Rieux, personnage principal et narrateur décrit l’apparition, la progression puis la régression de la peste d’avril à février 194.. -La réalité de la maladie est décrite grâce au travail de Rieux qui est médecin. - La lutte, les mesures de précaution (gestes, isolement et quarantaine, usage du sérum, etc.) sont longuement détaillés de façon réaliste. Les statistiques, régulièrement mentionnés, confirment l’extension puis le repli de l’épidémie. Cela est montré

un écrivain. Il relate dans ses œuvres des situations lui permettant de faire part de ses réflexions. En 1947, deux ans après la fin de la seconde guerre mondiale, La Peste paraît. Camus y compte à travers la chronique d’un médecin l’évolution de la vie à Oran sujette à une épidémie : La peste. A la fin du moi d’octobre, la peste poursuit inlassablement ses ravages. Le docteur Castel a mis au point un sérum qui va être essayé sur le fils du juge Othon dont le cas est jugé désespéré par Rieux. Entouré

Devoir surveillé (2H) – La Peste, Albert Camus (1947), p169/170 A la fin de la troisième partie, le narrateur Rieux décrit le comportement des habitants d'Oran ayant vécu une séparation, soit que l'un de leurs proches soit mort, soit qu'il soit resté à l'extérieur de la ville close. |1 | Ils étaient à ce point abandonnés à la peste qu'il leur arrivait parfois de n'espérer plus qu'en son sommeil et de se surprendre à penser : | | |« Les bubons, et qu'on en finisse

l'auteur de La Peste, publié en 1947. Orphelin de père et élevé par sa grand mère, il n'a eu aucune éducation et abordait un langage vulgaire durant son enfance. C'est grâce à une bourse obtenue par son instituteur que Camus pourra aller au lycée pour acquérir et apprendre à apprécier la langue française. Il intègrera plus tard le parti communiste pendant deux ans, deviendra journaliste puis sera exilé en France en 1940. C'est après la deuxième guerre mondiale qu'il publie La Peste, un chronique qui