La Méchanceté

. Brasse-Bouillon fixe sa mère et lui parle a l’intérieur de lui même . En effet, dans cet extrait , on peut voir la haine que Brasse-Bouillon éprouve pour sa mère et a quel point il la déteste . Mais parfois toute cette haine est du a la méchanceté et la sévérité de la mère qui attend le moindre détail pour ainsi punir son fils . Or , si la mère n'était pas d'une cruauté insupportable , Brasse-Bouillon et son frère ne l'aurait pas détesté et n'aurait pas tant de haine a éprouver . Ici , Brasse-Bouillon

évoquer l'étalage de leur aisance par les bourgeois de Charleville : le verbe "déborde" qui décrit le trop-plein de tabac est placé en rejet par le "débordement" du vers 19 sur le vers 20. c) Bêtes, méchants et prétentieux - L'idée de bêtise et de méchanceté est annoncée par l'expression "bêtises jalouses" : les habitants de Charleville profitent du concert du jeudi pour cancaner sur leurs voisins, laissant ressortir leur jalousie. On se moque aussi des musiciens : "soulignent tous les couacs". Car

ses comparaisons qui le rendent si bestial, Maldoror a bien du mal à se faire accepter par le monde animal. Il est réellement, absolument seul, « isolé comme une pierre au milieu du chemin ». III. Sentiments 1. Analyse de sa situation, sa méchanceté Sans doute est-ce ce mal-être qui pousse Maldoror à analyser la situation. D’ailleurs, vers la fin, le texte est truffé de points d’interrogation et d’exclamation. Il fait clairement des efforts pour comprendre son rejet, de se comprendre lui-même ;

ambiguïtés, des mots qui tuent, des situations qui ont l’apparence de la normalité mais que l’on sent confusément illogiques sans vraiment savoir en quoi. Son attitude est déstabilisante car il n’y a pas franchement de la méchanceté : égoïsme et excuses s’alternent, méchanceté et embrassades se suivent si bien qu’on ne sait plus. Un accès de fureur ici, un regard angélique ou surpris tout de suite après. On vous fait un cadeau tout de suite après une crasse. Si vous restez dans le dépit, vous devenez

narration neutre : pas de marque tu tragique (l.28/29) Le loup l'emporte et le mange sans autre forme de procès . Toutes les observations nous amènent au dialogue . Le Loup est l'allégorie de la partie sombre : cruauté , puissance , ambition , méchanceté : cruauté animée par le désir de nuire ; c'est celui qui tue pour vivre : du coté de la mort : sans scrupules . L'Agneau est l'allégorie de la douceur , candeur poussée à l'extrême , la gentillesse , la pureté «  doux comme un agneau » . Naïveté

sans argent. » (p.146). Bien que d’autres personnages dont Charles, Cruchot de Bonsfons ou encore le marquis de Froidfond affichent clairement leur amour pour l’argent, Félix Grandet détient la palme d’or de l’avarice ; pas uniquement à cause de sa méchanceté envers son neveu qu’il refuse d’ailleurs de « secourir » (p.158) mais aussi de par son injustice envers son épouse et sa fille à qui il fait mener une vie pauvre alors qu’il est assis sur une fortune colossale. Le père Grandet est en plus calculateur

scélérats exercent leur méchanceté parmi des Ce récit montre que le plus grand bienfait qu'on puisse La raison du plus fort est toujours la meilleure : gens qui les connaissent, ils ne gagnent rien à leurs attendre des méchants est de ne pas subir de leur part une Nous l'allons montrer tout à l'heure. machinations. nouvelle injustice. Voici les trois moralités correspondant à ces trois fables. A toi de les remettre à la bonne place : Ainsi quand les scélérats exercent leur méchanceté parmi des Ce récit

la nature fondamentale d'une personne, mais je ne suis pas d'accord avec lui quand il mentionne que tous les êtres humains naissant sont de nature bon et aimant l'ordre et la justice. La méchanceté peut être présente chez de jeunes enfants même si on les éduque à être bon. Ils peuvent naître avec une méchanceté naturelle. D'après moi, c'est dans l'éducation qu'on inculte vraiment l'ordre et la justice et comment avoir un bon comportement afin de ne pas être méchant. Malgré mon opinion sur leurs philosophies

Élargissement lettre 8 I) Peuple troglodyte égoïste : Le premier peuple est non-vertueux, vivait dans le vice. - Champ lexical péjoratif : « méchanceté » « injustices » « malheurs » « corruption » « désolation » « indignes » « cupidité » - Ainsi ce peuple est responsable de sa propre déchéance. Ligne 1 « les troglodytes périrent par leur méchanceté même » Ligne 2 « de tant de famille il n’en resta que deux » Opposition : « Tant de familles » « que deux » => montre à quel point l’égoïsme

civilisé : L'homme sauvage est « sujet à peu de passions » : il n'a donc aucune raison de nuire à ses semblables comme le fait l'homme social. Résumé : L'homme primitif n'étant pas en relation avec ses semblables, il ne saurait montrer ni honte ni méchanceté. Il obéit seulement à l'instinct de conservation. Ainsi pense Rousseau, qui fonde l'inégalité sur des rapports de dépendance réciproque. Dès l'instant où l'homme eut besoin du secours d'un autre, l'inégalité du rendement individuel créa l'inégalité