La Méchanceté

(pensent-ils) Scène 2 Tartuffe entre dans la pièce. Dorine lui annonce qu'Elmire va arriver d'un instant à l'autre pour lui parler. Scène 3 Entre Elmire. Au fil de la conversation, Tartuffe lui déclare sa flamme. Elmire le repousse, mais sans méchanceté et dit qu'elle ne dira rien sur cette folie à condition que Tartuffe refuse de se marier avec Marianne. Scène 4 Damis, qui écoutait toujours, sort de sa cachette et crie qu'il va prévenir Orgon. Scène 5 Entre alors Orgon. Damis dénonce

emplis des pires vices. Sachez qu’il était tellement empli de méchanceté qu’il n’était guère aimé par ceux qui venaient au château lorsqu’il advenait quelque ennui. Ce méchant homme, comme un porc, s’engraissait, s’emplissait la panse en buvant du vin en douce, en mangeant de gras poulets et de nombreux poussins. Le Comte en revanche, lui, avait une belle et forte réputation. Il menait une vie saine et ne faisait que rire de la méchanceté de l’autre. Or, un jour, le Comte décida de donner une grande

« plaisirs »/ »mal ». « centuple »=hyperbole-« un mal dont elles ont dû apprécier la douleur » lexique de la souffrance/relative « dont »-l.8-11 : champ lex de la cruauté « nos douleurs, mal, violence, méchanceté, torturé, tue, atroce supplice »-l.10-11 : 2 questions rhétoriques : « leur méchanceté…passion ? »-« Mais….supplice ? » : « Mais » advb d’opposition. « Atroce supplice »=périphrase-Antithèse « indifférence » / « atroce supplice »-Emotion vive de Raphaël. Passage lyrique et sensible en contradiction

culpabilité. Diderot veut nous dire que le comportement de quelqu'un n’est pas en soi moral ou immoral. La moralité n’est pas universelle .La thématique principale c’est de raconter la vérité, pas de fiction ; le bonheur et le malheur, la bonté et la méchanceté et le bien et le mal. La représentation esthétique de la réalité dans Ceci n'est pas un conte éclaire la mise en scène rhétorique de son titre. Diderot y exploite dans ce conte conversationnel les deux grandes ressources de la littérature (récit

de bourreaux sans victime, Giono analyse la bonté comme la méchanceté, comme deux passions qui sont assez proches, et parfaitement symétriques, cruauté de Th qui réponds a la générosité de Mme Numance , toutes les deux procèdent d’un manque, d’une mère d’un coté et d’un enfant de l’autre et elles ne sont pas radicalement ≠, deux psychologie pas totalement ≠ en revanche, Giono montre plusieurs sorte de bonté et plusieurs sortes de méchanceté, et les ≠ apparaissent a l’intérieur des notions : bonté :

s’aperçoit que les parents de Conrad ne sont jamais présents quand il l’invite chez lui. Conrad lui confie alors qu’ils ne supportent pas les Juifs et qu’il est obligé de cacher son amitié avec Hans. La montée du nazisme en Allemagne accentue les méchancetés et les moqueries de ses camarades de classe que subissait déjà l’enfant d’origine juive. Conrad ne fait alors plus attention à son ami et Hans ne comprend pas sa réaction. Devant la gravité de la situation, les parents de Hans décident de l’envoyer

jugement, même si elle-ci partait d'un bonne intention. La vérité peut blesser, dans le cas d'un vérité subjective, comme dire à quelqu'un ce que l'on pense réellement de lui. Dans ce cas, la franchise se transforme en violence, voire même en méchanceté si le but était de faire du mal. Dissimuler la vérité signifie, en un sens, être malhonnête. Le mensonge est souvent considéré comme la faute morale par excellence. Mentir, dans la plupart des cas, c'est restreindre la liberté de l'autre

qui croyait le piéger en le faisant surveiller. Cet épisode, situé au début de l'œuvre, a donc pour objectif de décrire plus amplement la personnalité calculatrice et inébranlable du libertin. Quant à la Marquise de Merteuil, elle se moque avec méchanceté de Valmont. Dans la lettre cinq, elle lui dit qu'il à « perdu la tête » et que ses caprices sont « ridicule », elle se moque également de la Présidente : « Toujours mise à faire rire ». Elle mets en garde le Vicomte « Croyez-moi, Vicomte, quand

maîtres Les valets « cruauté » « outrages » « barbarie » « maux » « injustes et superbes » « en mauvais état » « superbes » « humains, raisonnables et généreux » → Effet d’insistance sur la méchanceté des maîtres (plus grand nombre d’adjectifs) → Cette opposition suggère que la méchanceté n’est pas innée et que c’est la position sociale qui rend les hommes méchants. b) Corriger les maîtres Cette volonté de corriger les maîtres, de les rendre meilleurs, est exprimée grâce à deux images

valent mieux qu’eux. En outre, sa prétention peut être souligner par l’évocation de Dieu, comme le montre la citation (l2) « Dieu ait récompensé ma franchise »/ Pour montrer et dénoncer de façon encore plus forte cette même méchanceté, le personnage ne parle pas de méchanceté mais de « malignité » (l14). En outre, le personnage s’implique de façon directe et explicite dans le sujet en utilisant « Je » à maintes reprises. De plus, ce personnage montre la lâcheté des hommes qui n’assument pas le