La Musique que j'aime

Gérard Jaffrès. La Bretagne en couleur et en musique. La musique est présente partout, surtout dans la pointe finistérienne. Dans ma ville, un chanteur nommé Gérard Jaffrès revient de Belgique chaque été poser ses bagages ici, à St Pol de Léon, pour se ressourcer dans ses racines bretonnes. En effet, c’est là qu’il a vécu toute son enfance. Ses débuts de guitariste ont vraiment commencé au lycée, comme beaucoup de jeunes. « Le jour où j’ai pris une guitare dans les mains, j’ai eu l’impression

m’espionnent toujours ? On m’ôte mon amant, et on me rend des femmes à la place ; ne voilà-t-il pas un beau dédommagement ? Et on veut que je sois heureuse avec cela ! Que m’importe toute cette musique, ces concerts et cette danse dont on croit me régaler ? Arlequin chantait mieux que tout cela, et j’aime mieux danser moi-même que de voir danser les autres, entendez-vous ? Une bourgeoise contente dans un petit village, vaut mieux qu’une princesse qui pleure dans un bel appartement. Si le Prince est

de très petits pieds pour les femmes. J’ai des petits yeux bruns ; mon teint est foncé mais plutôt claire pour une africaine. Ma tête est plus tôt ronde mais proportionnée à mon corps, mes jambes sont peu courtes ; j’ai des hanches assez larges. J’aime la mode, mais ma mode. Je ne me considère pas comme la plus belles mais je me trouve jolie. Mon portrait chinois Si j’étais un animal, je serais une lionne Si j’étais une plante ou une fleur, je serais une rose Si j’étais un arbre, je

shopping. A : alors, hum, bah la dernière fois c’était, c’était lundi dernier il m’semble bien. J’étais avec un ami, il avait besoin, en fait de s’acheter du parfum. Donc, il voulait un nouveau parfum ou garder le même il savait pas. Alors comme j’aime beaucoup le parfum le parfum, jlai, jlai, jlai proposé de l’accompagner et puis bah voilà c’est tout. On a acheté du parfum, j'lui ai fait profiter de mes moins 20% que j’avais le droit avec ma carte, avec ma carte Sephora et voilà. I : Et euh concernant

certitude d’où vient le proverbe : «la musique adoucit les mœurs», mais certains sont venus à la conclusion qu’il aurait premièrement énoncé par Platon, un philosophe de la Grèce antique. Intrigué, je me suis posé la question suivante : est-il vrai de dire que la musique adoucit les mœurs? Entre l’époque de Platon à aujourd’hui, beaucoup de choses ont changé, dont la musique qui a connu un plusieurs époques marquantes, mais est-ce encore le cas de dire que la musique adoucit les mœurs dans la société

à quel point je hais les McDonald. Cette odeur : graillon, laideur et vulgarité mélangés. Pourquoi les serveuses se laissent-elles ainsi enlaidir ? Pourquoi porter cette visière insensée ? Pourquoi les gens font-ils la queue ? Pourquoi cette musique d'ambiance ? Et pour quelle ambiance ? Je trépigne2 , les gens devant nous sont en survêtement. Les femmes sont laides et les hommes sont gros. J'ai déjà du mal avec l'humanité, je ne devrais pas venir dans ce genre d'endroit. 25 Je me tiens

Mais toute cette approche a aussi des limites. Dans cette démarche, le poème devient souvent un discours adressé à l’intellect plutôt qu’un message envoyé à la sensibilité du lecteur. N’oublions pas que le genre poétique veut faire entendre une musique, montrer le spectacle de la vie, répandre un parfum. Une approche analytique enlève ainsi tout effet surprise au poème, nos jugements sont guidées, nos réactions personnelles étouffées. Une lecture cursive et libre de toute préjugé peut susciter

l’art poétique ou le métier de poète. +document sur V. Hugo, P. Verlaine, Apollinaire 3. Les formes poétiques Calligrammes, Apollinaire + divers poèmes de formes différentes 4. Le langage poétique -> images et musique des mots Pâle étoile du soir, Musset J’aime l’araignée et l’ortie, V. Hugo + diverses poésies jouant avec les sons -> Exprimer des émotions Il pleure dans mon cœur, P. Verlaine 5. Le printemps des poètes Atelier d’écriture poétique Conception d’un

LA MUSIQUE La musique souvent me prend comme une mer, Vers ma pâle étoile, Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther, Je mets à la voile ; La poitrine en avant et les poumons gonflés Comme de la toile, J’escalade le dos des flots amoncelés Que la nuit me voile ; Je sens vibrer en moi toutes les passions D’un vaisseau qui souffre ; Le bon vent, la tempête et ses convulsions Sur l’immense gouffre Me bercent. D’autres fois, calme plat, un grand miroir De mon désespoir

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