La Fête Des Panathénées Fête Civique Et Religieuse

Rome : deux espaces à deux époques différentes .................................................................... 22 Étude Le modèle athénien de citoyenneté ........................................ 23 Étude Histoire des Arts La fête civique des Panathénées à Athènes .......................................................................................... 24 Étude Le modèle romain de citoyenneté sous l’Empire ................. 24 Leçon 2 Être citoyen à Athènes et dans l’Empire romain

L’accent est mis sur l’art et l’artisanat en tant que produit liés à une société donnée. - Il n’existe pas d’art en tant que tel. - L’art grec est lié à la cité. Il n’apparait que tardivement (fin du Vè siècle BC). C’est un art funéraire, votif ou civique et, par la suite, aussi dans un contexte privé (habitat). 1. Limites chronologiques du cours La limite chronologique est liée à la cité, elle varie selon les auteurs. Schliemann à fouillé à Mycènes et à Troie où il a trouvé que l’art existait

nous sommes nés, et Jacqueline de Romilly dans Pourquoi la Grèce ? prétendent que les hommes grecs présentaient des problèmes il y a 2000 ans qui sont encore d’actualité, parlaient comme l’on parle aujourd’hui. Ernest Renan, spécialiste en Histoire religieuse (1823-1892) constate qu’avec les Grecs commencent notre patrimoine intellectuel occidental : littérature,… Renan a écrit entre autres Prière sur l’Acropole dans Revue des deux mondes en 1876 ou Souvenirs d’enfance et de jeunesse. Renan dans Le miracle

France à la fin du 19ème siècle et elle a évolué en proposant des interprétations différentes. La seule certitude que l’on ait est que ces représentations ne pas des manifestations artistiques pures. On propose alors une interprétation magique ou religieuse. Cet art est le reflet de la société et des croyances de l’époque, fortement marquées par l’environnement et particulièrement par le règne animal, indispensable à la survie de l’homme (civilisation des chasseurs de rennes). I) LA CHRONOLOGIE

L’attrait est ici plus particulier, car les conditions 8 de vie sont difficiles, et correspond à une démarche plus risquée d’individus, souvent des célibataires, en proie au mirage de la quête de l’or. Doc. 3 1. Les États-Unis, terre de liberté religieuse (cf. le Mayflower) est vue par les Juifs d’Europe centrale, et particulièrement de Russie (cf. Nicolas II désigné par Roosevelt sur l’image), victimes des pogroms de la fin du XIXe siècle, comme un refuge. Cette image a un double sens : certes, c’est

déjà un début. Dans le domaine de la religion, les pisistratides vont organiser un culte particulier pour Athéna et Dionysos. Il y a un aspect politique dans ce culte : ce sont les festivités qui accompagnent ces cultes. C’est une cohésion civique des athéniens. Le peuple prend conscience de son identité. Les tyrannies se marquent par des progrès de la sculpture antique. Les tyrans on surement la volonté d’intervenir dans le domaine culturel à des fins identitaires. C’est aussi probablement

rhytons de pierre en forme de têtes animales ou de coquillages, et la série des vases à décor sculpté – scènes religieuses et représentations de style marin, des palais de Zakro et de Malia. L’art des ivoires sculptés, en ronde bosse («Acrobate») ou en relief, se développe aussi à cette époque. En glyptique, les grandes bagues-cachets en métal précieux, ornées souvent de scènes religieuses,comme la bague en or d' Isopata évoquant un rituel ( 4 femmes dans la campagne, robe à volants superposés. Visages

la conquête romaine. Il est difficile et facile de définir la Cité ou polis. Pour Aristote au livre III de la Politique, c’est « une communauté de citoyens participant à un système politique ». C’est la communauté civique qui la détermine et non le territoire, la communauté civique peut donc changer de territoire, cela n’affecte en rien la polis. Ce ne sont même pas les citoyens en tant qu’individus puisqu’ils naissent et meurent. Aristote déclare que la constitution ou politeia est une rivière

cher. Les briques étaient jointées par un mortier d’argile, ou de terre mélangée à de la cendre ou à du bitume (pétrole de surface, oxydé, noirâtre, épais.) Les ziggourats Les principaux monuments, les ziggourats, étaient des temples à fonction religieuse, administrative et économique, et peut-être des observatoires astronomiques. Elles comprenaient des salles longues et étroites. Souvent détruites et reconstruites sur place, les ziggourats superposaient plusieurs étages en retrait les uns par rapport

ce qui rapidement apparaît totalement invraisemblable –, est donné par Callias (l'homme le plus riche d'Athènes, cf. la notice de Luc Brisson dans DPhA II, 1994, p. 163167) à l'occasion d'une victoire à une course de chevaux lors des grandes Panathénées en 421 av. J.-C. Socrate est la figure centrale de ce dialogue, dont les autres personnages sont Platon, Autolycos, Antisthène, Nicératos, Critobule, Hermogène, Charmide et deux inconnus, Philippe le bouffon et un Syracusain. (173a). Agathon