La Fontaine Le Vieillard

croissante ou décroissante. Exemples : Un des derniers se vantait d'être En Éloquence un si grand maître Qu'il rendrait disert un badaud, Un manant, un rustre, un lourdaud Oui, Messieurs, un lourdaud, un animal, un âne [...] (Corneille) (La Fontaine) La Fontaine Si vous en voulez plus, vous pouvez également chercher ce que sont les figures suivantes : allégorie, allitération, allusion, anachronisme, anacoluthe, apostrophe, anagramme, analogie, anaphore, antonomase, archaïsme. assonance, calembour

bon conseil. Habile et bon. - Les Oreillons: peuple de la forêt, cannibals, ils n'ont pas de vêtements et sont armés de flèches, de massues, de haches et de cailloux (peu développé). Ils sont ennemis des jésuites, ils ont leur propre langue. - Vieillard savant d'Eldorado: 172 ans, sage, son père était écuyer du roi. Il connaît l'histoire d'Eldorado. - Roi d'Eldorado: poli, gracieux, intelligent, sage, généreux. - Le nègre esclave: esclave de M.Venderdendur, ses parents l'ont vendu pensant qu'il

d'expliquer un phénomène naturel. À la différence du mythe, la légende ne repose pas sur les divinités quoique beaucoup de légendes, en occident catholique, fassent intervenir le pouvoir de saints : par exemple, on trouve en Bretagne de nombreuses fontaines guérisseuses dont les vertus sont attribuées à des saints locaux. Un terme, deux réalités littéraires : conte oral / conte écrit Le conte oral ou conte populaire Article détaillé : conte (oral). Le conte oral est aussi souvent appelé conte populaire

Sujet 65 Beaumarchais répond à un critique qui avait jugé négativement sa pièce Le Barbier de Séville. « La pièce, a-t-il dit, n’a pas de plan. » Est-ce parce qu’il est trop simple qu’il échappe à la sagacité de ce critique adolescent ? Un vieillard amoureux prétend épouser demain sa pupille ; un jeune amant plus adroit le prévient, et ce jour même en fait sa femme, à la barbe et dans la maison du tuteur1. Voilà le fond dont on eût pu faire, avec un égal succès, une tragédie, une comédie, un

affection des papilles, le toucher une affection de de la peau. La sensibilité/sensation s’explique par un ancrage physiologique et la réceptivité de notre corps aux autres corps.Dans sa fable philosophique « Un animal dans la lune », Jean de la Fontaine met en scène les sens ; il rappelle le rôle des sens dans le processus de la connaissance et leur union étroite avec le travail de la raison qui les complète et corrige, c’est la leçon principale de cette fable. Il exprime alors dans sa fable « La

Figures, effets de style : Comparaison et métaphore 1.Comprenez les métaphores suivantes en retrouvant pour chacune d’elles le comparé, le comparant et l’analogie: Des chemins dorment sur ta joue (Gérard Engelbach). Le temps vieillard souffrant de multiples entorses (Robert Desnos). L'heure? Un bourgeon qui fuse (Gisèle Prassinos). Aux enclumes du soir. Frappent les rayons de lune (Federico Garcia Lorca). C'est le temps qui use sa veste (Rainer Maria Rilke). La nuit servante lasse qui

une annonce de la boue, réalité météorologique présente en cas de pluie comme évoquée dans le titre.-Le mort joyeux :-le locuteur parle d’un corps en décomposition, thème lié à la boue. +v1 « terre grasse » (presque devenue de la boue)-Les sept vieillards « Dans la neige et la boue, il allait s’empêtrant » : -évocation de la boue de manière directe II. Pourtant le locuteur/poète des Fleurs du mal dit posséder lui aussi un

Classe de Première S 2 : Convaincre, persuader, délibérer. Question sur corpus pour le 22 octobre TEXTE A - Molière (1622-1673), L’Avare (1668), Acte II, scène 5. [Harpagon, vieillard d’une avarice extrême, est veuf et veut épouser la jeune Mariane que son fils Cléante aime en secret. Pour réaliser ce mariage, Harpagon a recours à une entremetteuse, Frosine, qui le flatte pour en obtenir de l’argent.] 5 10 15 20 25 30 FROSINE. — Voilà de belles drogues1 que des jeunes gens

chez les Grecs, et dotés d’une longévité exceptionnelle : « plusieurs parviennent à l’âge de cent ou cent vingt ans », « peu y en a qui en leur vieillesse aient les cheveux ni blancs ni gris ». L’allusion à la fontaine de Jouvence ( moyen –âge : fontaine ramenant à la jeunesse tout vieillard qui s’y plonge) confirme l’idée d’un paradis d’une éternelle jeunesse. De surcroît, l’évocation de la nudité renforce cette idée. Nous sommes dans la réécriture mythique du paradis originel. Dans l’imaginaire

fonctions de l’hôpital sont diverses : centre de traitement médical, maison de convalescence, asile d’aliénés, maison de retraite pour vieillards et infirmes privés de famille. L’hôpital est dénommé « bimaristan » de « bimar » malade et de « stan » lieu. Aussi, par souci d’hygiène, l’eau, indispensable aux soins, ablutions et toilettes mortuaires est omniprésente. Fontaines et bassins sont disposés autour des salles des malades, apportant fraîcheur, sérénité et confort de l’esprit. L’aération continuelle