La Figure Du Monstre

la recherche de Cerbère et bien vite, il retrouve les traces du monstre et il n'a qu'à suivre les empreintes laissées dans le sol couvert de cendres et de boue. Quand il aperçoit enfin la bête, le spectacle qui s'offre à lui est monstrueux : le chien possède trois énormes têtes et son poil est hérissé de serpents... mais il en faut plus pour effrayer Héraclès qui se précipite en hurlant sur l'une des terrifiantes gueules du monstre. Vêtu de son invincible peau de lion, le héros peut sans trop de

Synthèse I) Cas particulier d’expression de l’angoisse 1) Angoisse existentielle non résolue Ne signifie pas teneur hautement pathologique. Ds registre héroïque, échec, fuite, chute du perso, ou élimination providentielle du monstre dévorant (non détruit par le perso) traduit angoisse non résolue. Angoisse d’échec, d’impuissance du sujet. (Planche 23). Ds registre mystique, difficulté/ impossibilité pr sujet de vivre dans cet univers paisible. S’exprime par le fait que perso

corps ailé et à la chevelure de serpent. Ces monstres vivent dans les Enfers (« faites trêve aux enfers » (v.8)). Mais, la monstruosité de Médée a commencé lorsqu'elle était encore avec Jason. Ils ont tué le frère de Médée et trahi son père : « mon père trahi […] / D'un frère dans la mer les membres dispersés » (v.27/28). Sa fureur s'exprime grâce aux subjonctifs de souhait et aux anaphores présents aux vers 12/13/14 ; 29/30 et 44/45. Ces figures d'insistance et ces subjonctifs permettent

reconnaît pas en elle le Sphinx. Puis, celle-ci se présente : Œdipe se retrouve bien face à face avec le monstre de la mythologie grecque. Tous les éléments du mythe se retrouvent donc dans la pièce de Cocteau et une « voix », rappel du chœur antique, vient rappeler au début de chaque acte les éléments du mythe permettant au spectateur de situer l’action. La rencontre entre le protagoniste et le monstre occupe le deuxième acte de la pièce. L’extrait proposé se compose d’une double tirade du sphinx déclinant

VIII° siècle avant JC, l’Odyssée, composée après l’Illiade raconte les souffrances d’Ulysse qui dut errer sur les mers avant de retourner à Ithaque. Les figures féminines sont omniprésente dans l’œuvre, en particulier dans le retour du héros, narré dans les chants V à XIII. Aussi serait il interressant de nous interroger sur le rôle de ces figures féminines qui rythment les épreuves d’Ulysse dans les chants au programme. Dans un premier temp, nous verrons qu’elles constituent un frein à son avancé

sens qu’il revêt. I) Les caractéristiques du labyrinthe : un symbole de la tradition pour représenter l’errance et les périls. 1) Une figure présente dans de nombreuses civilisations Tout d’abord nous constatons que le labyrinthe apparaît dans de nombreuses cultures : dans la sépulture d’une reine étrusque contenant un labyrinthe, la figure du labyrinthe fait partie de la tradition juive, il se trouve aussi représenté sur des pièces de monnaie chez les Crétois et dans certaines églises

Princesse Finemouche Alors que certaines rêvent de princes charmants, Princesse Finemouche revendique son célibat. Elle aspire finalement à peu de choses. Elle veut vivre sa vie comme elle le désire, entourée de « ses petits chéris », à savoir des monstres, crapauds et bestioles en tous genres. C’est sans compter la volonté de la Reine-sa-mère qui compte bien voir sa fille mariée. Aussi, la jeune princesse accepte-t-elle de rencontrer les princes demandant sa main mais en les mettant à l’épreuve :

d’Ulysse : « le patient Ulysse rentrera » (Chant V, vers 31). Mais à travers ce cas particulier, il faut constater quelque chose de plus général, Zeus décide de la vie ou de la mort des hommes sur terre. Ainsi, la figure des Dieux, figure suprême des forces supérieures de l’Odyssée, est une figure protectrice, des hommes, tout d’abord, mais aussi de la nature. Cependant, si cela leur semble juste les Dieux peuvent choisir de la mort d’un homme qui les aurait trahis. Les Dieux dans L’Odyssée sont donc le

merveilleux + opposition entre la beauté et la bestialité : blâme antithétique. I2- 2 figure en opposition : Un seigneur bestial (« le monstre » proposé comme un synonyme, « je ne suis qu'une bête » + hyperbole « un sifflement si épouvantable.. ») contre une belle invitée craintive (« en tremblant », « frémir »...). Des figures d'oppositions renforcent les contradictions:antithèse « la Belle lui dit le monstre »... I3-Des frontières brouillées entre humanité et bestialité : La Belle et la Bête

produits de « greffe » d’une « donzelle sur une poissarde », en référence à son langage grossier, et même « la mijaurée sous l’ogresse », forte contradiction entre une mijaurée qui est une femme très féminisée et une ogresse qui est un animal, un monstre sans cœur. On peut aussi mettre en lien cet extrait avec un texte d’Eugène Sue intitulé L’ogresse paru en 1843. Ce texte raconte l’histoire d’une femme du même genre que cette Thénardier et en fait un portrait assez ressemblant de celui-ci : « L’ogresse