La Fiction Une Argumentation Efficace

l'essor du roman épistolaire Dans la seconde moitié duXVII° siècle, et tout au long du XVIIIe siècle, le roman par lettres se développe et connaît un grand succès. La forme épistolaire permet à l'auteur de jouer sur les frontières entre réalité et fiction. Plusieurs de ces romans se présentent ainsi comme un échange réel de lettres, dont l'auteur affirme alors n'être que le découvreur et l'éditeur. Cela permet, bien sûr, de contourner la censure ou la condamnation (pour immoralité ou irréligion), mais

expliquerons au contraire, les limites non négligeable de ce choix d'écriture. Tout d'abord, nous allons parler des avantages de l'apologue et de ce choix d'écriture qui plaît aux lecteurs. Ensuite, nous montrerons que ce choix d'écriture est efficace pour transmettre un enseignement d'écriture et qu'il amène à une réflexion des lecteurs. Ce choix d'écriture qu'est l'apologue a été utilisé par de nombreux auteurs au cours des siècles. C'est un genre très ancien auxquels ont recouru les écrivains

ou encore Mme de la Fayette, qui dans son roman La Princesse de Clèves, adopte l’argumentation directe à travers le dialogue entre Mr de Nemours et Mme de Clèves. L’efficacité de l’argumentation directe passe par la dimension logique de cette argumentation. L’auteur cherchera à convaincre son lecteur en touchant sa raison à travers un développement logique et claire comme on peut l’observer dans Emile ou De l’éducation Rousseau réfute pas à pas l’utilité des fables. Commençant tout d’abord par le

littérature dispose de nombreuses formes et de plusieurs moyens efficaces pour contribuer à l’amélioration de la société. (phrase introductive de la première idée de cette grande partie). Les écrivains, au cours des siècles, ont utilisés des genres de textes variés pour véhiculer leurs idées et faire passer un message à leurs lecteurs. En effet, les auteurs jouent de l’explicite (argumentation directe) et de l’implicite (argumentation indirecte), recourent à diverses stratégies argumentatives afin

une leçon. Tout d'abord nous marquerons les points forts et les limites de l'argumentation directe pour ensuite étudier l'efficacité du récit argumentatif. I- Non histoire Mais il peut être intéressant d’exposer directement ses arguments. Les fictions ne sont pas forcément biens comprises par les lecteurs puisque les textes sont plutôt ambigus (message non formulé clairement à cause de la censure). Il faut faire un effort d'abstraction pour dégager la portée universelle. On arrive donc à se

vivent. Dans les textes du corpus, la littérature engagée est utilisée pour dénoncer l’inégalité sociale, l’indifférence face aux difficultés rencontrées par les autres ou l’individualisme et le pouvoir. Comment la forme littéraire est-elle la plus efficace pour convaincre, persuader ou démontrer et quelles sont ses limites ? Nous commencerons par étudier les procédés littéraires utilisés, pour ensuite parler des stratégies argumentatives, puis nous finirons par les limites de la littérature sur la

est la différence entre convaincre, persuader, délibérer ? Justifiez par un exemple.   Définir : apologue, essai, utopie, contre-utopie.   Quels sont les différents genres d’apologues que vous connaissez ? (parabole, fable, conte, roman de science-fiction...)   Définir : registre polémique, satirique, didactique, épidictique...   Qu’est-ce qu’un argument ? Qu’est-ce qu’une thèse ?   Qu’est-ce qu’un argument ad hominem ?   Qu’est-ce qu’une concession ? une réfutation ? un compromis ? une controverse 

l'obligation ainsi opposer dans le texte. Nous venons alors la question suivante : Comment Simone Weil nous démontre que le droit s’articule selon le déterminant qu’est la notion d’obligation ? Nous pouvons distinguer plusieurs étapes dans son argumentation. Dans un premier temps, Simone Weil distingue l'obligation et le droit en s'appuyant sur le concept de la reconnaissance, ce concept étant que la reconnaissance constitue une condition de la vie éthique puisqu'elle est une condition de la vie

fraction de Queneau qui teste l’importance de la forme du récit et sa compréhension chez le lecteur. Ce dernier incarne donc la volonté de l’écrivain de formuler un texte conforme aux attentes d’un public et plaisant à la lecture. Le recours à la fiction prend ainsi toute son importance car il intervient dans la même visée que la forme du texte : il permet de distraire le lecteur. La mise en scène d’animaux contribue notamment à cet aspect car il permet de mettre en place le récit tout en divertissant

auteurs portant même haut cette notion de « théâtre d’idées », tel Beaumarchais, donné ici en corpus. La question est de savoir d’abord dans quels cas le théâtre peut être le support d’une idée voire d’un idéal, puis de savoir jusqu’où il se révèle efficace ; enfin on verra que le théâtre n’est évidemment pas l’unique tribune possible pour nos écrivains. Le théâtre contrairement au stéréotype qui voudrait que ce ne soit qu’un lieu de masques et jeux de scène, se révèle souvent une tribune subtile