La Femme Sans Sépulture

frères ont été tués devant Thèbes, mais un seul peut avoir une sépulture officielle. Créon décide arbitrairement que la dépouille d'Etéocle sera honorée et celle de Polynice laissée à la proie des vautours. Les corps des deux frères étaient tellement amputés qu'il était difficile de savoir qui était qui. Un corps laissé sans sépulture condamne l'âme du défunt à errer éternellement. Aussi Antigone décide-telle de rendre elle-même une sépulture à son frère, en cachette, car Créon a fait promulguer un édit

c'était « une fille Tigirka ». Ne sachant pas ce que cela voulais dire, il avait été trouver son demi-frère a Maputo, mais qui lui aussi lui avait donné la même explication. Passeo avait alors décidé de retourner au Mozambique pour donner une sépulture à cette femme. Mais il raconterait "tout cela la prochaine fois". Passeo n'est pas revenu, il a laissé ses amis avec une énigme et une obsession, le Mozambique. Avis personnel sur l'histoire : Mon avis est mitigé : J'ai moins aimé la couverture

épouvantable corridor qu'arrivent les ombres s'acheminant vers leurs juges. A – Cerbère garde la porte de l'Erèbe où se trouvent les Furies et la Mort. C'est là qu'errent pendant cent ans les ombres infortunées dont les corps n'ont pas reçu de sépulture. C’est une sorte de lieu de transition avant l’entrée définitive dans les enfers. Lorsqu’Ulysse évoqua les morts, ceux qui lui apparurent, dit Homère, ne sortirent que de l'Érèbe. B - L'Enfer des méchants est le lieu où les coupables payent pour

le nouveau maître de la ville. Il décide que Polynice tombera en disgrâce, tandis que le corps d’Etéocle sera honoré. Cela signifie que la dépouille du frère rebelle ne peut être parée des rites funéraires sacrés, et qu’elle va être laissée sans sépulture, à la merci des charognes. Ismène et Antigone sont les sœurs des défunts, et désormais les seules descendantes d’Œdipe. La pièce s’ouvre sur elles : Antigone entraîne sa sœur hors des portes de la cité, de nuit, pour une entrevue secrète. Elle a

Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste et – à ce titre – nouveau roi, a décidé de n'offrir de sépulture qu'à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux

L'histoire :Antigone est, dans la mythologie grecque, la fille d'Œdipe et de Jocaste. Elle est également la sœur d'Étéocle et de Polynice ; c'est elle qui sert de guide à son père aveugle. Polynice étant mort, elle donne au corps de celui-ci une sépulture, malgré les ordres de Créon, son oncle, roi de Thèbes : condamnée à être enterrée vivante pour ce crime, elle se pend pour échapper à la sentence.Hémon, fils de Créon, qui l'aimait, se poignarde alors, fou de douleur.Le mythe antique d'Antigone :C'est

fonctionne, par conséquent par effet de contraste. A/ Ismène et le conformisme : Ismène est une femme qui ne veut pas se mêler des affaires des hommes et qui bien que partageant la douleur d’Antigone et pleurant son frère mort sans sépulture n’outrepasse pas les bornes de la bienséance et de l’obéissance qu’on doit à son oncle et à son roi. Cette exigence d’obéissance est décuplée du fait que c’est une femme et qu’elle ne peut par là imposer sa volonté et inverser l’ordre. Elle n’a rien d’une héroïne

y restera jusqu'en 1793. Mais on découvre par sa correspondance qu'il avait pris secrètement contact avec le roi et sa cour. Espérant être ministre de la monarchie constitutionnelle, il avait prodigué ses conseils et donné des informations. Sa sépulture est alors profanée et ses cendres sont jetées aux égouts de Paris. Profession exercées : il a exercé plusieurs métiers différents au cour de sa vie, comme écrivain, agent secret, diplomate, franc-maçon, journaliste, et homme politique français

de la loi du 15 novembre 1887 prévoient que tout majeur ou mineur émancipé, en état de tester, a le droit « de régler les conditions de ses funérailles, notamment en ce qui concerne le caractère civil ou religieux à leur donner et le mode de sa sépulture ». Lorsqu’elles n’ont pas été expressément formulées (comme dans l’affaire à l’origine de l’arrêt de la Première chambre civile de la Cour de cassation, du 2 février 2010), il convient de déterminer quelle est la personne la mieux qualifiée pour

place. Mais après un an, Etéocle refuse de laisser Polynice devenir roi. Ce dernier tente donc de prendre le pouvoir par la force, et les deux frères s’entretuent. Créon, frère de Jocaste et (à ce titre) nouveau roi, a décidé de n'offrir de sépulture qu'à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et