La Farce De L Avare

- Les Grenouilles III) Molière = 3 nouveaux genres de comédies : - basse comédie = gestes - comique de geste : Avare, L’école des mensonges - Haute comédie : mœurs, mot : le médecin malgrès lui Comédie grec antique : - Comédie de mœurs : trait de société - Comédie de caractère : ridicule - Comédie romantique - Comédie héroïque - Comédie de farce : mari trompé, arroseur/arrosé - Comédie dell-arte : jeu de masque, léger sénario, grosse impro., vertu morale - Comédie

scène. Ce début original et provocateur au regard de la tradition théâtrale, a deux conséquences : d’une part, il intrigue le spectateur qui se demande où est censé mener cette exposition ; d’autre part, il présente un caractère (Argan se révèle un avare obsédé par son propre corps), caractère qui sera le véritable enjeu de la pièce. Ainsi, les quatre scènes d’exposition qui nous sont présentées ici ont en commun de capter l’attention du spectateur en le provoquant, en suscitant chez ce dernier une

Mme Lefèvre se fait voler une douzaine d'oignons dans son potager. Après mûres réflexions, elle décide d'acheter un petit chien. Elle l'appellera Pierrot. Mais arrive la taxe pour les animaux qui est de 8 francs et Mme Lefèvre, qui est riche mais avare, refuse de payer aussi cher... Elle décide alors de jeter Pierrot dans la marnière. Elle a des remords et elle décide de le remonter. Elle va donc voir le spécialiste dans le domaine, qui lui demande 4 francs. Naturellement, elle refuse. Elle lui jette

fenêtres en haut personnages -père Ubu : ancien roi d’Aragon, officier de confiance du Venceslas, mais tue celui-ci et prend sa place ; lâche, naïf, bête, gros, goinfre, méchant, avare, vices primaires, cruauté enfantine, symbole de la cupidité des hiérarchies politiques, l’absurdité de vouloir toujours tout, farce du Moyen Âge accumulation des caractéristiques anti-héroïnes : lâcheté, médiocrité -mère Ubu : perfide manipulatrice, Inspirée par lady Macbeth, pousse Ubu à suivre ses idées, vole

pour seule ambition de faire rire le spectateur ? Nous allons étudier une partie de l'acte III scène 4 ( vers 891 à 941 ) ; où nous allons voir les aspects comique de cette scène et les différentes réflexions que l'on peut avoir . Une scène de farce restitué dans le discourt d'Horace. Dans cette scène Horace à ressue un grés d'Agnès avec une lettre à l'intérieure: " Cette pierre ou ce grès dont vous vous étonniez, avec un mot de lettre est tombée à mes pieds" (vers 915). Il confie donc la ruse

la duperie Une différence du personnage du début de la pièce à la fin = évolution L'avare est une comédie de caractère et de mœurs. Molière montre dans cette pièce les conséquences dévastatrices pour la personne. Les traits de caractère de son avare son d'une vérité humaine si profonde qu'il crée un type. Molière utilise le dénouement peu vraisemblable à la « reconnaissance », où le conflit se dénoue brusquement par la révélation de l'identité ou l'ascendance des protagonistes. Les premières

l’activité 1 : DES ARCHÉTYPES COMIQUES Les personnages de Molière correspondent souvent à des personnages-types de comédie. Plusieurs personnages correspondent à des archétypes* comiques : - ARGAN est le barbon, vieillard colérique, ridicule et avare, souvent dupé par les plus jeunes. - Les DIAFOIRUS sont des pédants, des prétentieux qui font étalage de leur savoir (on peut aussi dire des « fats » au 17e s, à prononcer [fa]). - TOINETTE est typique de son rôle de servante (la version féminine

appuyant la caricature. Il intègre beaucoup de parties chantées à l'action (12% de chants et 38% de récitatifs avec accompagnement musical) et les ballets jouent un rôle important. Ses comédies sont de style varié, de la comédie presque dramatique à la farce, en passant par la comédie d'intrigue ou de caractère, et il exploite toutes les formes du comique : mots (calembours, jurons pittoresques, obscénités...), geste (mimiques, coups), situation, caractère, satire. L'intrigue est simple, développée dans

comédie de caractère qui prend pour sujet les comportements ridicules de certains individus, et grossit jusqu'à la caricature des défauts qui ont existé de tout temps : le dramaturge latin Plaute dans sa comédie Aulularia (la Marmite) met en scène un avare, que Molière reprend ensuite dans son personnage d'Harpagon. Les personnages de niais sont légion au théâtre : ce sont par exemple des maris cocus, dans la comédie grecque d'Aristophane La Nuée des cocus, ou dans les vaudevilles de Courteline, Feydeau

ouvre une lecture possible d’une vérité que le texte contient. Les interprétations modernes de «Tartuffe» sont à cet égard très significatives de la vocation du texte à se renouveler: alors que le comédien du XVIIIe siècle, Augé, tirait le rôle à la farce aux limites de l'obscénité, Stendhal en 1822 note que le public n'a «ri franchement qu'en deux endroits» dans l'interprétation avec Mlle Mars en Elmire. Louis Jouvet, lui, en 1950 au Théâtre de l'Athénée, incarne un Tartuffe réellement pieux et torturé