La Culture Nous Libère T Elle De Nos Préjugés

 La culture libère-t-elle des préjugés ? * Introduction Le mot « culture », renvoie généralement à des traditions ou coutumes diverses, elle désigne toutes les habitudes ou aptitudes apprises par l’homme en tant que membre d’une société. Par conséquent, notre jugement peut être conditionné par la culture qui nous a formés. Etant donné la diversité des cultures, les jugements peuvent être aussi divergents, car enracinés dans des cultures particulières. Dès lors, il nous apparaît qu’une

particuliers, et que comme tels nous ne partageons pas nécessairement avec autrui ; tous aussi nous avons sur quantité de choses des jugements qui nous sont propres, et dont nous sommes à chaque fois intimement persuadés. Mais alors se confronter à la culture, aux œuvres et aux savoirs qui la constituent, n'est-ce pas un moyen de dépasser notre particularité subjective en nous ouvrant à autre chose qu'à nous-mêmes ? Ces goûts et opinions qui sont les nôtres, sont-ils réellement les nôtres, ou bien plutôt

numérotées de 1 à 2. L’USAGE DE LA CALCULATRICE EST STRICTEMENT INTERDIT 10PHTEME3 Page : 1/2 Le candidat traitera l’un des sujets suivants au choix. Sujet 1 : Les hommes peuvent-ils se passer de lois ? Sujet 2 : La culture libère-t-elle des préjugés ? Sujet 3 : Pour expliquer ce texte, vous répondrez aux questions suivantes, qui sont destinées principalement à guider votre rédaction. Elles ne sont pas indépendantes les unes des autres et demandent que le texte soit d’abord étudié

La culture est un système de normes et de valeurs à lequel nous sommes attaché depuis la naissance, c'est tout ce qui appartient à un héritage, tout ce qui s'acquiert par l'intermédiaire d'un apprentissage, d'une éducation. La nature c'est tout ce qui est inné et se transmet comme hérédité biologique. Ainsi se demander si la culture est un fardeau dont l'homme doit se libérer pour être ce qu'il est, nous met face à un dilemme. Déclarer que la culture est un fardeau, n'est-ce pas un préjugé, une opinion

l'être humain en tant qu'être social. Le regard qui peut nous libérer est le regard de l'autre qui reconnaît l'autre en tant qu'être humain semblable et de valeurs. C'est dans ce jeu incessant du croisement des regards de deux personnes que naît la relation « vraie » et qui cesse les préjugés. Ces regards peuvent avoir de nombreuses divergences mais aboutissent tous au même résultat : les préjugés Comme dans de nombreuses cultures, lors de la première rencontre avec un étranger, la plupart des

généralement les préjugés pour cause de responsable des querelles entre les hommes. Si les hommes vivent dans d’éternelles discordes c’est dû en grande partie aux préjugés. On pense que l’éducation en particulier l’éducation philosophique permettrai d’atténuer le poids de ces mêmes préjugés. Mais cet effort, ne semble pas mettre à terme aux conflits entre les hommes. Les préjugés restent malgré tout tenaces entre les hommes. Poser la question de la « philosophie libère-t-elle des préjugés ? » revient

La culture nous rend-elle plus libres ? Pour le paradoxe d’introduction : D’un côté, en tant qu’ensemble de connaissances et de techniques, la culture élève l’homme au-dessus de la condition animale. L’homme modifie la nature, se modifie lui-même et crée les conditions d’une réflexion sur son existence qui se perpétue de génération en génération grâce à la mémoire et la tradition. Il acquiert donc puissance et maîtrise. Mais d’un autre côté la culture en général n’existe pas à proprement

caractérise une groupe par opposition a un autre mais aussi en tant qu'ensemble de connaissances et de techniques, la culture élève l’homme au-dessus de la condition animale. L’homme modifie la nature, se modifie lui-même et crée les conditions d’une réflexion sur son existence qui se perpétue de génération en génération( avec la mémoire et la tradition). Mais d’un autre côté la culture en général n’existe pas dors et déjà . Elle se développe toujours au travers d'un mode de vie, d'une langue, de normes

débarrasser des préjugés ?Le mot « préjugé » vient tout d’abord du verbe « juger ». En outre, les préjugés sont des opinions ou des croyances préconçues le plus souvent imposées par un milieu, cercle social ou familial, par son époque ou par sa société. C’est-à-dire, cela consisterait à porter un jugement sans même être en mesure de le faire. Ils peuvent avoir des conséquences dramatiques sur les individus ou les groupes de personnes visées. Mais à quoi servent réellement les préjugés ? Probablement

apprendre, BACHELARD (1938) Tout d’abord, cet extrait de texte de BACHELARD rend compte de la difficulté d’apprendre et des obstacles qui nuisent à la compréhension de l’enseignement. L’auteur soutient au final qu’il est nécessaire d’oublier ses préjugés, c’est-à-dire ses connaissances antérieures afin de comprendre de nouvelles sans aucune difficulté. Cet extrait est composé de trois principales parties : une plus ou moins introductive, une seconde qui présente l’exemple choisi par l’auteur, et