La Culture Limite Nos Pulsions

enchaîné au Surmoi archaïque .................................................................113 5 CHAPITRE 6 : LES PULSIONS ET L’ENGAGEMENT DANS LA CONSTRUCTION DU FANTASME CHEZ LE JEUNE DÉLINQUANT......................................................115 6.1 Le chemin des pulsions et la construction des premiers fantasmes .........................115 6.2 Les destins des pulsions et des fantasmes dans le cadre délinquant ........................132 DEUXIÈME PARTIE ............................

font progresser peu à peu psychologiquement .On passe donc à une relation basée sur l’objet , le besoin à celle de sujet , le désir et la maturité relationnelle Selon Freud , la développement de la personnalité s’explique par le développement des pulsions sexuelles , libido . Il parle de la sexualité infantile qui reprend l’autoérotisme et non pas la sexualité entre adulte . Il décrit les stades libidinaux - stade oral : entre la naissance et les 12 - 18 mois La zone érogène

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l’homme et caractérisent l’homme. Il est poussé à se trouver dans lui-même à travers sa nature. La conscience de soi se fait par le savoir et ses œuvres. Le besoin de modifier l’extérieur permet d’humaniser son milieu. L’homme est fondamentalement culture, il refuse son corps à l’état brut. Il extériorise ce besoin par le jeu, on admire le résultat de notre action par l’œuvre d’art, par le traitement de son propre corps. Le travail est mépriser car l’homme est soumis à la matière par cela. Le travail

qui né d'une sensation de manque et qui s'accompagne du désir de la faire disparaître Facteur déclencheur du processus d'achat Besoins physiologique : innés et lié a la survie des individus, limités Besoins psychologique : lie a la vie social et l’épanouissement professionnel d'un individus, limités C. Les motivations et les freins L'achat ou non achat dépend d'un arbitrage entre motivations et frein Motivation : force psychologique positive qui pousse un individu a agir pour satisfaire

trouve sa source énergétique dans les pulsions. En prenant l’exemple du nouveau –né, celui-ci est animé d’une pulsion de vie en pleine essors. Ses pulsions ou désirs sont orientés vers la quête du plaisir. Cette quête se traduit par la satisfaction des besoins (nourriture, boisons, sommeil, affection). Pour Freud la personnalité de l’homme est régie par trois instances : le ça, c’est l’instance 1ere du fonctionnement psychique c’est le siège des pulsions, des désirs satisfaits ou insatisfait de

spirituel, pouvant même pousser un être à désirer l’inutile (ainsi la culture au sens large). Les besoins ne demandent qu’à être assouvis et sont donc limités à leur objet, alors que le désir peut démultiplier, voire créer ses propres objets puisqu’ils ne sont pas fixés à l’avance. L’art ou la pensée sont ainsi l’expression d’un désir humain de ne jamais se satisfaire de la réalité ; en effet tout désir précède son objet et ne se limite pas à lui, il survit à sa possession, alors que le besoin cesse lorsqu’il

par l’un ou l’autre des interlocuteurs, ce qui nous conduira irrémédiablement à une pensée modifiée (sauf pour les personnes demeurant sur leur position.). Afin de nous permettre d’être maître de soi, de ses actes, l’inconscient constituerait une limite à notre liberté que rien ne peut arrêter. Etre libre, cela signifie tout d’abord de ne pas être empêché de faire ce que l’on veut ou encore dire sans crainte ce que l’on pense. L’inconscient quant à lui peut être renvoyé à une réalité psychique possédant

se poursuit dans sa tête une activité fantasmatique continue, Winnicott parle de « rêve diurne », où des choses merveilleuses sont accomplies. Dès qu’elle tente de mettre quelque chose en pratique, comme par exemple peindre, elle se heurte à des limites qui la rendent profondément insatisfaite car elle doit à ce moment-là renoncer à l’omnipotence qu’elle arrive à maintenir dans l’activité fantasmatique. En travaillant sur le rêve (et non sur le fantasme) Winnicott l’accompagne peu à peu dans la prise

serait indissociable de la réalisation du bonheur collectif. Il apparaît cependant que pour satisfaire le bonheur des autres ces derniers doivent être des sujets connus. Le Bonheur étant une notion subjective et relative aux personnes, aux âges, à la culture, il est nécessaire d’établir avec les autres une relation privilégiée pour appréhender leurs aspirations personnelles. Ainsi, l’amitié caractérisée par Aristote dans « L'Éthique à Nicomaque » comme étant la fusion des consciences, est un des meilleurs