La Culture C Est Superflu

opposition avec la culture. Elles représenteraient les intérêts de la famille et la vie sexuelle, tandis que le travail culturel deviendrait toujours davantage l'affaire des hommes, les obligeant à des sublimations pulsionnelles, auxquelles les femmes seraient peu aptes, et retirant aux hommes une partie de l'énergie psychique qu'ils consacrent aux femmes et à la vie sexuelle au profit de la culture. C'est ainsi que la femme se verrait poussée à l'arrière-plan par les revendications de la culture et qu'elle

idées, d’autres valeurs : celles de la civilisation à l’état de nature 1. Il insiste sur l’innocence et le bonheur à l’état de nature où vivent ses compatriotes Heureux, innocents > ils suivent l’instinct de la nature Ils sont opposés par leur culture et par l’océan (symbolique et géographique). Traverser l’océan de façon belliqueuse (teigneux), ce qu’il lui reproche. Il leur demande de partir (impératif, ordres) Avant qu’ils viennent, ils étaient heureux et libres (champ lexical de la liberté

l’harmonie charme, ils répondent en ces termes : « Ces peuples sont bien malheureux d’avoir employé tant de travail et d’industrie à se corrompre eux-mêmes ! Ce superflu amollit, enivre, tourmente ceux qui le possèdent : il tente ceux qui en sont privés de vouloir l’acquérir par l’injustice et par la violence. Peut-on nommer bien un superflu qui ne sert qu’à rendre les hommes mauvais ? Les hommes de ces pays sont-ils plus sains et plus robustes que nous ? Vivent-ils plus longtemps ? Sont-ils plus unis

- apparait non-philosophique, ton assez lyrique. Prière de la fin. Antiphilosophique dans le contenu. Malgré cela : un texte fortement argumenté. - début du texte : différence – identité des mœurs – une morale variation – permanence des cultures – une nature => première opposition entre mœurs et morale. - deuxième opposition : une morale qui est subordonné à la religion. Exemples : ont pour enjeu de critiquer le christianisme : pas nécessaire d’être croyant pour être moral, dieux romains

opposition. La différence entre ce qui serait nécessaire et ce qui serait superflu (ou entre ce qui serait naturel et ce qui serait artificiel) est faussement éclairante. En effet, l’être humain, en tant qu’être conscient doué à la fois de sensibilité, d’imagination et de raison ne peut pas se limiter à sa « nature » purement biologique. Bien que non nécessaires du point de vue de la stricte survie, les désirs ne sont pas superflus du point de vue de la qualité de la vie. Nous avons besoin de développer

premier temps en définissant la notion de luxe ainsi que ses attributs, puis nous verrons en quoi le luxe constitue un véritable moyen de distinction. De manière générale, le luxe est défini de manière très subjective. Selon les différentes cultures et civilisations, il a une connotation très variable. Ce mot a deux racines latines : la première, -lux qui signifie lumière donc le goût, l’éclairage, le rayonnement… ce qui est assez positif. La deuxième, -luxuria qui signifie excès c’est-à-dire

opposition. La différence entre ce qui serait nécessaire et ce qui serait superflu (ou entre ce qui serait naturel et ce qui serait artificiel) est faussement éclairante. En effet, l’être humain, en tant qu’être conscient doué à la fois de sensibilité, d’imagination et de raison ne peut pas se limiter à sa « nature » purement biologique. Bien que non nécessaires du point de vue de la stricte survie, les désirs ne sont pas superflus du point de vue de la qualité de la vie. Nous avons besoin de développer

son propre esprit, d'être parfois confronté à des choses provocantes qui nous réveillent ; parfois le monde est perçu à travers l’œuvre d'art et non plus l'inverse car l'art nous donne à voir des images fortes qui sont un des fondements de notre culture. C'est pourquoi l'art est loin d'être un luxe, une chose superficielle et inutile destinée à une élite. Si l'objet d'art lui-même est inutile car n'est pas fait dans le but de servir à quelque chose, il n'est pas sans conséquences sur celui qui le

A l’époque des grands reportages et des émissions de Télévision qui montrent des contrées lointaines, cela vaut-il encore la peine de voyager ? Il est important de garder à l’esprit que le fait de voyager est avant tout un moyen de découvrir les cultures, les coutumes et les connaissances de d’autres régions du monde même si actuellement on cherche à voyager autrement que physiquement pour s’adapter à la situation économique de la population et aux nouvelles tendances que sont l’apparition des reportages

progrès extraordinaires aux sciences physiques et naturelles, et à leurs applications techniques:elle a assuré sa domination sur la nature d’une manière jusqu’ici inconcevable. Les caractères de ces progrès sont si connus que l’énumération en est superflue. Or les hommes sont fiers de ces conquêtes, et à bon droit. Ils croient toutefois constater que cette récente maîtrise de l’espace et du temps, cet asservissement des forces de la nature,cette réalisation d’aspirations millénaires, n’ont aucunement