La Culture C Est Superflu

donnant de plus en plus d'importance au superflu et de moins en moins d'importance à la transcendance et à la subsistance. Cette tendance à l’inversion des priorités pour l’être humain s’explique en partie par le fait que dorénavant nous n’avons plus trop à nous soucier de nos besoins primaires. Conséquence direct la consommation est devenue, au cours du XXe siècle non plus une nécessité (acheter à manger) mais un mode de vie, de comportement et de culture. Il est frappant de constater que la "grande

ils seraient marginalisés à juste raison. De la même façon, le goût pour l’ornementation vient d’un instinct primitif et la culture, si elle veut continuer à évoluer, doit se défaire de ce mouvement rétrograde. Je déplore ce contresens généralisé qui voit la plupart s’extasier devant les ornementations passées, délaissant les créations vierges de tout superflu. Je m’évertue à essayer de faire réaliser à ces nostalgiques que l’abandon de ces fioritures n’est pas un mal, au contraire, et

est certes mes obligations religieuses ; qu’aurais-je gagné de cette vie si dans l’au-delà j’étais condamné à la perdition ? Ensuite ; je pense que ce qui prime pour moi est mes études ; du fait qu’ils me dotent d’un savoir aussi bien que d’une culture qui amélioreront ma personne. Je ne manquerai point de mentionner qu’avoir de solides diplômes est l’une des clés indispensables pour décrocher un avenir prometteur et de là être un citoyen qualifié, qui apporte une valeur ajoutée à la société ;

LES JEUNES ET LES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE COMMUNICATION I – La culture numérique des adolescents A) Les réseaux sociaux - Les réseaux sociaux existaient bien avant internet. - Groupe de personnes/organisations reliées par des échanges sociaux (clubs d’amateurs,...) - Mais depuis internet, le sens de « réseau social » a prit une autre tournure - Sites communautaires où les internautes d’une même communauté (mêmes passions, valeurs, goûts, besoins) peuvent : - Se retrouver - Partager

visant librement ce qui n'est ni indispensable ni nécessaire ? Mais si le désir est superflu, comment expliquer que l'homme l'éprouve comme un manque ? Plan : I- Constat : l'homme ne désire pas seulement ce dont il manque, car il ne cesse aussi de désirer au-delà du nécessaire (distinction du désir et du manque ; références à la publicité, etc.). II- Explication : parce que l'homme est un être de culture, non seulement il invente toujours de nouvelles manières de satisfaire ses manques (la

parties : dans la première, il s'adresse tout d'abord aux Tahitiens puis dans la deuxième, il s'adresse directement à Bougainville. Dans ce texte, Diderot souligne l'opposition entre deux nations, les qualités des Tahitiens devant les défauts de la culture blanche.       Nous verrons en quoi ce discours présente les méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur quoi repose sa force oratoire.  Lecture du texte Texte complet de Supplément au voyage de Bougainville - Diderot

un appauvrissement? Alors que dans les milieux aisés, elle ne supprime pas les sorties culturelles (cinéma, théâtre, concerts...), relativement coûteuses, dans les foyers modestes, elle fonctionne comme seul pourvoyeur de culture. Or, elle diffuse une culture de masse qui ne saurait remplacer les enseignements classiques; elle offre tout au plus un amorce de savoir, en aucun cas un savoir complet. Sur l'opinion enfin, elle exerce un pouvoir d'emprise. La publicité, par ses slogans et

Elsa Colin-Bénac, 12L La complexité de la nature humaine est au cœur des préoccupations de la philosophie. Nous nous attarderons ici sur la relation entre la nature et la culture de l’Homme, censément contradictoires. La culture peut se résumer à tout ce qui est acquis, transmis, et qui n’est pas « donné » originellement : par exemple le savoir, l’art, le langage, la pudeur, l’intellect, le savoir-faire, la technique, la religion… Elle est donc une notion de civilisation et d’intellectualité

peuvent se définir autour d’un modèle VIP dans le sens ou dans un premier temps il s’agit pour Electrolux de pouvoir définir un modèle créateur de valeurs en restant toujours très actif sur le point « innovations », de pouvoir maitriser les coûts superflus et non créateurs de valeurs. D’autre part, il s’agit pour la marque de pouvoir anticiper les besoins des consommateurs et d’y répondre au plus tôt pour pouvoir faire face à l’imitation de la concurrence. Enfin, le but pour Electrolux est aussi de

des mélanges très exotiques et inédits de danses et musiques de styles et cultures différentes. Ainsi, nos danseurs brésiliens associent du hip-hop avec de la capoeira, du tango ou alors du breack dance sur des airs d'opéra, de samba ou de bossa nova. Tout ceci donne un amalgame rafraîchissant, unique et addictif. III. Des décors et des accessoires moindres Dans une sorte d'éthique commune, aucun accessoire superflu ou décors prétentieux n'ont été ajoutés aux pièces. On pourrait presque dire