La Culture C Est Superflu

profonde des relations entre les sexes * La liberté sexuelle * Sécularisation de la société Effets sur la consommation Perte de connotations : libération et responsabilité Symbole de l’aliénation quand achat Consommer = une largesse et un superflu « On est aussi Impt d’être que d’avoir » = ce n’est pas car on a rien que l’on est rien. Retour sur soi très impt, recherche de soi… Nombreux changement des mentalité, le monde engourdi par des années dorées a été bouleversé mai 68 : on prend conscience

son économie non plus sur la production du nécessaire mais sur la production du superflu. La consommation est devenue, au cours du XXe siècle non plus une nécessité (acheter à manger) mais un mode de vie, de comportement et de culture. Il est frappant de constater que la consommation n'a pu influencer et modifier les comportements de la majorité des individus que parce qu'une mutation s'est opérée dans la culture. S'il est vrai que la publicité imprimée a beaucoup aidé à amorcer cette transformation

(portable, télé, Internet…) engendre des facilités dans la vie quotidienne mais entraîne aussi une diminution de la dépense énergétique or l’absence d’exercice physique conduit à une inégalité entre les apports et les dépense énergétiques La culture est un héritage qui se transmet à chaque génération. Nous reproduisons chaque action que nos parents nous ont inculqué, comme par exemple l’art culinaire qui vari selon les catégories socioprofessionnelles. Ainsi nous avons constaté que les classes

Exemple de plan possible I (est-il possible d’acheter ? comment, « tout » ?)I1) pourquoi achète-t-on ? pour répondre à nos besoins / achats limités, justifiés. On achète aussi du superflu pour répondre à nos désirs : rôle de l’argent : on aimerait « tout » acheter. Problème : on prend nos désirs pour des besoins (rôle de la publicité), on a du mal se raisonner. Donc source d’insatisfaction : on ne peut pas tout acheter ! I2) Les conditions d’un achat : accord avec le vendeur, liberté d’échanger

étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent adressé directement à Bougainville. Dans ce texte, Diderot souligne l'opposition entre deux nations, les qualités des Tahitiens devant les défauts de la culture blanche. Il montre que le comportement prétentieux des colonisateurs est à l'opposé des valeurs des Lumières et n'a pas de place dans une société éclairée. Ce qui concerne la cruauté, la violence, l'immoralité et l'injustice: La cruauté et la violence:

comme au Moyen Âge, sur la logique pour donner la priorité à la rhétorique et à la littérature classique. Oxford et Cambridge attirèrent de plus en plus d’étudiants qui ne se destinaient pas à une carrière religieuse, mais qui puisaient dans la culture classique un trésor de savoir utile; une éducation littéraire et rhétorique les dotait des qualités d’écriture et d’art oratoire requises par l’élite gouvernante de l’aristocratie foncière, des juristes et des agents de la monarchie. Au cours du xviie

qu’elle aide à vivre. “ Claude Roy La littérature est un ensemble d’œuvres écrites, dans la mesure où elles portent la marque de préoccupations esthétiques, quant au mot inutile qui se définit comme ne servant a rien, qui n’apportant rien, qui est superflu. Quant a l’utilité elle se traduit par un usage qui est ou qui peut être avantageux, cela peut aller jusqu’à satisfaire l’un de nos besoins. Le verbe aider et le fait d’appuyer en apportant son aide physique ou morale à une personne et le mot vivre

* les situations variées donnent un rythme rapide et plaisant au récit. * les dialogues de type argumentatif permettent de polariser les points de vue, et de produire des débats sur des sujets nombreux : éducation, guerre, pouvoir, religion, culture… Exemple : Candide de Voltaire. 4.2 Le dialogue L’argumentation peut prendre la forme d’un dialogue entre deux et plusieurs personnages. Le dialogue est un moyen essentiel pour confronter des idées. Dans un dialogue s’opposent non seulement des

prit diverses formes suivant les époques, leurs technologies, leurs structures sociales ou politiques et leurs credo. Le minimalisme a communément été perçu comme une manière de concevoir et réaliser avec un minimum de moyens, en éliminant tout superflu systématiquement assimilé à de l’inutile. Quête radicale d’austérité, simple mise en œuvre ou en forme de logiques fonctionnelles, mise en formes de lignes simples ; tout minimalisme, quelles qu’en soient les raisons premières, avait généralement

« canons pécuniaires de goûts ». Tout d’abord, la consommation ostentatoire est ce qui représente tout le superflu comme les doublures de jupes, les dentelles, les perles, qui sont totalement inutiles mais représentent les critères de l’excellence, de la richesse. Le loisir ostentatoire est la forme la plus simple de la somptuosité, de montrer sa richesse, puisque plus un vêtement est beau et superflu, plus il indique l’élégance et donc l’oisiveté. Ensuite, le gaspillage ostentatoire représente tout ce