La Croyance Religieuse Peut Elle Avoir Un Fondement Rationnel

de vue éthique, c’est-à-dire en tant que système de valeurs dont il s’agira d’évaluer les effets. A. Essai de définition du fait religieux La religion est un phénomène social mystérieux. Il semble consubstantiel à l’homme dès son origine, et peut même servir de critère de l’humanité : on a pu faire commencer l’humanité avec les premiers cultes des morts. C’est donc l’universalité du phénomène qui s’impose à première vue : on ne connaît guère de société sans religion. Mais l’universalité de

épiphénomène? c'est-à-dire un phénomène de surface. Marx : « La religion est l'opium du peuple » = phénomène hallucinatoire. Cela signifierait que la religion n'aurait pas de fondement. Mais la religion est un ph. Persistant. Malraux : « Le 21ème siècle sera religieux ou ne le sera pas ». Il y a donc une Essence/ un fondement. Quelle est l'essence de la religion ? =>Ce n'est pas l'idée de dieux qui constituerait l'essence de la religion. Car l'idée de Dieu, d'un seul Dieu = monothéisme est une

complexité et à la diversité des sociétés 3 c) Sujet ou acteur, qui fait la société ? 4 3) Nature et culture, une interrogation au cœur des sciences sociales 5 a) Critères de distinction entre nature et culture 5 b) L'universel et la règle 6 c) Peut-on traduire le passage / croisement entre la nature et la culture ? 6 d) Trois préjugés relatifs à la culture 6 Deuxième leçon: “Naissance de la sociologie” 7 1) Les années préparatoires, l’émergence de la société. 7 a) Etienne de la Boétie

Religio=(racine latine signifiant) relier ou relire, selon les interprétations. (Ce qui réunit les hommes (à une même croyance, à une même origine, à une même culture…) (L’acte de relire, de réciter, de prier le Livre, le texte sacré. (Affirmer par là sa fidélité. Activité répétitive qui entretient le souvenir, la tradition, l’identité.) I Les racines de la pensée religieuse La religion plonge ses racines dans les premières impressions des peuples et dans leur première tentative de comprendre

logique veut que tout effet ait une cause, une raison. C’est ce qui s’appelle la RATIONALITE (caractère de ce qui est rationnel). Ce qui est rationnel est : - ce qui appartient à la nature de la raison et qui est conforme à son caractère (concepts, manières de raisonner, catégorisations, méthodes hypothético-déductives …etc.) - ce qui est intelligible (que l’on peut comprendre par l’intelligence ou l’entendement) La raison manie les concepts : en effet, elle travaille avec des

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« Dieu est mort » ne doit pas être compris au sens littéral, à savoir « Dieu est physiquement mort » (certains dieux meurent en effet dans les représentations religieuses ou mythologiques). Nietzsche veut signifier par cette formule que Dieu n'est plus la source fondamentale des codes moraux ou téléologiques. Nietzsche reconnaît la crise que la mort de Dieu représente pour les considérations morales établies (dévalorisation des valeurs supérieures). « En renonçant à la foi chrétienne, on se dépouille

"un fondement rationnel". Elles sont donc l'oeuvre de la raison humaine et ne proviennent  pas d'une révélation surnaturelle. La question n'est donc pas de savoir si les lois viennent de Dieu ou non. Cette question, le texte l'a réglé d'avance. Il s'agit de se demander, étant entendu que les lois sont l'oeuvre de la société humaine, si nous avons intérêt à ce que cette origine soit dévoilée aux hommes ou si, au contraire, il y aurait une fonction socialement nécessaire de l'illusion religieuse? Pour

fait-il pas de la croyance religieuse une superstition irrationnelle ? Sommes-nous condamnés à douter de tout et à ne jamais atteindre la vérité ? C Etude d'un texte de PASCAL, Pensées, § 110 La notion centrale et les notions annexes : la vérité, la raison, la démonstration Thème : Différences et complémentarité des 2 facultés "raison" et "cœur". Thèse (l. 1-3), ses deux moments et sa double fonction (critique et polémique) : Pascal n’est pas sceptique, il sait que l’on peut accéder à une sorte

------------------------------------------------- Les fondements culturels de l’activité économique et sociale en Europe et dans le monde anglo-saxon : ------------------------------------------------- Aspects anthropologiques L’homo economicus : l’homme est totalement rationnel dégagé de ses appartenances de groupe, il agit en fonction de ses intérêts propres. Sa morale est strictement utilitaire, elle est basée sur la recherche du bonheur strictement matériel. Ses rapports avec les autres