La Chose d'un autre monde

sa personne ; j'ai donc traduit tel quel. J'espère que vous aurez autant de plaisir à lire que j'en ai eu à retraduire ! NOTE DE L'AUTEUR Je suis Tuesday Lobsang Rampa. C'est mon seul nom, c'est maintenant mon nom légal et je ne réponds à aucun autre. Beaucoup de lettres me viennent avec une conglomération bizarre de noms attachés ; elles vont directement dans la corbeille à papier parce que, comme je dis, mon seul nom est Tuesday Lobsang Rampa. Tous mes livres sont vrais, toutes mes affirmations

sur l’introspection psychologique et la réflexion sur soi. Autant qu’on puisse en juger, ce qui importait alors étaient les œuvres effectives et les actions. Comme l’écrit l’historien contemporain Jean-Pierre Vernant, « le sujet ne constitue pas un monde intérieur clos, dans lequel il doit pénétrer pour se retrouver ou plutôt se découvrir. Le sujet est extraverti. [...] Sa conscience de soi n’est pas réflexive, repli sur soi, enfermement intérieur, face à face avec sa propre personne, elle est existentielle

a un être suprême, je croirais alors que nous serions dans une expérience scientifique où nous serions de minuscule particule dans un monde immensément grand. Malgré nos recherches, nous n’aurions donc pas encore trouvé ce qui se cache derrière l’univers. Es ce seulement une couche superficiel dans laquelle il est impossible de pénétrer et où se sache un autre monde qui contrôle absolument tout et que tout ce qui arrive est déjà prévu par la modélisation qu’ils ont pu créé de nous. 5- De quelle

possible de vivre sans souffrance, sans anxiété et sans névrose. Mais pour atteindre cet état d'éveil nous devons arriver à comprendre que nous sommes nous-mêmes les créateurs de notre propre souffrance. Que notre mental – et non pas les autres et notre monde environnant – est à l'origine de nos problèmes. C'est notre propre mental, avec son flot presque continu de pensées, qui se soucie du passé et s'inquiète de l'avenir. Nous faisons la grave erreur de nous identifier à lui en pensant que c'est ce que

me rappelle bien, voyaient l’intérêt à part du visuel, sauf celui, apparemment secondaire, de pouvoir vérifier sur lui la méthode générale. Or, je crois que le mérite historique de Jean-Marie a été celui de comprendre, pratiquement avant tout le monde, que le visuel ne se situait pas à côté de l’objet “classique”, le texte, mais qu’il en était tout à fait différent. C’est lui, en effet, qui a rédigé en grande partie, dans le second volume de la Sémiotique (1986) − un produit de toute l’Ecole de

scientifique (si bien sûr il n’est pas instrumentaliste mais réaliste, ie, s’il considère que les théories scientifiques visent, non pas à être des fictions utiles pour le calcul, et la pratique humaine, mais des miroirs de ce à quoi ressemble réellement le monde), c’est l’essence des choses, leur constitution intrinsèque. Par exemple, nous savons que Leibniz recherchait quelle est la nature ultime, radicale, des choses. Le terme d’ « ultime » nous indique que cette nature des choses ne nous est pas immédiatement

NOTION : LE DESIR Vient de sidus (astre) Considerare (contempler l’astre) Desiderare (absence, manque de l’astre) Désirer : vouloir quelque chose que nous n’avons plus, que j’avais eu autrefois => Quand ? PLATON : Quand j’étais une âme dans le monde des idées. Ce manque, besoin de saisir a nouveau mène à la connaissance. FREUD : Manque du paradis perdu de l’enface. Pour les deux : impossibilité d’une pleine satisfaction Paradis de l’ame et de l’enfant inacecessibles

Fiche de cours : le Désir Le désir est une tension vers un objet manquant. C'est toujours l'expérience d'un manque, d'une insuffisance qui nous pousse à chercher un objet considéré comme source de satisfaction. Domaine des sentiments= domaine des affects Le sujet est passif à des sensations. Le sentiment est l'effet des sensations sur le sujet, à l'intérieur. C'est une sensation au second degré. Passion, émotion, désir : La passion désigne un désir exclusif tel que l ‘esprit se focalise sur

: les nucléons s’assemblent pour former des noyaux d’atomes – avec apparition d’électrons gravitant autour de celui-ci. Stade moléculaire Infiniment petit : Lorsqu'on se déplace vers l'infiniment petit, on parvient au niveau microscopique. Le monde, la matière, les êtres vivants sont fait d'atomes. L'atome est la "brique élémentaire" grâce à laquelle la matière existe. Big Bang  nucléons ( protons, neutrons)  Noyau Electrons  Atomes  Vie Protons/ neutrons : composition du milieu de la

dire c’est croire mais non savoir. Ainsi la vérité d’une croyance n’en fait pas un savoir et la connaissance par ouïe dire n’est pas une connaissance scientifique. Cette distinction est différente donc de la distinction du vrai et du faux : tout le monde croit savoir que la terre tout autour du soleil mais qui le sait vraiment ? Le savoir lui au contraire suppose qu’on comprenne les raisons pour lesquelles on est en droit de donner ou non notre assentiment à cette vérité. Il nous faut dès lors distinguer