La Bruyère Et La Religion

Jacquemin Paul1ère ADissertation OB 3 La littérature d’idée est un genre littéraire qui est au service de l’argumentation et représente tous les écrits et essais à portée philosophique ou politique. Il fut démocratisé à partir du XVIème siècle mais est fortement utilisé lors du siècle des Lumières, c’est-à-dire au XVIIIème siècle. La portée philosophique et politique que possède ce genre permet de dénoncer par la satire ou par d’autres moyens les mœurs de la société. C’est pourquoi ces

Monstre = décalage entre ce qu’il éprouve et ce qu’il laisse paraître. Rsnmt inductif. Défend la même idée que Montaigne, mais l’aspect critique est ici plus marqué. - Voltaire – Dictionnaire philosophique « torture » La cible principale est la religion et ses représentants. A travers l’exemple du chevalier de la Barre, et dans un raisonnement inductif, Voltaire dénonce les condamnations abusives, l’intolérance religieuse dans le système politique. Il a aussi dénoncé l’esclavage (participe à l’affaire

balbutiements , notamment avec Jean Calvin (1505-1564) , qui à fin de répandre sa doctrine protestante en France,traduisit lui-même son livre intitulé « L’institution de la religion chrétienne  » considéré comme un travail important jamais vu auparavant . Amyot, helléniste distingué aborde d’autres sujets que la religion. Dans ses œuvres, il a popularisé des faits de l’histoire ancienne, et a fourni à ses successeurs un recueil important d’exemples et de réflexions. On trouve aussi parmi les

sont faits pour vivre en société » (l.1). Afin d’illustrer leur argument, ils se réfèrent à Dieu pour persuader, c’est-à-dire agir sur la sensibilité du destinataire afin d’obtenir l’adhésion spontanée à leur thèse. Effectivement, à cette époque, la religion et donc Dieu, tiennent une place importante dans la société. Pour eux, vivre en société est l’unique solution de survie. En effet l’intention de Dieu était de « former entre les hommes cette union » (l.6-7) car les hommes sont « dépendants des autres

des êtres. NB : hypocrite signifie étymologiquement le mime. NB : Procédé de mise en abîme : le théâtre dans le théâtre. - métaphores de la dissimulation : thème de l’ « habit » -déguisement appuyé par “rhabillé” et prolongé par le “manteau de la religion” + images de l’ “abri” et du “bouclier” (l’hypocrisie protège du regard et donc du jugement négatif d’autrui) ; métaphore péjorative du singe pour confirmer l’idée d’imitation mensongère de la vertu et surtout personnification allégorique de l’hypocrisie

Littérature 17éme siècle Le 17ème siècle est caractérisé par les guerres de religions, l’édit de Nantes et sa révocation, mais également les différents courants esthétiques et littéraire. Les deux courants qui s’imposent et s’opposent durant ce siècle sont le baroque qui signifie pierres irrégulières et a un goût particulier pour l’excès et le classicisme qui impose des règles notamment dans le théâtre avec les règles des 3 unités, la règle de bienséance et de la vraisemblance. Il y a d’autres courants

les lointaines chansons " - La liberté est fortement liée à la nature : " dans les bruyères le bois la campagne, les vallons " (de même que la contrainte était justifiée par la religion " le jour des saints apôtres, laisser la reine à ses dévotions "). - les lavandières sont des femmes du peuple, modestes mais " heureuses " Elles représentent tout ce que la reine ne peut plus faire : marcher " dans les bruyères " (qui rappelle " dans les herbes " de l'enfance) chanter l'amour. C'est pour ces

|sujets traités concernent la fresque et exclusivement les questions les plus | |XVI siècle : l’humanisme, pléiade poétique. |hautes de la philosophie ou de la religion. Mais aussi l’étude des sentiments de | |XVII siècle : littérature classique et baroque. |l’âme. Le 17ème siècle n’étudie que des idées ou des passions pour intérêt général| |XVIII siècle : littérature des lumières

mérite personnel C’est la nature humaine dans toute sa diversité. C'est "le sage" ou encore "l’homme de bien" qui sont porteurs de la vertu et du cœur. La vertu, d’après le dictionnaire, est la force morale appliquée à suivre la règle définie par la religion et la société, la disposition à faire le bien.Ce mérite personnel n’est pas reconnu par la société qui lui péfère l'argent. 1.2. L’argent C’est la valeur suprême - celle qui est reconnue. Elle est omniprésente dans le texte : " trésors, fortune

 pour  critiquer  :  habitude   qu’il  y’avais  dans  l’église  pour  se  débarrasser  des  gens  et  les  place  dans   l’abbaye  (lieu  religieux)  //  aux  18  siècle  :  religion  couvent  :  lieux  de  prison  =   torture.  //  20  siecle  :  encore  couvent  «    Magdalena  sisters  »   • Il  propose  la  mixité  pour  lutter  contre  l’hypocrisie