La Bruyère Et La Religion

littérature française au XVIIème siècle : * Contexte : Régime : Monarchie (règnes de : Henri IV, Louis XIII et Louis XIV) Evènement : - 1598 : « Édit de Nantes » = reconnaît la liberté de culte aux protestants -> fin des guerres de religion - 1618 -> 1648 : « La Guerre de 30 ans » - 1672 -> 1678 : guerre France / Hollande - 1686 -> 1697 : guerre de la ligue d’Augsbourg * Genres / Registres : Le théâtre classique : - Tragédies (Le cid de Corneille 1637 / Phèdre

LE MISANTHROPE – MolièreAu XVIIe siècle, des mouvements misanthropes de critique et de remises en question de la nature humaine naissent en France sous l’impulsion d’auteurs tels que Jean de la Fontaine, Jean de la Bruyère ou Molière. Dans le texte étudié, tiré du Misanthrope de Molière, Alceste le personnage principal, réalise une grande tirade sur son opinion de la nature humaine, en critiquant la classe qu’il connait le mieux, les courtisans. On peut se demander en quoi cette scène du Misanthrope

de: Haine Saint Paul (Redemont)M1 : Madame Lengele Marie-Line M2-M3 : Madame Feron Nathalie P1: Madame Zampieri Elise P2: Madame Matilda Terrazzino P3: Madame Carru Ornella P4: Madame Gotti Sandra P5-P6: Madame Heckmans Pascale Maurage M1: Madame Bruyère Mélanie M2: Madame Degey Valentine M3: Madame Debelder Sylvie Madame Fragapane Déborah travaille en collaboration avec les trois professeurs ci-dessus pour l’immersion. P1 : Madame Thomas Mélanie P2 : Mme Hittelet Carole P3 : Madame Bertani Laeticia

Question sur un corpus de texte : Ces quatre textes dénoncent la guerre. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés à cette fin. Ce corpus est composé de 4 textes de siècles différents. Le premier fut écrit par Jean de La Bruyère en 1688, le deuxième est l’article « Paix » extrait d’Encyclopédie du XVIIIème siècle, le troisième est un texte de Voltaire intitulé « Guerre », datant de 1764, et le dernier est extrait de La Guerre de Troie n’aura pas lieu de Jean Giraudoux. Ces

valeur n’était pas, pour les chrétiens, une valeur dans la religion. Contrairement à l’époque du Roi Soleil, lorsque l’on vivait à la cours, se maquiller était de rigueur et la mode vestimentaire devait être suivre. Tout l’apparat était règlementé par des codes. La Bruyère en fera des descriptions plutôt péjoratives (« qu’ils protestent sérieusement contre l’artifice dont elles usent pour se rendre laide », Les Caractères). Comme La Bruyère, beaucoup d’écrivains, poètes, dans différentes époques ont

personnage, à l'occasion hôte de son roi, et il vivait en un temps où le fanatisme était plus courant que la tolérance. C'est pourquoi, sans doute, il a défendu la tolérance avec tant de conviction. La Bruyère, Les Caractères 1. Un être suffisant 2. Dans une société policée 3. L’habilité du portraitiste La Bruyère nous donne son idée des convenances à respecter dans une société polissée. Il présente les règles de savoir vivre, de bonnes manières et dresse un portrait du type même du causeur pervertit par

Dissertation de Français Léopold Sédar Senghor explique « Les écrivains et les artistes doivent jouer, jouent un rôle de premier plan dans la lutte pour la décolonisation. »Selon vous la littérature doit-elle forcément être engagée ? La Bruyère, moraliste français du XVIIème siècle, dans Des ouvrages de l’esprit, dit «L’on n’écrit que pour être entendu, mais il faut du moins en écrivant faire entendre de belles choses». Il veut dire par cette phrase que la littérature doit avoir pour but de

textes dénoncent la guerre d’une façon différente en utilisant des procédés littéraires et des formes d argumentation destinées à convaincre et persuader le lecteur. Dans le texte « Du Souverain ou de la République » les caractères,1688 La Bruyère part de l’idée que la guerre a toujours existée et utilise un procédé littéraire de type argumentaire qu’il illustre de façon dramatique en s’appuyant sur l’exemple du jeune Soyecour, tué à la guerre, qu’il a connu personnellement. L’auteur utilise

brillantes, celle de la jeunesse ou de Descartes, de Corneille, de Pascal, et de Molière, et celle de la maturité ou de Boileau, de Racine, de La Fontaine, de Sévigné, de Bossuet, et de Bourdaloue, achève sa verte et vigoureuse vieillesse avec La Bruyère, Fénelon, et Massillon. Première période (1610-1660) Le XVIIe siècle n'offre d'abord qu'une confusion extrême : l'âge précédent se prolonge dans celui-ci, et la limite est difficile à marquer. Le XVIIe siècle commence dès 1600 avec Malherbe;

bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait pas un homme d'esprit qui veut se faire entendre." ( Des ouvrages de l'esprit, 17) La Bruyère accordait une importance particulière à l'art de bien dire, de dire "juste" et se méfiait de l'éloquence trop fleurie de certains discours comme il le précise plus particulièrement dans le chapitre De la chaire : " L'orateur fait de si belles images