Là-bas si j'y suis

voilà j’avais envie de bouger un peu et puis j’ai rencontré ma copine et on a déménagé. Et donc je suis arrivé ou elle habitait elle avant. D’accord, et vous travaillez ou ? Mathias : Je suis chez Ubisoft, c’est une boite de jeu vidéo je sais pas si vous connaissez qui est à Montreuil sous-bois dans le 93. C’est à 10-15min d’ici en prenant le périphérique. Vous y allez en voiture ? Mathias : J’ai une moto. Donc d’accord pour les lieux de vies antérieurs, donc ici c’est une expérience de

L’hygiène du soignant est essentielle pour lutter contre les infections liées aux soins. Ensuite, je m’apprête à préparer mon chariot. Je mets donc sur l’étage du bas des gants en nitrile taille S, que je mettrais au moment de manipuler l’aiguille. Je place aussi la boîte pour les objets piquants, coupants et tranchants sur l’étage du bas (vérifiant qu’elle n’est pas remplie au dessus du trait) et je place un sac poubelle sur le chariot. Ensuite, je mets un plateau sur l’étage du haut de mon chariot

structure du texte Soulignez les idées qui définissent le genre essayistique. Michel de Montaigne, Les Essais, Livre I, Chapitre L, Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout. A cette cause, aux essais que j’en fais là, j’y emploie toute sorte d’occasion. Si c’est un sujet que je n’entende point, à cela même je l’essaie, sondant le gué de bien loin ; et puis, le trouvant trop profond pour ma taille, je me tiens à la rive ; et cette reconnaissance de ne pouvoir passer outre, c’est un trait

alors ils te croiront. Et en plus, tu as la machine ». La machine, elle est très vieille. Plusieurs de ses touches sont cassées. Je n’ai rien pour la réparer. Elle est capricieuse. Elle est éreintée. Il lui arrive de se bloquer sans m’avertir comme si elle se cabrait. Mais cela, je ne l’ai pas dit car je n’avais pas envie de finir comme l’Anderer. Ne me demandez pas son nom, on ne l’a jamais su. Très vite les gens l’ont appelé avec des expressions inventées de toutes pièces dans le dialecte et que

et le Ramoneur de Hans Christian Andersen As-tu jamais vu une très vieille armoire de bois noircie par le temps et sculptée de fioritures et de feuillages ? Dans un salon, il y en avait une de cette espèce, héritée d'une aïeule, ornée de haut en bas de roses, de tulipes et des plus étranges volutes entremêlées de têtes de cerfs aux grands bois. Au beau milieu de l'armoire se découpait un homme entier, tout à fait grotesque ; on ne pouvait vraiment pas dire qu'il riait, il grimaçait ; il avait des

retour. L'opinion et l'avarice Viennent un temps de m'emporter. Salut, ma mère et ma nourrice ! Salut, salut consolatrice ! Ouvre tes bras, je viens chanter. LA MUSE Pourquoi, coeur altéré, coeur lassé d'espérance, T'enfuis-tu si souvent pour revenir si tard ? Que t'en vas-tu chercher, sinon quelque hasard ? Et que rapportes-tu, sinon quelque souffrance ? Que fais-tu loin de moi, quand j'attends jusqu'au jour ? Tu suis un pâle éclair dans une nuit profonde. Il ne te restera de

que toi je saurai Pourquoi cette gaîté, ce bonheur que j’envie, Embellissent tes jours, ne te quittent jamais, Tandis que moi, roi des forêts, Je suis si triste et je m’ennuie. Sire, lui répond l’écureuil, Je dois à votre bon accueil La vérité : mais, pour la dire, Sur cet arbre un peu haut je voudrais être assis. -soit, j’y y consens, monte. –j’y suis. A présent je peux vous instruire. Mon grand secret pour être heureux, C’est de vivre dans l’innocence ; L’ignorance du mal fait toute ma science ;

mois et les années. Je les parcours et ne trouve rien d’intéressant jusqu’au dernier. Sur la couverture est inscrit « février 1880 dans la banlieue de Toulouse ». J’y lis : Mon supérieur me demande d’aller enquêter dans une région où il y a de nombreuses disparitions. Dans un centre équestre à St Affrique. J’y pars avec une certaine appréhension. Tout ce qui est écrit est le présent, je l’ai vécu, il servira à écrire mon article. Je vais essayer de me faire embaucher comme

perdriez vraiment. ARNOLPHE Quoi! c'est la vérité qu'un homme... AGNES Chose sûre, Il n'a presque bougé de chez nous, je vous jure. ARNOLPHE, bas à part. Cet aveu qu'elle fait avec sincérité Me marque pour le moins son ingénuité. (Haut.) Mais il me semble, Agnès, si ma mémoire est bonne, Que j'avais défendu que vous vissiez personne. AGNES Oui; mais quand je l'ai vu, vous ignoriez pourquoi; Et vous en auriez fait, sans

celle de pouvoir choisir ses actes mais aussi celle de la pensée et du regard. Jorge Semprun, alias Gérard dans le livre "Le grand voyage" est condamné parce qu’i a fait des choix, il se sentait obligé de faire ces choix et maintenant il assume, même si pour cela il faut souffrir. Le fait d’être libre s’assimile avec d’autres thèmes du livre notamment celui de la résistance car c’est à cause de cette résistance qu’il est dans ce train. Quand Jorge Semprun doit faire un choix, il n’opte pas toujours