Là-bas si j'y suis

Je crois que j'arriverais à me passer de toi, avec le temps. Mais chaque semaine je devrais recommencer car à chaque fois que je te vois, tu me fais tourner la tête. Là j'y comprend plus rien, du moins je te comprends plus. On commençait à se rapprocher, je commençais à m'accrocher à toi puis je me suis vraiment accrochée. Et du jour au lendemain plus rien, tu ne me donnes plus aucune nouvelle, ni même un petit message pour me dire que tu es occupé. Je t'envoie des messages, et ne me dit pas

abandonnée, vers l'age d'un an près d'un hôpital, et j'ai été adoptée assez rapidement par un couple qui n'arrivais pas à avoir d'enfant. J'ai donc vécu une partie de mon enfance avec eux, dans un appartement de Nice. Je me rappelle bien de celui-ci, j'y ai jouée pendant des heures. C'était pour moi la plus belle époque, celle où tout était simple. Je passait mes journées à trouver toujours plus d'idée pour rendre fous mes parents qui me couraient sans cesse après. Chaque matin, je me réveillait en

salle de bain . Mon matériel à porter de main,j'installe une chaise, que je désinfecte au préalable, devant le lavabo et j'y place une serviette pour que le plastique ne colle pas à la peau de ma patiente. Je l'aide a s'y asseoir. Je me lave les mains à la solution hydroalcoolique avant de commencer. Après avoir fait couler l'eau j'invite Mme S a tâter la température pour savoir si elle lui convient nous n'avons pas le même rapport chaud froid que les personnes âgées.Elle me fait savoir que l'eau

attaché et collé à un autre enfant sans tête et qui avait le canal du dos bouché, le reste intact, car s'il avait un bras plus court que l'autre, c'est qu'il lui avait été cassé accidentellement à leur naissance ; ils étaient joints face à face et comme si un plus petit enfant voulait en embrasser un second […]. Les [êtres] que nous appelons monstres ne le sont pas pour Dieu, qui voit dans l'immensité de son ouvrage l'infinité des formes qu'il y a englobées ; et il est à croire que cette forme, qui nous

« cela par « ça » (l. 6, 23) → cela permet le passage du « on » substitut de « nous » à un « on » à valeur générale (réflexions sur l’impuissance des vivants, lignes 8 à 16) - suppression de la particule négative « ne (« on a plus guère » (l.13), « j’y arrivais pas » (l.17), « j’en avais pas » (l. 23), « j’étais pas grand…j’avais pas la grande idée » (l. 23-24)…)  - adverbe remplacé par l’adjectif (« il nous regardait, bien fixe (= fixement, l. 8) - suppression du sujet (« faut jouir », l.

monde, lorsqu'il me faut dédier un livre ; et je me trouve si peu fait au style d'épître dédicatoire, que je ne sais pas où sortir de celle−ci. Un autre auteur, qui serait en ma place, trouverait d'abord cent belles choses à dire de Votre Altesse Royale, sur ce titre de l'Ecole des femmes, et l'offre qu'il vous en ferait. Mais, pour moi, Madame, je vous avoue mon faible. Je ne sais point cet art de trouver des rapports entre des choses si peu proportionnées ; et, quelques belles lumières que mes confrères

noir, Qui me ressemblait comme un frère. Ses yeux étaient noyés de pleurs ; Comme les anges de douleurs, Il était couronné d'épine ; Son luth à terre était gisant, Sa pourpre de couleur de sang, Et son glaive dans sa poitrine. Je m'en suis si bien souvenu, Que je l'ai toujours reconnu A tous les instants de ma vie. C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie. Lorsque plus tard, las de souffrir, Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu

aucun cas d’une marche forcée, mais d’une progression lente, pas à pas, qui revêt un caractère solennel.En effet, en loge, la marche du Compagnon s’effectue à l’ordre. Le Compagnon se met à l’ordre d’Apprenti et effectue les trois pas de ce grade. J’y vois une jolie symbolique. Celle qui consiste à considérer qu’un Compagnon a besoin de solides fondations dans sa construction. Et ces fondations sont constituées justement par ces années d’apprentissage indispensables pour continuer sa route.Chaque

finit pas toujours bien, contrairement à ce que racontent les films (d’amour) ou les livres d’enfant. Depuis le divorce de ses parents, elle habite avec sa mère et son beau-père qu’elle déteste. David (voir : EFFETS ET CONSÉQUENCES DE L’HÉROÏNE plus bas) portrait physique : C’est un jeune homme d’une vingtaine d’années (Roxanne dit qu’il a à peu près l’âge du cousin de son amie Carole, à savoir 22 ans.). Il a les cheveux très courts (p.38). Il a des bleus sur le bras à cause des injections qu’il

pénibles, parfois rebutants, mal payés,  dans lesquels ils restent relégués toute leur vie. Les statistiques confirment cette faible mobilité professionnelle. Elles montrent aussi que le taux de chômage des immigrants est plus élevé que la moyenne. Mais si on y regarde de plus près, beaucoup d’immigrants connaissent une ascension professionnelle : beaucoup ont commencé comme manœuvre dans le bâtiment, ou comme intérimaire, acceptant n’importe quel travail, comme on l’a vu plus haut.  Mais à force d’énergie