L Humour Ou L Ironie Dans Une Fable

aussi le public mondain et cultivé. En quoi La Fontaine renouvelle-t-il le genre de la fable ? 1 Le genre de la fable - « Fables choisies, mises en vers par M. de La Fontaine » : par ce titre modeste, le poète se présente comme le continuateur des fabulistes anciens, Esope et Phèdre. - « L’apologue, dit-il dans la Préface de 1668, est composé de deux parties… Le corps est la fable, l’âme la moralité. » Dédiant au Dauphin son Premier Recueil composé pour les enfants, La

OBJET D’ETUDE 1 : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation (Œuvre intégrale : La Fontaine, Fables) Commentaire Les animaux malades de la peste Introduction : Cette fable est l’amorce du deuxième recueil. La Fontaine s’est inspiré d’Esope et de Pilpay (fabuliste oriental). Thème de la fable : mal fréquent, sujet grave, évocation du monde de la Cour à travers les animaux. I. Un récit à caractère théâtral, à multiples rebondissements 1. Une exposition longue *

L’argumentation indirecte : • l’apologue (fable, parabole, exemplum, conte, conte philosophique, utopie, voyage imaginaire) • Argumenter dans le roman et dans le théâtre La rhétorique : l’art d’argumenter Les trois genres : judiciaire, épidictique (démonstratif), délibératif Les trois qualités de l’orateur : ethos, logos, pathos Structure d’un discours oratoire : exorde, Les registres : Pathétique, tragique Lyrique Polémique Didactique Comique : ironie, humour, satire, parodie etc Epique (moins utilisé

" qui montre une cour pervertie autour d'un puissant monarque. Cette fable sera suivie par " le mal marié " dans laquelle l'on n'est pas plus heureux dans le privé que dans le public et qui est une véritable satire contre les femmes. En troisième position arrive la fable qui nous intéresse et qui s'intitule " le rat qui s'est retiré du monde ". Pas plus que les deux autres, cette fable n'est imprégnée de gaieté. La fable se découpe ainsi : Vers 1 à 12 : un récit qui met en place le

Fables, La Fontaine « Le Corbeau et le Renard », I, 2. Axe de lecture : comment la fable transmet-elle une morale connue de tous dans un style à la fois bref et plaisant? Brièveté et naïveté A. Esquisses des personnages hauts en couleur. Symétrie des vers qui opposent : corbeau : en hauteur, noir, possédant un fromage (un bien matériel), stable (imparfait de durée) ; renard : en bas (alléché donc attiré), possédant le langage, il a faim (vide matériel), vif et changeant (passé

Introduction : Situation de l'extrait qui met en valeur le lion (roi) et sa cour. La Fontaine utilise encore une fois des animaux pour faire la satire de Louis XIV et de la monarchie absolue. Problématique : Comment La Fontaine grâce à la fable fait-il la satire de la Cour ? I) Un récit vif et piquant La Composition du texte => schéma narratif. Situation initiale ou exposition v 1-2 → curiosité de Lion qui veut connaître l'étendu de son pouvoir. Monarchie Absolue La Fontaine utilise

peut-il être considéré comme un apologue ? Il associe les deux caractéristiques fondamentales de ce genre : - format 10 chapitres pour 150 pages en édition Folio, c'est le format d'une grande nouvelle ou d'un petit roman. Sans être aussi bref qu'une fable, c'est un récit relativement modeste - simplicité du style . Ses phrases sont généralement simples, de même que le vocabulaire. (Ce qui fait apparaître d'autant plus ridicule le jargon employé par la propagande de Boule-de-neige...) - simplicité

Recueils poétiques de Jean de La Fontaine (1621-1695), Les Fables choisies mises en vers furent publiées à Paris de 1668 à 1693. La fable intitulée « La fille » est extraite du Livre VII, dans lequel elle figure en quatrième position (variable selon les éditions). Dédié à Mme de Montespan, ce livre figurant dans le second recueil des Fables semble nettement infléchir le ton: l’inspiration se diversifie, et les enjeux se complexifient. “La Fille”, met en scène une précieuse épousant à la fin de sa

relations hypocrites ou cyniques qui sont en usage à la cour entre les courtisans et le roi (Du Bellay désigne d’emblée sa cible par la formulation cinglante « ces vieux singes de cour », tandis que La Fontaine évoque plus sèchement au début de sa fable la « société » établie entre le lion et la génisse la chèvre et la brebis) ; les textes C et D visent l’inanité des mœurs bourgeoises, dans des circonstances sociales plus ou moins rituelles (chez Verlaine, le titre – « L’Enterrement » - du sonnet

d’une fable classique 1) Ressemblances : Fable écrite en vers, comme chez La Fontaine, reprenant la variété de la métrique (octosyllabes, alexandrins) et des rimes (embrassées, croisées, plates). On a le même récit dans chaque fable : des personnages identiques en apparence, un même évènement (tempête) et un même épilogue (la mort du chêne). Il y a toujours un dialogue dans le récit et la moralité est également implicite, bien que différente. 2) Allusions à la fable de La Fontaine La fable commence