L Homme Peut Il Perdre Son Humanité

par le principe du génocide. Il qualifie cela de « déshumanisation dans notre humanité », thème récurant dans ce livre. Cependant, l’auteur considère cet écrit comme ne possédant pas de genre défini : il traite d’amour comme il traite de la culpabilité, de l’oubli, de la mémoire, de la déshumanisation ou de l’étranger. « Je m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien. », telle sont les premières paroles de Brodeck, un homme ordinaire –ou presque, mari d’une femme représentant la prunelle de ses yeux

donc normal que leurs erreurs soient lourdement condamnées. C'est pourquoi la justice doit faire régner la justice en étant aussi violente que les individus qu'elle punie. Ainsi, il est donc naturel qu'elle puisse disposer du droit de la vie d'un homme en commettant un assassinat légal. Car après tout, des Etats démocratiques, comme les Etats Unis ou le japon, ont encore la peine de mort. Et il est bien connu que le pentagone est l'un des pays les plus sages en matière de justice puisqu'il y est

aussi que ce mendiant vis dans une niche, on compare cet homme a un animal, comme si la misère lui avait enlevé toute humanité. Le fait que cet homme côtoie depuis un long moment la pauvreté, cela lui a fait oublié son nom, il n'existe qu'à travers cette pauvreté « je me nomme le pauvre », tout au long du texte « le mendiant » n'est désigné que par une succession de périphrase « un pauvre homme », « le vieux », « brave homme », « cet homme », cela donne l'impression que cet individu n'existe pas

Louise MERESSE Le 14/12/2013 1°ES Commentaire composé : Primo Levi, Si c’est un homme Chapitre 11 : le chant d’Ulysse Nous allons étudier le chant d’Ulysse, chapitre 11 de Se questo è un uomo (Si c’est un homme) dans lequel Primo Lévi, célèbre écrivain italien, et résistant de la seconde guerre mondiale, tente d’évoquer la vie au camp de concentration d’Auschwitz, dans une scène du mois

marge de la réalité... Le plus extraordinaire est peut-être le perroquet Laverdure, qui illustre particulièrement le principe d'incertitude présent dans ces œuvres et devient porteur de multiples sens. I – Un personnage incertain 1) Traité dans la narration comme un personnage à part entière a. doué de parole, il intervient comme les autres dans le dialogue, et ses interventions peuvent être commentées par les interlocuteurs b. Il peut avoir droit à une focalisation interne. c. Il

Autrui est-il un autre moi-même ? L’idéal de la fusion amoureuse traverse les romans, de la princesse de Clèves au roman de Stendhal Le rouge et le noir en passant par Anna Karénine , le topos de l’amour fusion innerve la littérature et l’inconscient collectif : qui ne rêve pas de trouver son alter ego , son âme-sœur, sa « moitié » ? Cette quête de l’amour parfait interroge : l’homme

le nez si écrasé, qu'il est presque impossible de les plaindre. On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. Il est si naturel de penser que c'est la couleur qui constitue l'essence de l'humanité, que les peuples d'Asie, qui font des eunuques, privent toujours les noirs du rapport qu'ils ont avec nous d'une manière plus marquée. On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux, qui chez les Égyptiens

quelque chose à apprendre de Vendredi ne pouvait effleurer personne avant l’ère de l’ethnographie » —l’ethnographie étant l’étude des différents peuples —et que « pour Daniel Defoe [...Vendredi était] une bête [...] qui attend[ait] de recevoir son humanité de [...] l’homme occidental, seule détenteur de tout savoir» ainsi cet autre Robinson, s’il tente d’éduquer Vendredi, échoue, et le contraire se déroule : Vendredi se fait, selon les termes même de Tournier, « à la fois guide et accoucheur à l’homme

détermination. La solitude s’établit aussi en nous dû aux trois hommes qui ne se regardent pas. Ils sont concentrés et n’ont aucun contact visuel les uns avec les autres, malgré leur proximité. 3 Procédé technique Voir référence 3.1 Schéma de composition On peut tracer plusieurs lignes de composition qui, quand elles se rejoignent, centrent sur le soldat principal et central du tableau. Voir image en annexes 3.2 Organisation de l’espace et la profondeur La profondeur est peu marquée, voire inexistante

donner à chacun les mêmes droits. La loi, quant à elle, est une règle qui prescrit des devoirs, des droits et des interdictions, de manière à réguler les coexistences. Elle peut être positive, inscrite conventionnellement dans le droit d'un Etat et alors elle varie d'un lieu à l'autre et d'une époque à l'autre, mais elle peut aussi être naturelle et renvoyer, soit à la nature avec la loi du plus fort, soit à l'essence de l'homme avec la loi morale. Cet extrait de texte de J.J Rousseau nous conduit