L Homme Pervertit Par La Société

comédie et en a montré l'efficacité) => Véritable pamphlet 2- Critique des faux dévots : -> Allusion à la censure explicite (-> prolonge la polémique), et à la cabale contre Tartuffe 3- Critique sociale : -> Image cinglante de la société du XVIIème où " tous les vices à la mode passent pour vertu " -> Plaidoyer pour les attitudes éloignées de toute fausseté avilissante et pour son idéal d'authenticité ici évoqué en creux. Conclusion Ce choix dramaturgique exprime la volonté

Montaigne, Essais (III, 6) « Des coches » Introduction Montaigne (1533-1592) entreprend en 1572 de dicter ses Essais, un projet qui l’occupera jusqu’à sa mort. Le philosophe sceptique, également moraliste et homme politique français, a ainsi composé le premier ouvrage du genre de l’époque moderne. Il y propose ses réflexions humanistes sur le choc des cultures découlant de la découverte du Nouveau Monde, et inspirées de sa propre existence (il a lui-même rencontré des cannibales). A travers

intellectuel provoqué par ce récit en apparence anecdotique. I/ Le choc emotionel 1) Un portrait insoutenable Voltaire n'aborde pas l'esclavage en exposant une téhorie, Il profite de l'apologue (fiction) pour organiser une rencontre d'homme à homme (l.1) "ils rencontrèrent un nègre" Il y a donc un rapport d'humanité très fort, le lecteur qui est sur les tracas de Candide partage cette émotion, on a un choc visuel (l.2-3) on a un champ lexical du dénument et de la mutilation (jambe coupé et la

a-Résumé Candide est un jeune homme naïf qui vit dans un château. Il aime Cunégonde. Il est ami du frère de Cunégonde. Il aime aussi écouter les cours de Pangloss (philosophe). Un jour, il embrasse Cunégonde mais le père de Cunégonde les surprend et il est mis à la porte du château. Après s’être fait bannir du château, Candide s’enrôle dans l'armée bulgare mais au bout de quelques semaines, il fuit en Hollande. Mais en Hollande, il vit très misérablement et Jaques, un homme charitable, l'accueille chez

civilisation dans une évaluation historique a posteriori 2) Le premier mythe d'un âge d'or que nous connaissons dans la tradition gréco-romaine est celui que met en scène le poète Hésiode, au VIIIe ou au VIIe siècle av. J.-C., dans le contexte d'une société peu connue, dite "des âges obscurs", dont on sait qu'elle est une période de forte mutation sociale. Six siècles plus tard, plusieurs poètes latins reprennent cette succession - en la simplifiant - dans le cadre de la crise qui conduit de la fin de

c’est l’ami qui t’écrit et non le Sultan. Peut être douteras-tu encore de la sincérité de mon amitié, après les terribles épreuves qui nous ont séparés. Pourtant j’ai changé. Les cinq années de ton absence ont pesé comme des siècles. Et c’est un homme vieilli mais plus sage que tu retrouverais si jamais tu acceptais de me revoir. Tu dois te demander qu’elle est la raison qui me fait prendre la plume. Aujourd’hui ma gazelle est morte, je devrais dire notre gazelle car elle t’était tout autant attachée

l'humanité de l'homme. On rejoint ainsi un des sens de l'injonction socratique : “ Connais-toi toi-même ” : connais-toi, non pas ici comme individu particulier (ce à quoi renvoie sans doute l'idée de psychologie), mais comme homme. Tâche de te rendre compte de ce que signifie être homme. Or il est essentiel de définir l'homme comme être de culture. On peut même se demander si cette définition ne suffit pas à en marquer la spécificité. Mais quel sens donner à ce terme, et quel sens prend avec l'homme

sens propre la comédie et en a montré l'efficacité)=> Véritable pamphlet 2- Critique des faux dévots → Allusion à la censure explicite (-> prolonge la polémique), et à la cabale contre Tartuffe 3- Critique sociale → Image cinglante de la société du XVIIème où " tous les vices à la mode passent pour vertu "→ Plaidoyer pour les attitudes éloignées de toute fausseté avilissante et pour son idéal d'authenticité ici évoqué en creux. ConclusionCe choix dramaturgique exprime la volonté de Molière

dimension spirituelle, ouvrant l’esprit à un univers infini de connaissance. Le sage acquiert une vision nouvelle du monde qui l’entoure, l’élevant à reconsidérer les certitudes, imposées par la société. Citons comme exemple, la religion bouddhiste. Ces religieux ont une perception différente de ce qu’un homme ordinaire connaît. Certaines idées, comme la vie, sont illusoires ou seulement, une partie infime de la réalité. Il s’agit, grâce au doute, de développer de nouvelles considérations, plus complexes

pas forcément le même point de vue sur les fonctions de cette dernière. Tantôt l’art, tantôt l’engagement. Un critique écrit : « La littérature n’a pas pour vocation de se mêler des débats politiques ou sociaux. A vouloir jouer ce rôle, elle se pervertit et ne parvient même pas à être efficace. » Ce jugement vous paraît-il fondé ? Autrement dit, quelles sont les fonctions de la littérature et notamment sa propension à l’engagement ? Nous verrons que la littérature est essentiellement un art, mais