L Existence D Autrui Chez Sartre

comme le principe d'organisation du vivant ( matérielle) * autrui: l'autre, le différent mais pas seulement car autrui est mon semblable ( alter ego : un autre moi et un autre que moi ). prendre en compte la dimension d'autrui dans la réflexion philosophique signifie s'interroger sur cette double structure du même et de l'autre. Descartes considère que la conscience de soi ne passe pas par l'autre tandis que Hegel considère que autrui apparait comme essentiel à la constitution même de la conscience

L'identité est-elle la somme de nos appartenances? Que ce soit lorsque l’on parle de la crise d’identité chez certains adolescents, lorsque le président français Nicolas Sarkozy parle d’identité nationale ou encore dans le groupe de mots « carte d’identité », nous entendons beaucoup parler de cette notion à l’heure actuelle. Celle-ci est assez large et possède de multiples sens. Dans ce travail, je choisis de me baser sur notre propre identité en tentant de répondre à cette interrogation :

N'avons-nous de devoir qu'envers autrui ? Introduction « Avoir des devoirs » est une expression courante qui implique la présence d'un sujet à l'égard duquel nous sommes engagés. Il est fréquent de penser que nos obligations ont pour destinataire autrui, notre semblable. Cette idée commune est sensée. La vie sociale implique des relations qui ne peuvent fonctionner qu'à la condition d'être organisées par des lois et intériorisées par chacun sous la forme de devoirs. Être honnête, être respectueux

entièrement ? Puis-je être transparent à moi-même ? Et puis-je percevoir mon identité –et par définition qui reste la même à travers le temps- de façon précise ? De plus, « étrangeté » évoque à la fois ce qui est inconnu et étymologiquement l’extérieur donc autrui. Le Moi serait-il donc dépendant de l’extérieur, des autres ? Il en revient en fait à se demander si le processus de définition du Moi est réalisable, puis-je savoir tout de moi ? et en quoi l’extérieur peut-il m’aider ou non à atteindre la transparence

transcendantale qui est mienne, de la position de cette existence et de tous les actes de l’attitude naturelle. » Husserl, Méditations cartésiennes, Introduction à la phénoménologie, 1929 AUTRUI : intervient dans mon rapport à moi-même, cela passe par le regard qu’il/elle pose sur moi. Autrui me fait sortir de mon intériorité, son regard sur moi permet d’attester qui je suis. Il m’apporte l’objectivité. Autrui est le médiateur entre moi et moi-même. Autrui est présent à l’intérieur de ma propre conscience

Philosophie En premier lieu, le besoin désigne tout ce qui est nécessaire à l’homme pour assurer son existence. Cependant l’homme vie dans une nature qui lui est hostile et de laquelle il n’obtient pas directement les éléments qui lui sont vitaux. Ainsi l’assouvissement des besoins humains nécessite une transformation de la nature. L’acte par lequel l’homme va transformer la nature constitue le travail. Le travail permet donc à l’homme de subvenir à ses besoins, mais en dehors de ce fait l’homme

doivent en aucun cas figurer sur la copie. Introduction « Avoir des devoirs » est une expression courante qui implique la présence d’un sujet à l’égard duquel nous sommes engagés. Il est fréquent de penser que nos obligations ont pour destinataire autrui, notre semblable. Cette idée commune est sensée. La vie sociale implique des relations qui ne peuvent fonctionner qu’à la condition d’être organisées par des lois et intériorisées par chacun sous la forme de devoirs. Être honnête, être respectueux

Sujet 1 : Suis-je responsable de ce que je suis ? La responsabilité concerne ce que nous faisons, ou ce que nous avons fait. Elle implique la présence de conscience chez les personnes en question. En effet, l’étymologie du mot responsabilité vient du latin « respondere », qui signifie « répondre », « répondre de ses actes ». Ainsi, cela veut dire que nous assumons totalement nos actes, donc que nous avons conscience de ce que nous avons fait. Pour que je sois responsable il faut que j’accomplisse

 Voilà donc la première intuition: je suis quelque chose qui pense, je suis une chose pensante.  On pourrait objecter que cette vérité fondamentale, première de Descartes, nous éclaire sur  ce  que  l'on  est, non sur  qui l'on est. Cependant, le fait que la pensée me renvoie à ma propre  existence est quelque chose que je dois assumer en première personne. En effet, cette expérience du  cogito de Descartes, il me faut la faire moi­même: « on peut donc conclure et tenir pour certain que  cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement vraie

quelque chose qui pense, je suis une chose pensante. Page 2 On pourrait objecter que cette vérité fondamentale, première de Descartes, nous éclaire sur ce que l'on est, non sur qui l'on est. Cependant, le fait que la pensée me renvoie à ma propre existence est quelque chose que je dois assumer en première personne. En effet, cette expérience du cogito de Descartes, il me faut la faire moi­même: « on peut donc conclure et tenir pour certain que cette proposition, je suis, j'existe, est nécessairement