Keynésiens Et Monétaristes

le capital paraissent présenter de telles qualités. b) l’impôt dans la théorie keynésienne : suite à la crise économique de 1929 ; Keynes a formulé une critique cohérente de la théorie classique en préconisant un interventionnisme accru de l’Etat sans renoncer au libéralisme. Il croît en la possible harmonisation des intérêts privés et publics. D’une manière globale, les Keynésiens recommandent d’utiliser une politique fiscale expansionniste en cas de récession (réduire les impôts

l’intervention étatique pour réaliser l’équilibre, notamment par une relance de l’investissement et de la consommation pour lutter contre le chômage. Cette théorie a dominé l’économie jusqu’en 1973 où la crise a résisté aux solutions keynésiennes. Sous le coup des critiques monétaristes, on est revenu à une conception plus libérale. L’interventionnisme se caractérise par : * un réglage de la conjoncture (politique de lutte contre le chômage, contre l’inflation) * une redistribution des revenus, les

dans l'Allemagne nazie (Schaat, conseillé économique d'Hitler), puis pendant les 30 glorieuses en France, Italie, aux États-Unis... En France en 45 on a créé les ordonnances qui font naître la sécurité sociale. Avec la crise de 2008, les théories keynésiennes qui ont été critiquée comme celle de Marx pendant plus de deux décennies sont de retour et l'État joue à nouveau un rôle actif dans l'économie. L’état dans l’analyse de Keynes n’est plus un état gendarme (classiques néo classiques) on parle d’un

mais il est discutable de lui en attribuer les fondements. F.A. HAYEK Menger est le créateur de l’école mais la propagation des idées revient surtout à Wieser et Böhm-Bawerk. Hayek fut très célèbre dans les années 30 mais la victoire des idées keynesiennes l’évinça pendant de très nombreuses années. Il joua un rôle dans les débats sur la théorie des cycles économiques qu’il considère comme un problème de coordination intertemporelle. Selon lui, l’équilibre intertemporel se définit par une adéquation

s’appuie sur les travaux statistiques extrêmement important. Avec Swatrz ils ont collecté des variables, ils ont évalué la demande de monnaie. a. La notion de patrimoine Le patrimoine est ce qu’on possède, la richesse. Dans l’analyse Keynésienne, les agents ont un revenu et éventuellement s’ils achètent des titres, ont des titres à revenu fixe. Ici on s’intéresse principalement à leur revenu. Friedman dit que la richesse dépend aussi de la richesse du patrimoine. Les agents détiennent

chômage paradoxal (Irbarne) * La croissance a commencé à ralentir, à cause du ralentissement de la productivité, et la baisse de la production b. A l’origine d’une dérégulation précoce de l’économie En raison de l’échec des politiques keynésiennes, de la déstructuration du système de BW, le système des 30 glorieuses est remis en cause 3. Mais qui s’avère aussi un prélude a. Des difficultés 73 = 1ere sommation, la situation va se dégrader, phénomènes nouveaux liés à la mondialisation

trouve en effet, jusque dans les œuvres les plus tardives de Keynes, des réminiscences marshalliennes. Toutefois, sur ce qui va devenir le cœur de la théorie keynésienne, à savoir la théorie monétaire, l’influence marshallienne, forte au départ, finira par être rejetée. Mais, en attendant, nous aurons, si l’on peut dire, un Keynes monétariste. I. KEYNES STATISTICIEN « Keynes statisticien » peut être entendu en deux sens : Keynes versé dans la statistique mathématique ou, si l’on veut, les probabilités

finalement des justifications que l’on peut donner à l’appui de cette protection. Mais ces justifications varient d’abord selon les notions de chômage que l’on adopte. En particulier selon les deux grands courants théoriques que sont le classique et le keynésien, courants qui donnent des explications fondamentalement différenciées du chômage. Pour les classiques, le chômage est essentiellement volontaire. Il est dû au fait que les individus n’acceptent pas de travailler au salaire d’équilibre de ce que devrait

est favorisé c’est le contrôle du crédit par l’état, la BC, avec l’imposition des r. faible niveau de r nominal, réel donc la hausse de la demande de crédit ce qui conduit à une hausse des I productifs, … c’est ce qui est traité dans le circuit keynésien. [Les théories classiques et néoclassique ne sont pas conformes à la réalité et sont frappées d’inanité. Le fait que la monnaie soit neutre et qu’elle n’influence pas les variables réelles, est démenti comme le prouve le fordisme et donc elle influence

. 2.1.2 Généralisation à une relation inflation-chômage . . . . . . 2.1.3 Exploitation de la relation inflation-chômage pour la politique économique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Les anticipations des agents et la critique des monétaristes . . . . 2.2.1 Variables monétaires ou réelles ? . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Les anticipations chez Friedman . . . . . . . . . . . . . . 2.3 La théorie des anticipations rationnelles . . . . . . . . . . . . . . Introduction L’emploi est