Keynésiens Et Monétaristes

n'est plus purement exogène mais résulte de choix de la part des autorités publiques : cycle politico-économique aux EU → la dynamique cyclique serait dans une large mesure liée aux échéances présidentielles américaines. 1 - L'interprétation monétariste de la crise de 29 Analyse proposée par M. Friedman et A. Schwarz : Crise de 1929 correspond à une phase "normale" du cycle économique (essoufflement de la vague de croissance des années 20) mais son ampleur s'explique par des erreurs de politique

classique Sous-section 1 : Adam Smith Sous-section 2 : L’école historique allemande Sous-section 3 : Karl Marx Chapitre II : L’intervention de l’ETAT après la crise 1929 Section 1 : l’école keynésienne : Sous-section 1 : John Maynard Keynes Sous-Section 2 : William Beveridge Section 2 : les néoclassiques Sous-section 1 : l’économie de bien être néoclassique Sous-section 2 : l’école

4 L’école de Vienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4 La pensée keynésienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.1 Une rupture méthodologique avec les classiques . . . . . . . 2.4.2 Une rupture thématique avec les classiques . . . . . . . . . . 2.5 La pensée économique depuis Keynes . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.5.1 Une convergence entre les paradigmes classique et keynésien . 2.5.2 Le maintien d’une orthodoxie néoclassique . . . . . . . . . . 2.5.3 Les détracteurs

lié au retour en grâce des théories néolibérales. Celles-ci, en effet, contestent l'efficacité des politiques induites par la théorie keynésienne auxquelles elles attribuent volontiers les difficultés rencontrées depuis le début des années 1970 par les grandes puissances industrielles. C'est, notamment, le cas du courant monétariste organisé autour de "l'école de Chicago" et de son chef de file, Milton Friedman. Ajoutons que, dans l'ensemble des sociétés modernes, il

banques qui doivent respecter un pourcentage d'augmentation annuelle de crédit qu'elle distribue. - Politique Monétaire Keynésienne: Les effets attendus sont de favoriser la consommation et l'investissement donc de stimuler la croissance économique et l'emploi. Les effets pervers possibles mais secondaires: l'inflation. - Politique Monétaire Libérale (ou Monétariste): crée par Fidman . L'effet attendu est de résoudre l'inflation. Les effets pervers possibles: les taux d'intérêt élevés découragent

national suit." Les politiques économiques national et autonomes, sont de moins en moins efficace pour stimuler la croissance. -----> C’est la fin des politiques autonomes --> échec cinglant de la politique de relance de 1981. (Dernière politique Keynésienne). Corée du sud (pays émergent : 11 eme puissance). Élie Cohen dit que dans une dizaine d'année la Chine à la première puissance mondiale, L'Inde deuxième. Et les États Unis 3 eme ou 4 eme puissance mondiale. b)' une organisation de la production

politique économique dans les années 80 et la priorité donnée à la lutte contre l’inflation ont durablement influencé le fonctionnement de la zone euro, dont l’architecture s’inspire de la critique théorique des politiques conjoncturelles de relance keynésienne. Les contraintes institutionnelles rendent par ailleurs délicat la mise en œuvre cohérente de la politique monétaire fédérale et des politiques budgétaires des quinze Etats membres de l’UEM (le « policy- mix »). La politique monétaire unique et

centralisé / communiste. IV. Courant Keynesien : John Maynard Keynes (1883-1946). - L’équilibre de plein emploi permanent est impossible. - Nécessité d’intervention de l’Etat (budgétaire) pour résorber le chômage.  Pour favoriser la croissance, il faut agir sur le niveau des investissements - Libre marché = grande instabilité. - Refus de la neutralité de la monnaie. Conclusion :  Père de la macroéconomie  Opposé aux néoclassiques V. Courant monétariste Milton Friedman (1912-2006) - Lutte

Jevons, Menger, Walras et Pareto. Ces auteurs croient à la supériorité du libéralisme économique et développent une théorie de la valeur et de la répartition.Mais la Grande crise de 1929 va changer la situation et permettre l'émergence de la théorie keynésienne qui se veut une rupture : Keynes met en valeur le rôle de la demande globale et légitime l'intervention de l'État qui doit mettre en place une politique de redistribution des salaires, une politique d'expansion monétaire et une politique de grands

La NMC est apparue en réaction contre le consensus keynésien, dont la force explicative paraissait diminuer à la fin des années 1970, et qui n’offrait pas de fondements théoriques micro économiques suffisants. Elle est affiliée au monétarisme, bien que ses auteurs s’en défendent. Elle se fonde sur une réhabilitation des hypothèses traditionnelles de la macro économie classique (Equilibre permanent des marchés et non rigidité des prix), auxquelles elle rajoute celle des anticipations rationnelles