Keynésiens Et Monétaristes

production par rapport aux besoins réels et un défaut d'investissement, ce qui induit logiquement une baisse de la production et des salaires. La déflation est donc souvent associée à une baisse du pouvoir d'achat et à l'augmentation du chômage keynésien (demande insuffisante sur le marché de l'emploi). Les possibilités de relance proposées par Keynes s'appuient sur la stimulation de la demande (en vue d'effets d'entraînements notoires sur l'ensemble de l'économie) financée par l'État, qui peut provisoirement

la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique de Nickolas kaldor  I – les grands courants de la pensée économique : 1- Courant classique :

en f° des tx d’intérêts. MM si la détention de monnaie ne rapporte rien, elle peut ê préférée en cas de risques de moins valu si le taux d’intérêt augmente. La fonction globale de la D de monnaie ne dépend pas du taux de transaction. La fonction keynésienne de D de monnaie a plusieurs spécificités : -Il envisage la possibilité d’une thésaurisation, c'est-à-dire une D d’encaisse oisive, on garde la monnaie pr le fait qu’elle soit liquide. La loi des débouchés ne s’applique donc pas dans une économie

demande de fonds prêtables Walras (taux d’intérêt/prix d’équilibre) + Say Risque d’effet d’éviction II- Un dépassement possible des limites de l’épargne par le crédit A) Une influence potentielle de risque de l’offre de monnaie dans la théorie keynésienne Keynes : toute l’épargne n’est pas nécessairement investie  fuite. Ce qui créer un déséquilibre en terme de demande. Le crédit peut remédier à ça. Donc rôle de la banque. Effet de levier B) Le crédit peut dynamiser également la consommation

A) Les interprétations théoriques • Les classiques  il aurait fallu laisser faire le marché qui se serait lui-même autorégulé. La crise de 1929 aurait permis d’éliminer du marché les entreprises inefficientes et mal gérées. • L’analyse monétariste : la crise est due à une politique mal adaptée et trop restrictive de la FED, politique qui a consisté à ne pas venir au secour des banques américaines en difficulté. Au contraire, les responsables monétaires américains ont opérer une contraction

pour éviter les crises. Ainsi s'expliqueraient la croissance forte et régulière des Trente Glorieuses (1945-1973) mais aussi l'inflation du 20ème siècle, s'opposant à la baisse des prix qui avait caractérisé le 19ème siècle. V. L’école keynésienne : • John Maynard Keynes : Il a vécu la crise économique des années 1930, une crise manifestée par une forte augmentation du chômage, le développement de l’incertitude, la chute des prix… Ce vécu lui a permis de se démarquer de l’analyse

des réserves obligatoires afin de dissuader les banques de trop prêter. Evolution de la politique monétaire Depuis le début des années 80, en France, comme dans la plupart des pays industrialisés, la politique monétaire est d’inspiration monétariste. L’objectif principal est le maintien d’un taux d’inflation faible. Les autorités monétaires considèrent que la croissance et l’emploi ne relèvent pas de leur responsabilité. Cet objectif étant désormais atteint (moins de 2 % depuis 1998), le plein-emploi

rôle de la monnaie et l’explication monétariste B. L’inflation par la demande (la théorie keynésienne) C. L’inflation par les coûts D. L’inflation : phénomène structurel II. LES CONSEQUENCES DE L’INFLATION A. Les effets bénéfiques de l’inflation B. Les effets néfastes de l’inflation III. LA MESURE DE L’INFLATION IV. EVOLUTION DE L’INFLATION EN FRANCE 2 A. Le rôle de la monnaie et l’explication monétariste • Pour les auteurs néoclassiques et monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman

pensée rattachées à l’analyse macroéconomique. Comme nous le verrons une ligne de fracture entre deux écoles se trouve au cœur même de l’origine de la macroéconomie, il s’agit d’une opposition entre l’école classique ou néoclassique et l’école keynésienne en effet les principaux écrits de Keynes traduisent une volonté de rupture vis-à-vis de l’école classique. Or ce sont ces écrits qui marquent l’avènement de l’analyse macroéconomique. Toutefois notons que s’il existe de fortes divergences d’opinion

faible inflation. Il faut choisir : soit baisser le chômage soit baisser l'inflation, on ne peut pas faire les deux en même temps. Le seul taux de chômage compatible avec l'inflation est le NAIRU (Non Accelerated Inflation Rate of Unemployment). MONETARISTES Les salariés font toujours leurs calculs en fonction de la période précédente, donc tout changement de politique monétaire n'est perçu qu'après coup par les salariés. Ainsi si on met en place une politique inflationniste, les salariés seront