Keynésiens Et Monétaristes

affectant la flexibilité des salaires à la baisse tels que le SMIC. Pour lutter contre le chômage il faut donc diminuer le salaire réel par exemple en diminuant le salaire nominal ou les cotisations sociales à la charge des employeurs. B) Keynesiens Pour Keynes il existe un chômage involontaire Dans une perspective de court terme, il pose la flexibilité des prix et des salaires est irréaliste et que les salaires sont au contraire rigides. Keynes remet en cause la théorie des débouchés

mondiale, reconnu comme le fondateur de la macroéconomie moderneNote 1, pour lequel les marchés ne s'équilibrent pas automatiquement ce qui justifie le recours à des politiques économiques conjoncturelles. Le keynésianisme, la nouvelle économie keynésienne, le néo-keynésianisme ou le post-keynésianisme plus interventionnistesont des concepts et des courants de pensée issus de l'œuvre de Keynes. Considéré comme l'un des plus influents théoriciens de l'économie du xxe siècle1, Keynes, en tant que conseiller

une inflation forte. (doc 2) |   | 2. Les politiques de relance |  · principe keynésien: relancer la demande effective pour "doper" l'activité économique (la production) donc atteindre le plein emploi.· instrument privilégié: politique budgétaire expansionniste: augmenter les dépenses budgétaires. Le déficit est possible et souhaitable car il permet de mettre en oeuvre le multiplicateur d'investissement keynésien. Le déficit n'est donc que temporaire puisque la relance va susciter un supplément

question. A. EL HIRI MARCHÉ DU TRAVAIL, EMPLOI, CHÔMAGE La réflexion se focalisera sur différents thèmes : • Le volume de l’emploi : il procède de la rencontre de l’offre et de la demande de travail (néo-classiques) ou du niveau de la demande (keynésiens) ; • L’adéquation qualitative entre la qualification requise par l’emploi et celle de la main-d’œuvre. A. EL HIRI MARCHÉ DU TRAVAIL, EMPLOI, CHÔMAGE • La rémunération du travail : elle est égale à la productivité marginale du travail. Celle-ci

mort à Cambridge en 1986. Professeur à l'université de Cambridge (1952), conseiller des gouvernements travaillistes de l'après-guerre et de nombreux pays, membre de la Chambre des lords (1974), Il a été l'un des principaux auteurs du courant post-keynésien c'est-à-dire qu'il adopte un point de vue critique à l'égard des théories néo-classiques, et pense que le capitalisme conduit rarement au plein emploi ou à une croissance régulière. il contribue à l'évolution de la théorie économique dans des

Le plein emploi est-il possible ? 5% : tx de chômage minimum en dessous duquel, si on lutte, on ne fait qu’accroître l’inflation. ANPE : offres et demandes non satisfaites. Sous l’impulsion de FRIEDMAN, des monétaristes de la nouvelle macroéconomie classique, la notion de plein emploi a pratiquement disparue. Intro : La période correspondant aux 30G est considérée comme étant le symbole d’un plein emploi exceptionnel, mais apparemment réalisable. Pourtant, le chômage était bel et bien présent

formation d'une bulle spéculative L' augmentation des prix provoque une baisse du pouvoir d'achat et perte de compétitivité à l'international. Conclusion: L'économie monétaire a longtemps été marquée par les querelles entre classique, keynésiens et monétaristes, mais depuis les années 1980, les théories centrées sur l'offre et la demande de monnaie ont étés relayées par des analyses qui se focalisent sur des questions de crédibilité, de règle, de transparence, d'identification des canaux de transmission

les plus graves difficultés (textile, sidérurgie, automobile). • Les industries de pointe restent très dynamiques (aéronautique, aérospatiale, électronique). III. L'inefficacité des politiques anti-crise A. Les politiques d'inspiration keynésienne • Elles proposent de relancer la consommation par la hausse du pouvoir d'achat, assurée par des prestations sociales et une augmentation des salaires. Cette expérience est tentée au Royaume-Uni par les travaillistes (1974-1979), en France par

directeurs) et éventuellement sur la politique de change (Chine), dans l’objectif de réguler l’économie au service du minimum d’inflation et du maximum d’activité (croissance). A la fin des années 1970, dans la lignée de la théorie économique dite « monétariste » (M. Friedman), le contrôle de la masse monétaire fut le principal instrument des politiques monétaires de nombreux pays occidentaux (et notamment des Etats-Unis sous l’impulsion de Paul Volcker, Directeur de la Fed, politique menée parallèlement

classique 7.1.1 Selon la doctrine des effets réels 7.2 L'analyse classique de l'inflation 7.2.1 Théorie quantitative de la monnaie 7.2.2 La demande de monnaie 7.3 L'école keynésienne 7.3.1 Les descendants de Keynes 7.3.2 L'analyse de la Synthèse néo-keynésienne 7.3.3 L'analyse post-keynésienne 7.4 L'analyse monétariste 7.5 La nouvelle école classique 8 Notes et références 9 Voir aussi 9.1 Articles connexes 9.2 Bibliographie 9.3 Liens externes Étymologie[modifier | modifier le code]