Keynésiens Et Monétaristes

chômage par exemple dans les années 30 la baisse des salaires n’avait pas suffit à résoudre le problème du chômage. Il considère que le chômage peut rester durable. La seule solution, c’est donc l’intervention de l’Etat, il le justifie par le schéma keynésien, et le principe l’effet multiplicateur d’investissement qui est : lorsque l’on augmente l’investissement, la production augmente beaucoup plus, c'est-à-dire la variation de la production = k*variation de l’investissement. L’intervention de l’état

précaution 1.3. Motif de spéculation 2. L’interprétation de la demande de monnaie selon la théorie keynésienne 2.1. La demande de monnaie pour motif de transaction 2.2. La demande de monnaie pour motif de précaution 2.3. La demande de monnaie pour motif de spéculation 3. La demande de monnaie chez les monétaristes 4. La Théorie quantitative de la monnaie (TQM) 5. La demande de monnaie chez las monétaristes : Reformulation de la TQM. Titre 3. La création monétaire et l’offre de monnaie 1. Offre

les pays producteurs & exportateurs. Au phénomène de rareté : demande qui est supérieur à l’offre  offre insuffisante, embargo (déf : mesure empêchant la diffusion d’un produit) ; rareté relative due à un excès de la demande. Les politiques keynésiennes provoquent un accroissement qui va tirer les prix vers le haut : les vendeurs ne pratiqueront aucun rabais. On parle d’inflation salaire : à cette époque les revenus des salariés augmentent rapidement car il y a la croissance & de surcroit

des agents un pouvoir d’achat bien supérieur à la quantité des biens disponibles, ce qui peut provoquer une hausse des prix (inflation). 2. Théorie de la politique monétaire :  Pour les keynésiens, la politique monétaire est un instrument de politique conjoncturelle : La politique monétaire keynésienne se fixe comme objectif final l'arbitrage entre inflation et chômage et retient comme objectif intermédiaire les taux d'intérêt : lorsque l'économie est en surchauffe, une politique monétaire

spécialisait alors sur les problèmes d'allocation des ressources par le moyen des prix relatifs, alors que la macroéconomie étudiait la production globale et le niveau des prix. Les deux voies des années 1980 - 1990[modifier] Écornée par l'échec des keynésiens à prévoir et à enrayer la stagflation consécutives aux chocs pétroliers, la macroéconomie de la fin du XXe siècle présentait un double visage. Raffinement de la modélisation[modifier] D'une part, on assista à la construction de modèles de plus

profits, surtout si les taux d’intérêts sont faibles.| Pourl’économie entière|• Rassure les libéraux et monétaristes qui valorisent la notion d’épargne préalable• Cela leur semble une garantie contre les risques d’inflation et d’affaiblissement de la monnaie• Cela devrait placer très haut pour tout le monde l’impératif prioritaire de rentabilité des entreprises|• Ne rassure pas les keynésiens qui peuvent s’alarmer du fait que cela fasse manquer des occasions de croissance• et cela peut renforcer

période inflationniste des Trente Glorieuses est allée de pair avec le plein-emploi, tandis que le chômage a accompagné la désinflation des décennies suivantes. La concomitance de l'inflation et du chômage s'est limitée aux années 1970. Les théories monétaristes et des anticipations rationnelles, pour s'être focalisées sur la stagflation des années 1970, ne nous ont pas très bien expliqué la coexistence du plein-emploi et de l'inflation concernant la longue période qui a précédé, dans un contexte de politiques

qu'avec ce déficit, il y ait une trop forte création de monnaie, qui pourrait être entreprise pour le financer. Cette création de monnaie amènerait à une inflation qui devrait augmenter les prix à l'intérieur du pays. Pour Friedman, chef de file des monétaristes, toute création monétaire n'augmente que la demande, sans augmenter la production, les prix progressent donc. Cette idée s'est imposée et, aujourd'hui, la banque centrale européenne n'a pas le droit de financer un déficit public par création monétaire

classique Le courant libéral (classique+néoclassique) * Le rôle de la monnaie dans l’économie * L’intervention de l’état * Le chaumage * L’équilibre Le courant keynésien I-Keynes * Le rôle de la monnaie dans l’économie * L’intervention de l’état * Le chaumage * L’équilibre Courant monétariste I – Milton Friedman * La théorie constitutif de la monnaie(dans sa nouvelle version) Introduction L’ensemble de la recherche en Économie repose sur les réflexions

n’est qu’un moyen de reglement sans aucun autre valeur. LA THEORIE KEYNESIENNE Lorsque John Maynard Keynes (1883-1946) écrit la Théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie, il propose une analyse économique faisant une place nouvelle à la monnaie. Alors que la théorie quantitative de la monnaie part du principe que la monnaie n’a pas d’utilité propre, qu’elle est un simple instrument d’échange, la théorie keynésienne affirme que la monnaie présente un avantage important. la monnaie