Kant époque éclairée

groupe électrogène destiné à alimenter les gros appareils tels que la machine à laver. L’utilisation de la lumière électrique se limite aux activités où elle est indispensable (comme la lecture ou la cuisine). Dans tous les autres cas, la maison est éclairée aux chandelles, ce qui augmente l’aspect confiné et chaleureux de cette maison, équipée aussi simplement que possible. La nature est présente dans la maison, sous forme de plantes traversant le bois, ou de roches sur lesquelles ont été ajoutées de

scientifique et la raison pratique. On ne peut être habilité à juger d’un problème qu’à la double condition de s’y impliquer personnellement et de coordonner ses visées avec celles des autres. « L’usage public de la raison », qui est devenu privée chez Kant, n’aurait pas de sens dans ce contexte. Faire usage de sa raison implique de soumettre ses raisons à autrui afin qu’une discussion peaufine les résultats auxquels on parvient. Mais cette discussion sur les modalités et les règles de la vie commune

de Nantes 2008 3. Mais cf TEXTE n°2 : E. de Strycker : « L’Idée du Bien dans la « République » de Platon. Données philologiques et philosophiques » (L’Antiquité classique, XXXIX, 1970, p. 450-467), p. 457 : « La pensée moderne a, surtout depuis Kant, une tendance à séparer radicalement l’un de l’autre les domaines ontologique et axiologique. Platon, au contraire, a consacré tous ses efforts à les faire coïncider. » Conséquence : 4. le Bien n’est-il pas toujours fuyant ? Ou toujours difficilement

du corps des « élites », qui sont censés être plus en capacité de discuter de manière éclairée et de prendre les bonnes décisions. Enfin, la mise en œuvre d’une instruction publique accessible à tous les enfants français par la IIIe République vise aussi en partie à résoudre cette tension entre démocratie et compétence, en formant le peuple de telle sorte qu’il puisse exercer la citoyenneté de manière éclairée. D’autre part, dès lors que le système politique n’est plus fondé sur une autorité venue

une lettre…). Je respecte les exigences du genre littéraire demandé (poème, scène de théâtre, essai, article, lettre, journal intime, discours, dialogue...). Je respecte la situation d’énonciation attendue (où ? quand ? qui parle ? à qui ? à quelle époque ?, dans quel but ?...) . J’adopte le ou les registre(s) littéraire(s) exigé(s) ou choisi(s) : comique, épidictique (éloge ou blâme), tragique, polémique, pathétique, lyrique ... J’organise mon texte en suivant mon plan et en utilisant des paragraphes

théorique. Cela n’est point surprenant si l’on se rappelle que pour Dostoïevski la mort de son personnage renvoie, selon Irina Paperno, aux « éléments de divers systèmes philosophiques qui étaient connus des lecteurs contemporains, à savoir ceux de Kant, Hegel, Schopenhauer et Feuerbach5 ». 1 Camus conçoit l’idée d’écrire un essai sur l’absurde en janvier 1936 pour terminer son travail en février 1941. En décembre 1938, le nom de Kirillov apparaît pour la première fois6 dans ses carnets dans le cadre

multiplier les exemples. En fait, les créateurs de personnages, au sens traditionnel, ne réussissent plus à nous proposer que des fantoches auxquels eux-mêmes ont cessé de croire. Le roman de personnages appartient bel et bien au passé, il caractérise une époque : celle qui marqua l'apogée de l'individu. Peut-être n'est-ce pas un progrès, mais il est certain que l'époque actuelle est plutôt celle du numéro matricule. Le destin du monde a cessé, pour nous, de s'identifier à l'ascension ou à la chute de quelques

de la remiser au seul rang d’expérience originale mais transitoire. Ils l’ont au contraire exploitée chacun à l’aune de leurs préoccupations particulières, de leurs conditionnements géographiques et politiques, des impératifs culturels de leurs époques et des moyens financiers qu’ils ont pu trouver à y consacrer. Car en dépit de ces contingences disparates; les pionniers, les chercheurs et les praticiens d’hier ont tous semblé partager la conviction que la philosophie pouvait constituer un outil

pensées. - Etre, non-être et devenir. - Sens d'une métaphysique du devenir. - La dialectique hegelienne. - Hegel et Hamelin. - De la qualité à la quantité. Monadisme et Hegelianisme. - De l'être à l'essence. - Le phénomène. - Le vide de l'essence. - Kant et Hegel. -L'extérieur et l'intérieur. - Passage à la notion. - Jugement selon la notion. Syllogisme selon la notion. - Rapport vrai du sujet à l'attribut. Socrate courageux. - Passage à la nature. - Aristote, Hegel et Marx II. LA PHILOSOPHIE

Tome II, pp. 229-260. « Le niveau social et le niveau individuel », in Sociologie et épistémologie, pp. 107-1 19. « Le problème du portrait », in Philosophie de la modernité, Tome II, pp. 149-163. « Les formes de l'individualisme et la philosophie de Kant », in Mélanges de philosophie relativiste, pp-218-23 1. Les pauvres, trad. BIChokrane, Paris, PUF, 1998. Les problémes de la philosophie de Z 'histoire, trad. R. Boudon, Paris,PUF, 1984. « L'individualisme », in Philosophie de la modernité, Tome 1