John Rawls Théorie De La Justice

 La justice et le droit (la politique) Si la morale nous dit ce que nous devons faire (le devoir), le droit définit ce qu'il nous est permis de faire. La justice est souvent considérée comme la principale vertu morale : la justice est la source des autres vertus et la condition de leur exercice harmonieux car elle renferme tout ce que l'on doit à soi-même et aux autres. Pour autant droit et justice coïncident-ils exactement ? Il y a bien des cas où la réponse est négative : que penser

avaient tous eu la même ambition et s’il avait le même niveau de réussite. Inégalités des chances : pas les mêmes possibilités. Inégalités des positions : positions sociales. Inégalités de droits : ségrégation noir/blanc 3 grands principes de justice si la répartition : -égalitaire -société méritocratique (mérite) -équitable Les libertariens : une société juste est d’abord et avant tout une société libre. -(libéraux) ex : Hayek pour les inégalités justes qui sont efficaces sur le plan

CHAPITRE III : Multiculturalisme et identité face à la démocratie libérale. Sous un habillage conceptuel nouveau, des théories a priori démocratiques voient le jour pour répondre aux interrogations multiples qui surgissent dans les sociétés industrialisées, marquées, entre autres particularités, par le caractère massif et diversifié des flux migratoires qui ont contribué et contribuent encore à leur développement socio-économique. Dans nombre d’Etats modernes, dont certains intègrent aujourd’hui

apparaît évidemment absurde, et contre-productif  ça nous amènerais frustration et colère.Il conviendrait alors d’apprendre à l’accepter et ne pas se révolter Dans l’idée ou il faille changer ces désirs plutôt que l’ordre du monde il existe deux théories, soit les éradiquer ou les modifier. 1) ERADIQUER SES DESIRSSchopenhauer Désir=source de souffrance inévitable alors il faut se débarrasser de ces désirs car dans l’ordre du monde désir=malheur Désir=manque donc souffrance. Ils sont contradictoires

et se désintéresse des affaires publiques et de la vie politique. => démocratie est + un idéal qu’une réalité d’où « idéal égalitaire » Idéal égalitaire et justice sociale Justice commutative ; fondée sur le marché, la réciprocité et s’applique aux échanges (ex : le prix d’un bien est juste s’il rémunère correctement sa valeur). Justice distributive : sur répartition des revenus et correspond à l’idée que certains peuvent recevoir + en fonction de leurs besoins ou en fonction de leurs handicaps

possède de nombreuses limites par exemple le statut social inférieur des femmes ou l’esclavage. Lors des révolutions politiques en France et aux états-Unis la démocratie était très impopulaire, des figures importantes comme Emmanuel Joseph Sieyes, John Adam pensaient que la démocratie était dangereuse et inadaptée pour gérer un gouvernement et une nation. Le système politique athénien était bien connu à l’époque mais le tirage au sort était problématique et pas envisageable. C’est donc à ce moment

McLuhan), mais d'un monde où la signification a été effacée et où la société a été réduite à une masse opaque, où le « réel » a été réduit aux seuls signes autoréférentiels de son existence. De façon controversée, Baudrillard a présenté par cette théorie une manière de mieux comprendre les événements du 11 septembre. Ayant posé son postulat de l'érosion de la signification par son excès, Baudrillard continue, à l'opposé de Foucault, la critique contre le rationalisme kantien et la conception traditionnelle

l'auteur 4-2-Actualisation de l'ouvrage Conclusion Introduction Le citoyen est un membre d’une cité disposant du droit de suffrage dans les assemblées publiques. Il participe aux décisions de la cité relatives aux lois, à la guerre, à la justice, à l'administration. Le thème''Citoyen'' évoqué dans l'ouvrage de philosophie politique '' Du Contrat Social'',pensé et écrit par Jean Jacques ROUSSEAU, publié en 1762, est le sujet principal développé dans notre exposé. Mais que peut-on vraiment

définition et une application théorique bien complexe, il faudrait en reprendre l’essence même de son origine et son évolution. La démocratie, telle qu’elle est appliquée dans notre pays fut tout d’abord donc mise en place selon une éthique de la justice. Pensée comme la possibilité la plus égalitaire et possible de système politique, la démocratie trouve ses racines dans l’antiquité. C'est en 507 avant J.C. qu'est née la démocratie dans la cité. A l'époque, environ quarante personnes sur les deux

disposait que : « toute société dans la quelle la séparation des pouvoirs n’a pas été déterminée, n’a pas de constitution ». Cette période de conquête de liberté allait se traduire par un long processus au cours duquel des penseurs comme Thomas Hobbes, John Locke, Benjamin Franklin ou encore Montesquieu, Jean Jacques Rousseau, Voltaire…s’illustreront et porteront l’analyse et la réflexion qui conduiront à la remise en cause des régimes politiques de leurs pays, pour fonder avec l’Etat de droit un nouvel