John Locke Liberalisme

un ouvrage qui s’appelle « la politique ». Cet ouvrage précisait la distinction entre trois parties au sein de l’Etat. Ces trois parties étaient dans l’esprit d’Aristote l’Assemblée, le corps des magistrats et le corps judiciaire. Au 17ème siècle John Locke qui a vécu entre 1632 et 1690 en Angleterre et a écrit à al fin de sa vie « le second traité sur le gouvernement civil » c’est le premier a évoqué le principe de la séparation des pouvoirs. Il distingue trois pouvoirs : • Le pouvoir législatif

contrôles de constitutionalité des lois. (Quand l’Europe sort de la 2nd Guerre mondiale). La perspective du constitutionalisme pose des exigences : la forme constitutionnelle applique un contenu. De plus il doit avoir de grands principes comme le libéralisme politique. : C’est le principe de la démocratie libérale. P2 : L’état de droit. Terme né en Allemagne au 19ème siècle et il est utilisé pour exprimer l’exigence que l’état est un pouvoir soumis au droit. P3 : La sécurité juridique Le

I. L’opposition nature / culture ou la nature de la culture. : quelques définitions. Le terme de nature recouvre plusieurs sens que l’on peut résumer selon deux acceptions principales : - soit concernant la nature d’un être - soit concernant la nature en général (ensemble des êtres qui existe) Ainsi, si la culture désigne tout ce que n’est pas la nature il devrait être possible de définir les critères de la culture (colonne de droite), ses caractéristiques par opposition à ceux

législatif et le pouvoir judiciaire ; et que la liberté implique la séparation de ces trois pouvoirs. La théorie de Montesquieu, selon laquelle les pouvoirs sont séparés et détenus par des organes distincts les uns des autres, et les travaux de John Locke ont profondément influencé les esprits constituants des siècles qui ont suivi. On distingue principalement deux « types » de séparation des pouvoirs avec une séparation stricte des pouvoirs dans un régime présidentiel ou une séparation souple des

d’en établir la base, de chercher les raisons que l’appuient ; b) d’autres fois on en cherche dans quelle mesure ce fond, cette base sont adéquats à l’opinion elle-même. Ce processus s’appelle pensée réfléchie, et, seul il a une valeur éducative, John Locke sur l’influence des facteurs divers : Il considère différentes classes d’hommes et montre les diverses manières dont leur pensée s’égare : a)  La dépendance des autres. –« les premiers sont ceux qui, en somme, raisonnent rarement mais agissent

impact dans la politique et la société ; âpres cette révolution des nombreuses changes ont été effectues comme les droits de l’homme et du citoyen et un nouveau concept fit par les lumières la séparation des pouvoirs . Dès la fin du XVIIe siècle, John Locke avait défini la séparation des pouvoirs entre l’exécutif et le législatif. Montesquieu reprit l’idée de séparation des pouvoirs et l’étendit à un troisième pouvoir, le pouvoir judiciaire dans De « l'esprit des lois » (1748). Cette idée a était mise

par sa propre volonté personnelle. Ainsi, pour le philosophe, l’état de nature n’est pas une entrave à la vie mais la racine d’un monde dominé par le chaos et l’anarchie. Mais cette vision reste pour le moins contesté. En effet, le philosophe John Locke, expose une vision des choses quelques peu différentes. Selon lui, l’état de nature permet la bonne cohésion de l’égalité et de la paix au sein des hommes et leurs sociétés. Il développe davantage en revendiquant le fait que l’homme est doté de

comme critère principal le nombre de personnes à la tête de l’Etat – distinguant alors monarchie (une seule personne), oligarchie (un petit groupe de personne), et démocratie (la majorité), il a fallut attendre le Traité sur le gouvernement civil de John Locke en 1690 pour distinguer entre elles les démocraties, fondant la distinction sur la séparation des pouvoirs. Reprise par Montesquieu dans L’Esprit des Lois en 1748 (« Il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir »)

stratégie efficace et pertinente. Pour John Locke, cette idée est plus relative. Selon lui, au commencement, l’homme n’est qu’une « table rase, vide de tous caractères, sans aucune idée ». Se pose alors la question de la provenance de ces idées : « A cela, je réponds en un mot, de l’Expérience : c’est là le fondement de toutes nos connaissances » (Essai, chapitre I). Ainsi toute instruction dérive de l’expérience : on a là un savoir purement empirique. Néanmoins, Locke n’exclue pas la réflexion sur cette

Parler de nature humaine, c'est parler d'une essence universelle de l'homme, c'est dire qu'il existe un certains nombre de caractéristiques communes à tous les hommes sans restriction. C'est dire qu'il existe une définition de l'homme telle qu'elle s'appliquerait à tous et à chacun d'entre eux sans reste. Or, lorsqu'on observe les hommes, ce qu'on voit, ce n'est pas l'identité, ce qu'ils ont de commun, mais des différences, une diversité qui semble ruiner l'idée même d'une nature humaine. Le