John Locke La Souveraineté

/ communautarisme). 4) Quelle place pour la volonté politique face aux contraintes de l’économie ? Articulation entre démocratie et économie de marché. 5) Notion de justice sociale : illusion ou prolongement d’une liberté ? 6) Souveraineté politique et possibilité d’une forme de gouvernement non national (ex. au niveau européen). 7) Question de la fin de l’histoire : la démocratie libérale serait la forme ultime d’organisation politique. 1ERE PARTIE AUX

l'article 6 de la Constitution française de 1971. Le légicentrisme est une expression désignant le fait que l’on se focalise sur les lois. Dans sa définition pure, le légicentrisme est la doctrine pour laquelle la loi est la seule expression de la souveraineté, disposant d'une autorité suprême dans l'ordre juridique national : elle fonde l'État légal. La loi a plusieurs sens. Elle a un sens large et un sens strict. Le premier est l’ensemble des règles qui consistent en des dispositions abstraites,

avait été étudiée, après d'autres auteurs beaucoup plus anciens, par John Locke dans son traité du gouvernement civil (1690). L’article 3, qui attribue la souveraineté à la Nation, s’inspire des thèmes des remontrances des Parlements, portées par les nombreux membres du club des Amis de la Constitution, plus connu sous le nom de Club des Jacobins, mais aussi du célèbre pamphlet de l’abbé Sieyès, qui propose de confier la souveraineté à la Nation, entité abstraite et distincte de la personne physique

penseurs du droit naturel, notamment des juristes modernes comme Grotius, Pufendorf, puis Burlamaqui, professeur de droit naturel à Genève, et Barbeyrac, traducteur des œuvres de Grotius et Pufendorf en français, mais aussi des philosophes comme Locke, Hobbes qui ont fait cela. Leur démarche est celle d’une reconstruction mentale du pouvoir politique en général, ce qui suppose une connaissance générale elle aussi de la nature humaine, du statut d’obligé qu’a l’homme vis-à-vis de Dieu, de ses

athénienne s'est mise en place à partir de l'extrême foin du 6ème av JC. C'est un régime qui a des fondateurs dont Dracon et Solon. On connait mieux ce régime après Clisthenés, il a institutionnalisé la démocratie athénienne. Ce système repose sur la souveraineté d'une assemblée qui réunit l'ensemble des citoyens. C'est le seul exemple de démocratie directe qui ait existé dans l'histoire. Il était possible de réunir l'ensemble des citoyens (il fallait être nait d'au moins un père athénien & être inscrit

aussi sont-ils rapidement amenés à entrer en société ». John Locke, Essai sur le pouvoir civil, chapitre IX, traduction de J. -L. Fyot, PUF, 1953. Selon Locke, à l’origine de l’Etat il y a est un contrat par lequel les individus renoncent à exercer pleinement et librement tous leurs droits naturels, à condition que l’État auquel ils acceptent de se soumettre leur garantisse la protection de leurs droits essentiels, ce que Locke appelle leur « propriété », c’est-à-dire ce qui leur appartient

l'espace européen à la fin du XX-ème siècle et comment s'inscrivent-ils dans l'héritage de l'Etat moderne naissant. La recherche se conclut par une comparaison de la conception légitimatoire jusnaturaliste (H. Grotius, T. Hobbes, S.v. Pufendorf, J. Locke) avec les développements actuels (représentés par le procès Barbie à Lyon en 1987 et le procès Honecker à Berlin en 1992-1993) de la conception légitimatoire véhiculée par la jurisprudence de Nuremberg. La conception légitimatoire jus-naturaliste 1

pr certains & 1 enfer pour d'autres qui auraient voulu sortir de cet état de nature. Ils se seraient mis d'accord pr tous se soumettre à 1 pouv commun : l'Etat. Théorie défendue par : Thomas d'Aquin (moyen-âge) Thomas HOBBES Le Leviathan (1651) John LOCKE Traité du gouvernement civil (1690) Jean-Jacques ROUSSEAU Du contrat social (1762) A l'heure actuelle on considère que la Constitution d'un état représenterait le pacte social initial. B) L'état, produit d'un processus historique Cette théorie

élus par un collège spécial de grands électeurs[2], qui, conformément aux dispositions de l'article L 318 du Code électoral, ont l'obligation de participer au scrutin sous peine d'amende de 100 €[3]. Histoire du droit de vote [modifier] * John Locke : séparation des pouvoirs entre pouvoir exécutif et pouvoir législatif. * Montesquieu (De l'esprit des lois) : séparation entre pouvoir exécutif, pouvoir législatif, et pouvoir judiciaire. * Sieyès : Assemblée nationale et projet de jury

d’amour ou de foi, mais engage une double revendication : la revendication d’une vérité et la revendication d’une loi. Or, cela place la religion dans une position de rivalité par rapport à une certaine rationalité et une certaine conception de la souveraineté. En effet, dans l’ordre religieux, loi et vérité ont une origine transcendante ; les hommes sont censés les recevoir bien plus qu’ils ne se les donnent à eux-mêmes. Loi et vérité sont l’objet d’une révélation et non d’une construction rationnelle